Sile bĂ©nĂ©volat et le volontariat dĂ©veloppe la mĂȘme idĂ©e, s’engager pour donner du temps Ă  autrui et dans l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, ils n’ont pas le mĂȘme statut ! Le bĂ©nĂ©volat est un engagement libre et sans contrat. Alors qu’en tant que volontaire, tu dĂ©tiens un engagement. Le statut de volontaire ouvre aussi des droits Ă  une PubliĂ© le 08/06/2002 Ă  0000 Créée en 1995, l'association 18-30 Insert Export s'avĂšre ĂȘtre une mine d'informations pour les jeunes 18-30 ans qui veulent travailler dans l'international. Ouverte Ă  ses dĂ©buts pour les diplomĂ©s, elle s'est largement dĂ©mocratisĂ©e et diversifiĂ©e et offre dĂ©sormais ses services Ă  tous les publics demandeurs d'empois ou de stage. On aide des jeunes dans leur recherche qui parfois n'ont mĂȘme pas le CAP », rappelle une responsable de l'association. Si Insert Export n'a pas pour vocation de dĂ©charger le jeune des recherches nĂ©cessaires pour son projet, elle l'aide et l'accompagne dans ses dĂ©marches et l'informe sur l'accĂšs aux marchĂ©s internationaux programmes et conditions de mobilitĂ©, situation des marchĂ©s du travail, etc. ACQUERIR LES BONNES BASES Elle propose outre ces informations primordiales, des cours de mĂ©thodologie afin de mener Ă  bien les projets de ses adhĂ©rents entretiens individuels, technique de recherche d'emplois. Tout comme des formations-pays » qui mettent en condition les futurs expatriĂ©s rencontres avec d'autres jeunes, partis Ă  l'Ă©tranger, afin de discuter de la culture du pays, de ses us et coutumes ou bien encore de son systĂšme religieux et Ă©conomique. La Chine et l'Afrique sont des pays qui n'ont pas du tout les mĂȘmes habitudes que nous, ni les mĂȘmes rites, il faut donc une prĂ©paration pour que les jeunes puissent s'intĂ©grer facilement ». Les plus qualifiĂ©s choississent gĂ©nĂ©ralement les destinations anglo- saxonnes USA, Canada alors que celles des moins qualifiĂ©s sont plus diverses, mĂȘme si l'Afrique reste trĂšs priAdhĂ©sion annuelle 30,50 euros sĂ©e du fait de la forte demande en volontariat et en bĂ©nĂ©volat dans les associations humanitaires. Il ne s'agit cependant pas seulement d'expatriation et de postes Ă  l'Ă©tranger, mais aussi d'emplois en France, liĂšs Ă  l'international comme la traduction. OUVERT AUX ENTREPRISES En aval, elle ouvre Ă©galement ses portes aux entreprises puisqu'elle offre aux PME-PMI qui le souhaitent l'accĂšs Ă  une base de donnĂ©es de plus 500 jeunes/an, des CV collectifs de demandeurs d'emplois, et des informations sur la crĂ©ation d'emploi export. ______ 18-30 Insert Export, 25 rue Magendie 31400 Toulouse, tĂ©l Pierre DUPUY
Sic’est oui, c’est lĂ  que les choses se gĂątent. En effet, en l’état actuel des textes, le stage de validation qui suit immĂ©diatement la rĂ©ussite du concours national du CAPES ou de l’agrĂ©gation (toutes disciplines confondues) ne peut pas ĂȘtre effectuĂ© Ă  l’étranger, mĂȘme dans un Ă©tablissement dĂ©pendant de l’AEFE.
L’équipe du pĂŽle dĂ©veloppement de l’Eusko s’agrandit ! Nous avons le plaisir d’accueillir LĂ©a, nouvelle chargĂ©e de dĂ©veloppement du rĂ©seau des professionnels de l’Eusko sur les zones de Bayonne, Nive Adour et Pays de Bidache. Originaire de Bayonne, LĂ©a est une passionnĂ©e de voyages, de sports et de tout ce qui tourne autour de l’OcĂ©an. AprĂšs avoir travaillĂ© et effectuĂ© de nombreuses missions de bĂ©nĂ©volat autour de la sensibilisation de l’environnement et du dĂ©veloppement durable, elle souhaite dĂ©sormais investir son Ă©nergie pour son territoire ! En tant que professionnels du rĂ©seau Eusko, peut-ĂȘtre serez-vous amenĂ©s Ă  la rencontrer ? DĂ©couvrez son portrait ————— PrĂ©sente-toi, tu es originaire du Pays Basque ? Je m’appelle LĂ©a, je suis originaire de Bayonne et j’ai fait mes Ă©tudes supĂ©rieures Ă  Bordeaux. Je suis depuis trĂšs jeune engagĂ©e dans le milieu associatif. Quand j’étais au lycĂ©e j’ai montĂ© une association avec des amis et c’est ce qui m’a donnĂ© envie de travailler dans ce domaine. J’ai ensuite fait beaucoup de bĂ©nĂ©volat et de volontariat Ă  l’étranger ce qui m’a permis d’acquĂ©rir beaucoup d’expĂ©rience autour de sujet relatif Ă  la sensibilisation de l’environnement et au dĂ©veloppement durable. J’ai donc choisi de faire des Ă©tudes assez gĂ©nĂ©rales dans le management international et la gestion de projet afin de pouvoir mettre mes compĂ©tences Ă  profit de projets Ă  l’étranger, toujours dans le milieu associatif auprĂšs d’ONG. Avec le temps, j’ai eu envie d’investir mon Ă©nergie sur mon territoire, au Pays Basque. Pourquoi avoir postulĂ© Ă  l’Eusko ? Dans quelles valeurs tu te retrouves le plus ? J’ai postulĂ© Ă  l’Eusko car je suis animĂ©e par la volontĂ© de faire quelque chose pour la transition Ă©cologique et c’est ce qui a Ă©tĂ© le fil conducteur de toute mes expĂ©riences. Mais j’arrive Ă  un moment oĂč je suis convaincue que la transition de peut pas ĂȘtre qu’environnementale, elle doit aussi ĂȘtre Ă©conomique et sociale. J’ai toujours aimĂ© travailler pour la dynamisation des territoires, mĂȘme Ă  l’étranger car j’avais les mĂȘmes objectifs de pouvoir combiner des solutions locales Ă  des problĂšmes plus globaux. Je suis convaincue que la sensibilisation Ă  l’environnement, la re localisation de l’économie et la re dynamisation des territoires est une affaire de tous ! Et selon moi, l’Eusko est un outil parfait pour arriver Ă  fĂ©dĂ©rer plusieurs acteurs autour d’un projet commun qui puisse Ă  la fois rĂ©pondre Ă  des problĂ©matiques environnementales mais aussi locales et sociales. De plus, l’aspect du travail en rĂ©seau m’a aussi beaucoup plu. J’aime le fait de convaincre les acteurs d’adhĂ©rer au projet mais aussi de les inciter Ă  crĂ©er un rĂ©seau et travailler tous ensemble entre professionnels. Quels sont tes principaux dĂ©fis professionnels ? Mon principal dĂ©fi est de rĂ©ussir Ă  convaincre les acteurs de la pertinence de passer Ă  l’Eusko. En effet, ma mission est d’éduquer autour de la sensibilisation Ă  l’environnement et aussi du passage Ă  l’acte. Ce sont des dĂ©fis auxquels j’ai dĂ©jĂ  pu ĂȘtre confrontĂ©, mais avec l’Eusko c’est une dimension diffĂ©rente puisque cela sera face Ă  des professionnels. Jusqu’à prĂ©sent je n’avais pas eu l’occasion de travailler directement avec des entreprises, c’est donc un nouveau dĂ©fi pour moi. Un autre dĂ©fi est mon secteur d’intervention puisque, certes Bayonne est une zone bien dĂ©veloppĂ©e mais ce n’est pas encore totalement le cas pour la zone de Nive Adour et Pays de Bidache. Cela va donc ĂȘtre un gros challenge pour moi de comprendre la rĂ©alitĂ© de ces territoires et de rĂ©ussir Ă  convaincre les professionnels de cette zone de la pertinence du projet et leur donner envie de passer Ă  l’acte. C’est quoi ta philosophie de vie au quotidien ? Une passion ? Comme vous l’avez compris, je suis assez prĂ©occupĂ©e par les problĂ©matiques environnementales. C’est avant tout car je passe une grande partie de mon temps dehors. J’aime la forĂȘt, l’OcĂ©an, je fais du sport, je pratique le surf, la nage, le body surf, la plongĂ©e et j’ai dĂ©couvert rĂ©cemment via un stage, la voile. J’ai une rĂ©elle passion pour l’OcĂ©an, cela m’anime beaucoup. C’est pourquoi, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale ma philosophie de vie est vraiment reliĂ©e Ă  mon parcours. J’aime pouvoir mĂȘler les questions environnementales, Ă©conomiques et sociales dans ma vie de tous les jours. J’ai Ă©galement besoin d’avoir de l’interaction sociale. J’adore participer Ă  des festivals de musiques, m’engager dans l’associatif localement sur mon territoire, participer Ă  des projets de sensibilisations et rencontrer des nouvelles personnes. Ma philosophie de vie c’est d’ĂȘtre trĂšs curieuse. C’est ce qui m’a poussĂ© pendant longtemps Ă  dĂ©couvrir de nouvelles cultures et aller Ă  l’étranger. Aujourd’hui, j’ai envie de dĂ©couvrir et de continuer Ă  ĂȘtre curieuse au sein mĂȘme de mon territoire apprendre la langue basque, faire des randonnĂ©es, dĂ©couvrir des villes et gens que je ne connais pas encore. Milesker eta ongi etorri LĂ©a ! 🙂
EtudierĂ  l’étranger c’est quitter son pays pour poursuivre des Ă©tudes dans un cadre plus avantageux afin d’optimiser ses atouts professionnels et de dĂ©velopper son autonomie. C’est une expĂ©rience personnelle enrichissante qui reprĂ©sente un important plus sur l’expĂ©rience professionnelle. Il est possible de voyager Ă©galement dans le cadre de ses Ă©tudes mais sans

Mettre ses compĂ©tences physiques et intellectuelles au service d’un agriculteur Ă  l’étranger moyennant un hĂ©bergement, cela est possible grĂące au Woofing. TrĂšs rĂ©putĂ© en ce moment, ce concept fait chaque jour de nouveaux adeptes. NĂ© en Angleterre dans les annĂ©es 70, il s’est propagĂ© au reste du monde. Aujourd’hui, les Woofers» sont accueillis dans plusieurs pays du globe. Conditions, avantages et inconvĂ©nients, nous vous livrons tout sur le Woofing. Woofing Presentation et explications Le Woofing est nĂ© en Angleterre en 1971, il s’agit d’un rĂ©seau mondial de fermes biologiques appelĂ© Working Week-ends on Organic Farms » WWOOF. L’idĂ©e est venue de Sue Coppard, une secrĂ©taire exerçant Ă  Londres, qui voulait donner la possibilitĂ© aux habitants des grandes villes de dĂ©couvrir la campagne. L’objectif Ă©tait de soutenir l’agriculture biologique. Des agriculteurs se proposent d’hĂ©berger et nourrir des Woofeurs en Ă©change de leurs connaissances, expĂ©riences dans le domaine agricole et leurs aides physiques. Lors de la croissance de ce concept, prĂ©cisĂ©ment en 2000, le WWOOF qui se dĂ©finit par week-ends de travail dans des fermes biologiques » a changĂ© de nom pour adopter le terme World-Wide Opportunities on Organic Farms », qui signifie en français opportunitĂ©s dans des fermes bio du monde entier ». Il n’existe pas de liens de subordination dans une pratique de Woofing, pas de rĂ©munĂ©ration Ă©galement, il s’agit simplement d’un partage de connaissances, de culture dans le domaine agricole. Le Woofing constitue une alternative de tourisme permettant de dĂ©couvrir le monde et les cultures des populations en rĂ©duisant considĂ©rablement les frais de voyage. Il n’y a pas de limite en ce qui concerne la durĂ©e des sĂ©jours. Tout dĂ©pend de votre calendrier et celui de votre hĂŽte. Les conditions du woofing L’association Working Weekends on Organic Farms » est implantĂ©e dans plusieurs pays. Pour faire partir de cette grande famille, vous pouvez vous adresser Ă  l’association Woofing locale. Pour le retrouver, tapez association WWOOF + le nom de votre pays » dans le moteur de recherche de votre navigateur. Si votre pays ne dĂ©tient pas de reprĂ©sentation nationale, il faudra s’adresser au WWOOF Independents ». Les personnes dĂ©sireuses de participer au Woofing doivent se rendre sur le site internet de la reprĂ©sentation nationale ou sur celui de l’association elle-mĂȘme. Si vous vivez en France ou dĂ©sireux de faire du bĂ©nĂ©volat dans une exploitation agricole française, rendez-vous sur ce site, Ensuite, inscrivez-vous en ouvrant un compte. Il va falloir payer une petite contribution pour l’abonnement annuel. Ce qui vous donne le droit de consulter le carnet d’adresses des fermes agricoles et des Ă©tablissements qui reçoivent les Woofeurs. Vous contacterez ensuite la ferme ou l’établissement qui vous intĂ©resse, vous convenez de la durĂ©e de votre sĂ©jour et des diffĂ©rentes modalitĂ©s administratives pour votre voyage s’il y a lieu. La durĂ©e de votre sĂ©jour dans une exploitation agricole peut aller de quelques jours Ă  plusieurs mois. Les conditions pour ĂȘtre un hĂŽte Pour rejoindre la grande famille de Woofing en tant qu’hĂŽte, il faut ĂȘtre propriĂ©taire d’une exploitation agricole biologique ou toute autre activitĂ© acceptĂ©e par le concept. S’inscrire ensuite sur le site internet de l’association. Les conditions pour ĂȘtre un woofeur Pour ĂȘtre un volontaire de l’association Woofing, il faut avant tout aimer l’agriculture biologique et ĂȘtre convivial et ouvert. Par la suite, se rendre sur le site internet de l’association, si vous vivez en France ou dĂ©sirez de tenter une expĂ©rience française. Lire et accepter le rĂšglement de Woofing. Avantages et inconvĂ©nients du Woofing Avantages du Woofing L’un des principaux avantages du Woofing reste l’aspect Ă©conomique. Vous passez une ou plusieurs semaines chez l’hĂŽte qui reste la plupart du temps un exploitant agricole sans dĂ©bourser le moindre centime pour l’hĂ©bergement et la nourriture. Seuls votre billet d’avion et les frais relatifs aux documents administratifs sont Ă  votre charge. En plus de cela, vous pouvez visiter la rĂ©gion et les cultures locales durant vos temps libres, car le temps de travail d’un Woofeur est compris entre 4 et 7 heures par jour. Vivre une expĂ©rience qui ne serait pas possible en tant que touriste classique. L’expĂ©rience Woofing est une substitution au tourisme Ă©conomique. Au plan culturel, il faut souligner le fait qu’un Woofeur s’imprĂšgne mieux de la culture locale qu’un touriste classique. Sa vie au sein d’une famille lui donne la possibilitĂ© de toucher et vivre de prĂšs une expĂ©rience authentique. L’on peut aussi citer le fait de dĂ©couvrir d’autres techniques de culture agricole biologique, de jardinage ou de construction. InconvĂ©nients du Woofing Il est vrai que lorsque vous dĂ©cidez de vivre une expĂ©rience Woofing, il faut s’attendre plus ou moins Ă  de mauvaises surprises comme par exemple, des fermes Ă©loignĂ©es de la ville parfois hostiles Ă  internet, des sites qui sont difficiles d’accĂšs, etc. Si certaines situations sont faciles Ă  gĂ©rer, cela n’est pas le cas pour d’autres. Vous pouvez tomber sur une ferme dans laquelle les conditions de travail sont assez rudes, ou encore des fermiers pas trĂšs sympathiques qui ne respectent toujours pas les rĂšgles Ă©tablies par l’association comme les heures de travail. Il y a aussi le fait que le confort de certains hĂ©bergements soit en dessous du minimum requis. Parfois, vous allez devoir partager une chambre avec un ou plusieurs volontaires ce qui empiĂšte sur votre intimitĂ©. Quelques conseils pour rĂ©ussir son Woofing Si vous ĂȘtes tentĂ© par le concept Woofing, il faudra appliquer ces quelques recommandations pour une meilleure expĂ©rience. D’abord lister vos envies Il est trĂšs important de savoir ce que vous souhaitez faire et vivre lors de votre Woofing. Cela vous permettra de faire le bon choix parmi les nombreuses propositions qui seront faites par les hĂŽtes de cette association. Dressez une liste des activitĂ©s que vous voulez faire, les lieux que vous souhaitez visiter. Passer au peigne fin les annonces AprĂšs avoir dĂ©terminĂ© vos objectifs, vous pouvez ensuite parcourir les annonces de maniĂšre minutieuse. Bien visualiser les photos et se laisser guider par son intuition. Etre soi-mĂȘme Lors de vos Ă©changes avec votre hĂŽte, n’essayez surtout pas de l’impressionner. Restez vous-mĂȘme, dites-lui rĂ©ellement ce qui a retenu votre attention dans son annonce. Si vous ne comprenez pas ou n’ĂȘtes pas sĂ»re de certaines choses, il faut le demander Ă  votre hĂŽte, pour avoir des Ă©claircissements avant votre dĂ©part, cela vous Ă©vitera des surprises dĂ©sagrĂ©ables. Si vous suivez un rĂ©gime alimentaire spĂ©cial, faites-le savoir Ă  votre hĂŽte. S’adapter aux mĂ©thodes de travail Lorsque vous ĂȘtes sur place, il va falloir faire des concessions. On ne vous demande pas de tout accepter comme, conduire le tracteur toute la journĂ©e, mais s’adapter aux mĂ©thodes de travail et au mode de vie de la personne qui vous accueille. Faites fi de certaines habitudes pour rendre l’atmosphĂšre agrĂ©able Ă  tous. Acceptez de faire la cuisine ou faire la vaisselle.

EtudierĂ  l'Ă©tranger constitue un atout Ă©vident. Le mieux Ă©tant que ce choix s'inscrive dans une stratĂ©gie individuelle de formation et serve des projets professionnels. Pour prĂ©parer votre sĂ©jour, organiser les dĂ©marches, vous pouvez bĂ©nĂ©ficiez de toutes les informations nĂ©cessaires : Accueil > S'engager > BĂ©nĂ©volat Nous recherchons rĂ©guliĂšrement des bĂ©nĂ©voles. Notre mouvement ne peut fonctionner sans l’implication de ces personnes qui souhaitent donner de leur temps. Les missions sont variĂ©es. Selon leurs envies, leurs compĂ©tences, leurs disponibilitĂ©s, ils participent Ă  la vie de l’association, Ă  ses activitĂ©s et Ă  sa gouvernance
 Sur les chantiers, qu’ils soient bricoleurs confirmĂ©s ou totalement novices, ils apprennent des gestes techniques en mĂȘme temps que les habitants et volontaires. Ils prĂȘtent mains fortes pour les travaux d’embellissement, d’isolation, d’amĂ©nagement
 Progressivement, ils retransmettent leurs compĂ©tences acquises aux autres participants. Ils participent Ă  la promotion de l’association, Ă  l’animation d’évĂšnements, Ă  l’accueil de nouveaux bĂ©nĂ©voles et habitants 
. Ils sont acteurs de l’évolution du projet des Compagnons en s’impliquant dans les instances de gouvernances rĂ©gionales et nationales assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, conseil d’administration... et en participant Ă  des projets comme par exemple l’écriture d’une chartre. À tout moment, ils font part de leurs remarques et idĂ©es Ă  mettre en place. Si vous souhaitez vous aussi nous rejoindre, n’hĂ©sitez pas Ă  consulter nos offres ci-dessous ou Ă  contacter directement l’antenne rĂ©gionale la plus proche de chez vous. TĂ©moignages Je suis content d’avoir trouvĂ© les Compagnons BĂątisseurs. Cela fait depuis ma retraite que je suis bĂ©nĂ©vole. Heureusement que j’ai trouvĂ© cette activitĂ© parce que je m’ennuyais. Il y a une bonne ambiance, tout le monde est gentil et le travail me plait. Ce que j’aime, c’est apprendre Ă  peindre, tapisser
 faire des choses que je n’avais jamais faites avant. Comme ça un jour, si on veut refaire notre appartement, on peut le faire ! Et ça me permet de sortir, de rencontrer des gens, je ne reste plus enfermĂ©e dans ma maison. Faireun Master Ă  l’étranger n’est pas seulement pour les Ă©tudiants en langues et que vous cherchiez Ă  consolider vos compĂ©tences en anglais ou Ă  apprendre une nouvelle langue, ce sera un atout pendant vos Ă©tudes, en particulier si votre cours implique un stage dans une entreprise locale, si vous effectuez des enquĂȘtes quantitatives qui impliquent des entretiens ou Quelles sont les meilleures destinations pour faire du WWOOFing ? Plus de 88 associations nationales de Wwoofing existent Ă  travers le monde, sans compter les indĂ©pendants... Maintenant que vous connaissez les gĂ©nĂ©ralitĂ©s grĂące Ă  un autre article mettre lien, nous avons classĂ©es par catĂ©gories » les destinations celles qui sont le plus souvent demandĂ©es, celles qui reviennent majoritairement en termes de missions ou les autres comprises dans le mĂ©li-mĂ©lo de Wwoofing. Évidemment, votre choix est personnel, Ă  chacun de trouver sa propre destination selon ses envies et attentes, car il n’y a pas une aventure plus belle qu’une autre tant qu’elle est Ă  votre image. Cet article est donc seulement Ă  titre d’information, bonne lecture !Pour plus d'informations, n'hĂ©sitez pas Ă  consulter notre dossier sur le WWOOFing Ă  l'Ă©tranger ! Les destinations les plus prisĂ©es par les WWOOFeurs L’OcĂ©anie qui comprend l’Australie et la Nouvelle-ZĂ©lande est trĂšs demandĂ©e par les Wwoofers. La raison principale ? Vous ĂȘtes nourri et logĂ© dans ces pays oĂč le coĂ»t de la vie est relativement Ă©levĂ©. C'est Ă©galement un choix populaire pour de nombreux bĂ©nĂ©voles en raison des superbes emplacements et du nombre d’offres disponibles car la demande est gĂ©nĂ©ralement haute pendant la saison de rĂ©coltes. Cependant, vous pouvez toujours faire du bĂ©nĂ©volat pendant la saison d'hiver. Attention par contre car les autoritĂ©s d'immigration nĂ©o-zĂ©landaises ou australiennes considĂšrent le Wwoofing comme un travail bien que ce soit volontaire et bĂ©nĂ©vole, alors pensez Ă  prĂ©parer votre visa. L’Afrique commence Ă©galement Ă  se dĂ©mocratiser et devenir un lieu de Wwoofing oĂč les annonces sont de plus en plus nombreuses. L’Afrique du Sud existe notamment depuis 2012. PrĂ©parez-vous car depuis peu, Wwoof South Africa exige que les Wwoofers obtiennent une autorisation de la police avant de faire du bĂ©nĂ©volat dans les fermes. Cette Ă©tape peut ĂȘtre facilement effectuĂ©e au poste de police le plus proche. Pour continuer, l’AmĂ©rique du Sud attire Ă©galement beaucoup de volontaires, mĂȘme si les pays sont recensĂ©s via Wwoof Independents et possĂšdent encore peu d’Hosts enregistrĂ©s. La CordillĂšre des Andes, le soleil prĂšs de la Mer des CaraĂŻbes, ou encore l’Amazonie, vous avez autant de choix que de paysages naturels et climats pour une immersion totale dans ces Terres remplies d’Histoire... L’Europe de l’Est est pour finir trĂšs apprĂ©ciĂ©e des rĂ©sidents europĂ©ens, qui connaissent trĂšs peu la Hongrie, la Roumanie ou encore la Bulgarie. En effet, ces destinations sont moins connues des pays plus touristiques comme le MontĂ©nĂ©gro ou la Croatie, alors que des hĂŽtes sont prĂȘts Ă  vous accueillir chaleureusement et partager un quotidien plus rudimentaire avec vous. Les destinations de WWOOFing les plus communes pour les missions Vous pouvez dĂ©couvrir tant de traditions diffĂ©rentes en apprenant le fonctionnement d’une ferme laitiĂšre ou d’un potager dans une maison de ville ordinaire. En effet, vous pouvez passer une semaine Ă  vous arracher le mauvaises herbes dans un jardin en mangeant exclusivement de la nourriture vĂ©gane, et la semaine suivante vous partez en direction d’un Ă©levage oĂč ils cĂ©lĂšbrent votre arrivĂ©e avec un grand dĂźner Ă  base de viande. Ceci dit, le travail agricole en ferme biologique est la mission la plus proposĂ©e par les hĂŽtes sur le site officiel du Wwoofing car c’est l’essence mĂȘme du concept depuis sa crĂ©ation. Le travail consiste principalement Ă  la prĂ©paration de plants et des champs/serres, puis de la plantation jusqu’à la rĂ©colte, en passant par le dĂ©sherbage et l’arrosage, ou encore par l’entretien des outils. Le soir, lorsque le travail est fini, vous partagez le repas avec votre hĂŽte, vous l’aidez Ă  cuisiner, et souvent vous avez le plaisir de manger les produits du jardin. D’autres sites comme Workaway ou Helpx proposent des missions plus diverses, qui sont plus souvent des coups de main ponctuels dans des familles, des exploitations qui se lancent, ou encore des chantiers de construction. Les deux sites regroupent des fermes biologiques hĂŽtes, des fermes non biologiques, des familles d'accueil, des ranchs, des gĂźtes, des auberges de jeunesse et mĂȘme de voiliers qui invitent pour un coup de main des bĂ©nĂ©voles Ă  rester avec eux Ă  court terme. L’échange est donc plus culturel et social pour les volontaires qui souhaitent travailler pendant leurs voyages Ă  l'Ă©tranger, pour rester avec la population locale et acquĂ©rir une expĂ©rience pratique. Choisir sa mission entre insolite, authentique et nouveau genre Dur de faire un choix pour vous Ă©clairer prĂ©cisĂ©ment car il existe autant de missions que d’hĂŽtes. Si vous partez Ă  la recherche d’authenticitĂ©, n’hĂ©sitez pas Ă  vous pencher sur les mĂ©thodes agricoles typiques de certains pays la culture du riz au fin fond de l’Asie, de la pomme de terre au PĂ©rou, des plantations de cacao au Togo, ou encore des fermes de sirops d’érable au Canada, les missions sont diverses mais reprĂ©sentative d’une culture bien profonde. De mĂȘme avec les animaux, le voyage est tout Ă  fait imaginable dans les ranchs aux États-Unis ou en Argentine, ou dans une petite ferme de chĂšvres au Nigeria. Dans un autre registre, l’expĂ©rience en tant que rĂ©ceptionniste en auberge de jeunesse, ou bĂ©nĂ©vole dans une maison d’hĂŽte, vous permet au maximum d’ĂȘtre en contact avec les gens locaux et voyageurs, et cela se dĂ©veloppe de plus en plus. Attention tout de mĂȘme Ă  bien nĂ©gocier vos horaires afin d’éviter tout abus et que cela ne se transforme pas vite en un rĂ©el travail. Le seul conseil est de bien vous renseigner sur la rĂ©gion dans laquelle vous partez maladie, alimentation, communication, etc, ... et de prendre vos prĂ©cautions au prĂ©alable vaccin si nĂ©cessaire par exemple. Les tĂ©moignages de WWOOFeurs, le meilleur moyen de choisir sa destination ! Vous pouvez aller jeter un Ɠil sur une chaine YouTube de 2 Wwoofers qui sont partis explorer l’AmĂ©rique du Sud, et qui partagent leur expĂ©rience Ă  travers des vidĂ©os trĂšs bien montĂ©es, Wwoofnext. Pleins d’autres vidĂ©os existent sur ce mĂȘme thĂšme et vous donne qu’une seule envie, partir ! En plus du cĂ©lĂšbre distributeur de vidĂ©os, il existe des centaines d’autres tĂ©moignages sur des blogs personnels de voyageurs qui racontent leurs propres aventures. En vous renseignant et lisant quelques articles, vous pourrez vous faire votre opinion sur ce qui vous correspond le plus, car il n’y a pas LA meilleure destination, il y a juste celle qui vous convient. Alors n’ayez pas peur d’oser et maintenant c’est Ă  votre tour de partager !Pour plus d'informations, n'hĂ©sitez pas Ă  consulter notre dossier sur le WWOOFing Ă  l'Ă©tranger !

ÉtudierĂ  l'Ă©tranger Ă  Cadix, en Espagne, signifie Ă©tudier dans un endroit un peu hors des sentiers battus en termes d'Ă©tudiants amĂ©ricains Ă  l'Ă©tranger. Cela permet aux Ă©tudiants de pratiquer plus facilement leurs compĂ©tences en espagnol et de s'intĂ©grer dans le style de vie du sud de l'Espagne, connu pour son hospitalitĂ©.

Laure est partie 5 mois Ă  la dĂ©couverte de l’Europe en sac Ă  dos, faire du volontariat en HelpX et Workaway. Elle nous raconte son aventure !Le projet Je souhaitais faire une pause dans mes Ă©tudes, prendre le temps de faire le point sur ce que je souhaitais pour mon futur. J’ai toujours eu le "virus du voyage", je souhaitais dĂ©couvrir le monde et faire Ă©voluer ma vision du monde, apprendre Ă  mieux me connaitre. Etant photographe, j’ai aussi Ă©tĂ© motivĂ© par le besoin d’espace et ma volontĂ© de travailler mes photographies. Je suis donc partie 5 mois en sac Ă  dos 15 kilos accompagnĂ© d’un petit sac Ă  dos de 5 kilos. J’ai fait majoritairement des volontariats. Cependant entre chaque, je prenais souvent quelque jours, voir une semaine pour dĂ©couvrir la rĂ©gion ou la capitale du pays. L’idĂ©e de dĂ©part n’était pas de partir toute seule puis je me suis dit que si on attend les autres pour vivre on ne vit pas beaucoup. J’ai commencĂ© par l’Islande, puis le sud de la SuĂšde et le nord, la Finlande. J’ai ensuite fait une semaine en Allemagne et continuĂ© en Autriche et finit en Ecosse. La dĂ©marche Pour trouver mes volontariats, j’ai dĂ©cidĂ© de ne pas m’inscrire sur le site de "Wwoofing" car il faut payer une adhĂ©sion de 20 Ă  30 € par pays. Comme je faisais 5 Ă  6 pays et que mon objectif Ă©tait de rĂ©duire le plus possible les frais je me suis dirigĂ©e vers les sites "Workaway" et "HelpX". Ces sites permettent d’avoir accĂšs aux annonces de tous les pays pendant un an, en payant une trentaine d’euros. Les volontariats qu’on y trouve sont Ă©galement dans des domaines plus large que le wwoofing qui, lui, propose des volontariats dans des fermes. Les deux sites que j’ai utilisĂ© m’ont permis d’avoir accĂšs aux profils des familles ou endroits qui souhaitent de l’aide. On peut voir des photos de l’endroit, d’eux ou encore de leur projet. Il y a aussi une petite description de la mission, ce qu’il attendent de nous, ce qu’ils nous proposent culturellement, socialement et bien Ă©videment au niveau logistique et nourriture en Ă©change de notre aide. On peut aussi voir la pĂ©riode demandĂ©e. Il y a aussi les commentaires laissĂ©s par d’anciens volontaires, ce qui est un point trĂšs important. C’est Ă  nous, aprĂšs Ă©tude de leur profil, de les contacter si on est intĂ©ressĂ©. Pour moi, il Ă©tait trĂšs important de regarder les commentaires retour et de bien poser les bonnes questions avant de dĂ©cider de s’y rendre. Il est important de demander combien d’heures de travail ils attendent de nous normalement 5 heures par jour, 5 jours par semaine, et si l’on est nourrit et logĂ©. Il peut aussi ĂȘtre intĂ©ressant, si on se retrouve dans un endroit isolĂ© et qu’on souhaite se dĂ©placer, de demander s’il est possible d’emprunter une voiture. Petite info sur les sites, les Host peuvent voir Ă  qui on a envoyĂ© des demandes, donc attention Ă  ne pas en envoyer trop en mĂȘme temps. J’ai Ă©galement fait des dĂ©marches au niveau assurance, pour en avoir une bonne qui me couvrirait en cas de problĂšme. Etant seule Ă  l’étranger je ne voulais prendre aucun risque de ce cĂŽtĂ©. Certains endroits oĂč je suis allĂ©e demandaient une assurance qui couvre le travail et les accidents qui peuvent en ĂȘtre liĂ©s. Mes temps forts Le voyage en soit Ă  Ă©tĂ© fort en dĂ©couvertes, rencontres et Ă©motions. Je dirais que la premiĂšre semaine Ă©tait trĂšs forte. Je ne me rendais pas bien compte du projet que j’avais entrepris. Chaque rencontre que j’ai pu faire a Ă©tĂ© pour moi un temps fort. J’ai eu la chance de rencontrer un monsieur avec la main sur le coeur, qui m’a donnĂ© une chance et m’a fait confiance avec ses chiens de traĂźneau. Il m’a ouvert les portes de son chenil alors que j’étais dans une galĂšre pas possible. Il a acceptĂ© de me prendre en volontaire sachant qu’il n’en prend jamais. Ce monsieur Taisto Torneus, grand nom dans le domaine des chiens de traĂźneau en Scandinavie m’a fait confiance en me mettant dĂšs mon second jour seule sur un traĂźneau avec ma propre Ă©quipe de 4 chiens. Je crois pouvoir dire que mes 3 semaines et demi passĂ©es dans son chenil, dans le nord de la SuĂšde, Ă  Ă©tĂ© un des temps fort de mon voyage. Si je devais citer un autre temps fort, je dirais quand je suis allĂ©e faire du camping sauvage dans un parc naturel dans le sud de la Finlande, seule avec uniquement un sac de couchage et de quoi faire de la soupe. J’ai du couper mon bois toute seule, faire mon feu, dormir Ă  la belle Ă©toile seule dans une forĂȘt. Le calme de l’endroit m’a marquĂ© je pense pour bien longtemps. C’était la premiĂšre fois que je faisais ça et mĂȘme si je n’étais pas rassurĂ©e au tout dĂ©but, ça Ă©tĂ© une des plus belles expĂ©rience de ce voyage. Un autre gros temps fort pour moi a Ă©tĂ© mon premier vol en parapente en Autriche dans leTtirol que j’ai eu la chance de pouvoir faire grĂące Ă  deux amĂ©ricains avec qui j’ai fait mon volontariat. Ce sont deux personnes incroyables avec qui j’ai de suite accrochĂ© et qui m’ont payĂ© pour mon anniversaire la majeure partie de ce vol en parapente au dessus des montagnes notamment la plus haute montagne d’Autriche. Une expĂ©rience inoubliable. Les aspects positifs Le premier point positif est sans aucun doute l’amĂ©lioration considĂ©rable de mon anglais. Il faut dire que parler, entendre et lire de l’anglais en permanence pendant 5 mois, aide Ă©normĂ©ment. Le second est les liens que j’ai nouĂ© avec beaucoup des personnes que j’ai rencontrĂ©. Bien que je sois partie seule et passĂ© une majeure partie de mon voyage seule, j’ai malgrĂ© tout rencontrĂ© beaucoup de personnes d’horizons diffĂ©rentes. J’ai Ă©galement gagnĂ© Ă©normĂ©ment en confiance en moi, en courage et en indĂ©pendance. De façon gĂ©nĂ©rale, voyager seul ou accompagnĂ© permet de grandir, de voir d’autres façon de vivre, d’ouvrir son esprit et sa façon de penser. Je dois dire que voyager seule augmente encore plus ces points. Quand vous voyagez avec quelqu’un vous avez tendance Ă  vous reposer sur cette personne. En voyageant seule, je n’ai eu que moi pour rĂ©gler les problĂšmes que j’ai pu rencontrer. Les aspects nĂ©gatifs Il est difficile pour moi de trouver un point nĂ©gatif Ă  ce voyage. MĂȘme lorsque je me suis retrouvĂ©e face Ă  un problĂšme qui sur le coup semblait trĂšs important, j’ai rĂ©ussi Ă  trouver une solution ce qui a transformĂ© le point nĂ©gatif en point positif. Le seul point nĂ©gatif que je trouve actuellement est le fait d’avoir du rentrer. Les conseils Il ne faut surtout pas avoir peur de se lancer seule dans cette aventure homme comme femme. Dans les pays que j’ai fait, je n’ai ressenti aucune peur, aucun danger il ne faut pas se mettre dans des situations Ă  hauts risques. Prendre le temps de faire un budget qui permette de pouvoir se faire des petits plaisirs. Lorsque l’on est en voyage, ne jamais hĂ©siter Ă  sortir, aller prendre un verre mĂȘme seul, visiter une ville, lire un livre dans un cafĂ©... Le conseil le plus important pour moi lancez-vous ! On a qu’une seule vie et il ne faut pas la passer Ă  regretter parce qu’on a eu peur de faire quelque chose tout seul. Ce que ça m’a apportĂ© Comme pour l’aspect positif, je vais dire l’apprentissage de l’anglais mais aussi les liens sociaux, la confiance en moi, une vision diffĂ©rente du monde et une trĂšs grande ouverture d’esprit. Ce n’est qu’une courte liste des nombreuses choses que ce voyage m’a apportĂ©. Si vous aussi vous souhaitez partir Ă  l’étranger et avez besoin de conseils, venez nous rendre visite Ă  Info Jeunes Lorient ou contactez nous Ă  l’adresse infos
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bénévolat à l étranger dans des fermes