AA Rien qu'une larme Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelquefois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux
Mike Brant Durée 0319 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE
\n\nrien qu une larme dans tes yeux paroles
21mai 2017 - VidĂ©o de Theromantiquevirtuelje voudrais ĂȘtre une larme pour naĂźtre aux creux de tes yeux,

Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageNiwa KelInvitĂ©Sujet * ...des mots... * [PV] Dim 15 Oct 2006 - 1946 Nuit sombre
esprits perdus
les questions se posent, l’inquiĂ©tude est Ă  son comble. Au sol une terre gelĂ©e malgrĂ© la saison. Au ciel des nuages perdus les uns dans les autres dans ce noir d’encre impĂ©nĂ©trable
La Lune quasi inexistante embrasse les tĂ©nĂšbres
Les tombes prĂ©sentes sont toujours aussi facile Ă  voir, mais les inscriptions elles, sont illisibles suite Ă  ce paysage. Tout semble calme, comme souvent. Mais reste cette terre gelĂ©e
pourquoi est-elle ainsi ? Une seule explication possible, la prĂ©sence d’une personne
Mais qui est-elle ?
Comme pourrait le remarquer un passant, il se trouve qu’elle est assise dans ce cimetiĂšre, en face d’une de ces tombes. Mais il ne pourrait rien voir de plus
et c’est pour cela que nous allons nous en avançons
encore
oui, encore un peu
voilĂ , nous y sommes. Une taille et une carrure plutĂŽt imposante composent son extĂ©rieur ; un vĂȘtement et un chapeau noirs cachent celui-ci ; d’immenses chaĂźnes traĂźnent derriĂšre lui
C’est un personnage bien Ă©trange qui se trouve là
Ses doigts caressent presque avec tendresse la paroi tombale. Mais dĂ©licatement il les retira et se leva. Il passa sa main droite dans sa veste, puis il la retira. Une baguette de taille moyenne venait d’ĂȘtre prise
Et il recula
Et soudain, un Ă©clair rouge fusa droit devant lui et vint s’écraser contre la tombe. Cette derniĂšre explosa, en laissant derriĂšre elle un cratĂšre profond de quatre mĂštres carrĂ©s
Et sans mĂȘme adresser un simple regard Ă  son rĂ©sultat, il se avança Ă  travers le cimetiĂšre. Il semblait voler au-dessus du sol
Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce vrai ? Qui sait
Il ne faisait pas attention aux alentours, et pourtant, ses sens surveillaient le moindre geste possible, le moindre son audible. Puis il s’arrĂȘta sur sa route
regarda une tombe prĂ©cise, et lui rĂ©serva le mĂȘme sort que la prĂ©cĂ©dente
Mais que faisait-il vraiment ? Avait-il un but prĂ©cis ou Ă©tait-ce de l’amusement ?
impossible de connaĂźtre les rĂ©ponses
Mais il le faisait
Et le temps passa doucement
En attendant, il s’était assis au centre du cimetiĂšre, ou plus prĂ©cisĂ©ment, au centre du premier cratĂšre qu’il avait fait
Il s’avĂšre que c’était son beau-pĂšre qui reposait en paix
sans plus attendre, il Ă©tait venu le rejoindre, pour le dĂ©truire Ă  tout jamais
Il avait maintenant l’esprit leva la tĂȘte
on pouvait voir une paire de lunettes noires, qui cachaient le peu de son visage visible. C’était une personne bien mystĂ©rieuse qu’on avait lĂ . Mais on pouvait sentir une lĂ©gĂšre froideur autour de lui, et la gentillesse devait ĂȘtre assez rare Ă  premiĂšre vue
Etait-ce faux ? Bonne question
essayez de lui parler pour voir
non ? Vous avez peur ? Et bien vous rĂ©agissez comme de nombreuses personnes alors. Son aura est lĂ©gĂšrement diffĂ©rente des autres sorciers, vous l’avez bel et bien compris
Cependant, ce n’était pas vraiment dans le bien. On pouvait sentir sa lĂ©gĂšre tendance Ă  aimer le sang, comment ? Peut-ĂȘtre parce qu’il y avait une Ă©norme flaque dans ce cratĂšre, et qu’il Ă©tait allongĂ© dedans. C’est ainsi que vous vous demandez d’oĂč vient ce sang
Laissez moi vous temps en temps, il se peut que les corps morts aient toujours du sang en eux. Certes sĂ©chĂ©, mais bien prĂ©sent. Normalement, c’est lorsqu’ils viennent de mourir d’ici peu. C’était le cas du beau-pĂšre de cette personne. Il avait Ă©tĂ© tuĂ© il y a de ça deux jours. Mais jamais le tueur n’a Ă©tĂ© retrouvĂ©. D’ailleurs, aucune trace possible
A priori, celui qui avait fait ça connaissait parfaitement les Arts de meurtres. En tout cas, reste qu’il Ă©tait mort recemment
Vous savez alors ce premier deuxiĂšme point est que cette personne prĂ©sente au cimetiĂšre, venait de faire exploser le corps d’une maniĂšre disons
trĂšs violente, ce qui a permis au sang de lĂ©gĂšrement se rĂ© humidifier, et donc
enfin, je vous laisse Ă©tant expliquĂ©, nous allons pouvoir retourner Ă  la contemplation du
 hĂ©ros ».Celui-ci, toujours allongĂ© dans le liquide rougeĂątre, regardait les Ă©toiles inexistantes
Il semblait perdu dans ses pensĂ©es
Ses chaĂźnes Ă©taient enroulĂ©es autour de lui, sans pour autant l’étouffer. Position bien Ă©trange pour de simples mĂ©taux
Sa baguette Ă©tait entre ses dents, comme une paille avec un cow-boy
Ses lunettes noires reflĂ©taient lĂ©gĂšrement les nuages. Impossible de voir Ă  travers et de dĂ©couvrir ses yeux. Peut-ĂȘtre est-ce mieux comme ça. Parfois, on ne prĂ©fĂšre ne pas connaĂźtre les sentiments de la personne qu’on a en face de soi, de peur d’ĂȘtre déçu ou effrayé Et cela peut ĂȘtre le cas de ce moment mĂȘme vu la mystique du personnage
Soudain, il tourna lĂ©gĂšrement sa tĂȘte vers la gauche. Il semblait avoir vu ou entendu quelque chose. Alors, il se leva, se retira du cratĂšre, et se nettoya d’un simple coup de baguette. Il se pouvait que ce soit une bĂȘte attirĂ©e par l’odeur du sang, odeur facilement repĂ©rable pour toutes crĂ©atures s’en abreuvant comme repas
Il pointa la baguette vers la source du bruit. Les feuilles bougeaient lĂ©gĂšrement
Et tout d’un coup, une ombre sauta avec force et rapiditĂ© en sa direction. Quelques fractions de secondes plus tard, cette ombre gisait Ă  terre, inerte. Elle respirait encore. C’était un loup
Etrange pour ce genre d’endroit
Mais chose bizarre, l’homme ne l’avait pas tué Avait-il de la pitiĂ© en lui ?
Puis un autre bruit vint couper cette reflexion
Il se tourna vers la source
Etait-ce un autre loup ? Ou bien une personne s’aventurant dans le cimetiĂšre ?
DerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 958, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Ven 20 Oct 2006 - 2001 { Tes RP’s me manquaient beaucoup, tu Ă©cris tellement biennn. . Mon Nico wub. Et avec Niwa en plus, vive DN Angel. }Nuit noire. Silence Ă©ternel. Le cimetiĂšre Ă©tait calme, sans personne malveillante. Mais la voilĂ . Une ombre ? Un animal ? Une chose ? Qu’était ce cet ĂȘtre vivant ? Une demoiselle assez jeune au regard rouge se dressa pour regarder au loin. Elle semblait effrayante, aveuglante. Elle guettait. Quoi ? Nous n’en savons rien. Cette nuit lĂ , elle Ă©tait seule. Encore. Mais c’était le DĂ©mon. DĂ©pourvus de sa cape habituelle, il Ă©tait vĂȘtu de vĂȘtements moldus, dĂ©chirĂ©s Ă  plusieurs endroits. Qui pouvait bien se douter de ce qu’il venait de se produire. La jeune femme avait comme un sourire inquiĂ©tant. De ses bras dĂ©nudĂ©s on pouvait voir couler du sang, du sang auquel elle ne prenait pas garde. Qui avait Ă©tait sa victime ce soir lĂ  ? SĂ»rement un inconnu qui l’avait croisĂ© lors de sa colĂšre. Dire que dans plusieurs heures, lorsqu’elle reprendra ses esprits, dans cette tenue, elle sera affolĂ©e, elle se souviendra de tout, mais elle n’aura pas choisit. Etait ce le bon dieu qui l’avait punie en lui donnant cette maladie » que l’on appelĂ© SchizophrĂ©nie ? A voir. Mais lĂ  n’était pas la question. Elle avança vers les tombes lugubres du cimetiĂšre, Ă©coutant le cri des animaux. Lorsqu’elle sentit une prĂ©sence. Qui Ă©tait ce ? Loup. C’était la nouvelle mĂšre, Tifa, elle avait eut des louveteaux la semaine prĂ©cĂ©dente. Riku s’approcha d’elle, avec un petit sourire bienveillant. S’il y avait bien un animal qu’elle aimait, c’était les Loup, normal, elle en Ă©tait elle-mĂȘme un. Soupir. Elle s’arrĂȘta, se mit Ă  genoux et porta une caresse au pelage gris clair de l’animal. On put voir aprĂšs son corps de mĂ©tamorphoser, c’était lui. Crodacier. Ses yeux Ă©taient encore rouges, mĂȘme Ă  travers l’animal. Son pelage noir, noir Ă©meraude Ă©tincelle dans cette nuit sombre. Silence. Elle s’approcha de Tifa aprĂšs que celle-ci soit partie en galopant laissant ses vĂȘtements derriĂšre une pierre tombale. Crodacier qui n’avait rien Ă  faire, suivit la Louve. Celle-ci ne cessant pas le pas, l’Animagus dut la suivre, jusqu’à ne plus entendre le bruit de ses pattes. Jusqu’à qu’un homme se dresse devant elle. La louve tourna violemment la tĂȘte pour apercevoir Tifa qui Ă©tait Ă©talĂ©e au sol. On put lire au regard de Crodacier toute sa haine, ses sourcils se plissaient, ses crocs sortaient de sa gueule. Silence. Elle se mĂ©tamorphosa, une nouvelle fois. Un put voir un corps de jeune femme se dresser Ă  la place du loup. Totalement nu. Normal. Riku avait laissĂ© ses habits au loin ainsi que sa baguette lorsqu’elle eut pris l’apparence de son Animagus. Silence. Elle ne moquait pas mal que son corps soit exposĂ©, elle n’avait aucune pudeur. Et la haine la rongeait. Silence. La voilĂ  qui parle, ses yeux encore plus intensifiĂ©s de – Comment as-tu osĂ© humain ?! Comment ? MisĂ©rable crĂ©ature. »Dit-elle d’une voix menaçante et pleine de fougue. Elle n’en pleurait pas, elle voyait bien que la louve avait Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e mais le geste en lui-mĂȘme Ă©tait grave, vraiment. Tifa se releva tant bien que mal et partie se rĂ©fugier. Silence. Qui pouvait bien ĂȘtre ce jeune homme, ce jeune homme qui semblait si mystĂ©rieux, et pourtant 
 Riku Ă©prouvait quelque chose. Quoi ? Il avait l’air froid. Bizarre. Elle n’avait pas peur, mais, elle hĂ©sitait, elle ne savait que penser. Elle n’avait pas ce pouvoir de lire dans le cƓur des gens, de connaĂźtre leur vraie personnalitĂ©. Dommage. Puis soudain. Surprise. La jeune femme redevint elle-mĂȘme. Ses yeux rouges disparurent pour laisser place au vert foncĂ© habituel. A la seconde qui suivit elle ne comprit pas vraiment, mais par la suite, elle commença Ă  paniquer. Surtout lorsqu’elle vit son Ă©tat. Elle haĂŻssait le DĂ©mon ! Encore et toujours cette double personnalitĂ© involontaire. SaletĂ© ! La voilĂ  qui part en courant pour cacher son corps. La voilĂ  bien normale, pas vraiment la Chef des Mangemorts, et cela, l’étranger devait sĂ»rement le – Mais c’est pas vrais ! »Silence. Quelques minutes plus tard la voilĂ  qui reviens, habillĂ©e de ses vĂȘtements, du moins ce qu’il en restait, elle ne prĂ©fĂ©rait pas se remĂ©morer encore ce qu’il s’était produit. Juste Ă  cause de cette histoire avec Kaori il eut fallut qu’elle redevienne le DĂ©mon. Silence. Elle revint en face du jeune homme, presque rouge. Elle semblait gĂȘnĂ©e, et puis, elle se dĂ©voilĂ©e en gros, personne ne devait savoir son problĂšme de SchizophrĂ©nie. Sinon, elle se ferait sĂ»rement tuer, mĂȘme si ce n’est pas vraiment simple. Elle est forte, mais Ă  le cƓur d’une Serdaigle et non d’une Serpentard. Elle ne peut tuer en Ă©tant seulement Riku », il faut qu’elle soit Le DĂ©mon », le Chef des – NavrĂ©e
 Ne prenez guĂšre attention Ă  ce qu’il vient de se produire. »Et puis quoi encore ? Elle Ă©tait vraiment naĂŻve d’affirmer cela aussi naturellement. En cet instant, la jeune sorciĂšre pensait qu’il ne l’avait peut ĂȘtre pas reconnue, grĂące Ă  la pĂ©nombre des lieux, c’était possible, mais avec de bons yeux 
 Qui sait ? Et puis, Ă  part Yuki, personne n’est au courant pour le DĂ©mon. Il y avait son pĂšre aussi mais il est mort. D’ailleurs, sa tombe est tout prĂšs d’ici, juste lĂ , derriĂšre Hikaru Harada ». Silence, il devait sĂ»rement ĂȘtre satisfait, de lĂ  haut dans les Ă©toiles, ou plutĂŽt en bas, dans les entrailles de l’ si les mots Ă©taient Ă©ternels ?{ T_T Snif, ça fais longtemps que j’ai pas Ă©cris, c’est nul, mais j’aime bien le scĂ©nario =D, j’espĂšre que toi aussi, sinon je change =] Mais ça devrait ĂȘtre comique, enfin, me tarde de voir la rĂ©action de ton perso XD }_________________uc_ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 012 Bruissements lĂ©gers
pas feutrĂ©s
discrĂ©tion plus qu’imperceptible. C’était la description la plus exacte de celle de l’homme prĂ©sent. Il guettait
encore et encore. Mais il ne dĂ» pas attendre longtemps. AprĂšs s’ĂȘtre doucement glissĂ© sur son cĂŽtĂ© droit, il garda fermement sa baguette, sans la moindre vibration d’une quelconque apprĂ©hension. Puis soudain, un corps se retira de l’ombre
On pouvait reconnaĂźtre la silhouette d’une femme
Elle semblait plutĂŽt belle
Mais l’inconnu ne pu s’empĂȘcher de remarquer qu’elle Ă©tait
nue. Il ne s’approcha pas, gardant une distance qu’il considĂ©rait comme distance de sĂ©curitĂ© ». D’aprĂšs sa maniĂšre d’ĂȘtre et sa façon dont elle lui parla ensuite, elle ne parut pas de bonne humeur, bien au contraire. Il reconnut une voix menaçante, remplie de haine
Cependant, cela ne le fit pas bouger d’un pouce
mĂȘme, il ne cilla mĂȘme pas derriĂšre ses sombres lunettes noires. Les paroles prononcĂ©es par la jeune femme Ă©taient pourtant provocatrices, mais non
Il resta lĂ , sans rien dire. Et puis, rĂ©action Ă©trange, il baissa sa garde, et regarda la personne avec plus d’attention. Non je vous rassure, ceci n’est en aucun cas une forme de perversité celle oĂč un homme profite de la situation pour disons
 se rincer l’Ɠil ». Il admirait les yeux rouges de la personne qui Ă©tait en face. Bien que rien n’était lisible sur lui, il Ă©prouvait une lĂ©gĂšre Ă©motion Ă  les regarder, comme s’il Ă©tait chez lui. Mais malheureusement, il ne pu pas les contempler pendant plus longtemps, car la jeune femme disparut soudainement, aprĂšs que ses yeux eurent brusquement changé pour devenir d’un vert foncĂ©. On pouvait croire Ă  une sorte de
mĂ©tamorphose. Il se demanda intĂ©rieurement ce qui pouvait se passer
Il analysa rapidement les faits
et se garda bien de toutes rĂ©ponses il se tourna en direction d’une tombe proche. Au ciel, les nuages se resserraient de plus en plus
Une pluie Ă©tait Ă  prĂ©voir. Il s’en soucia guĂšre
Il jouait avec ses chaĂźnes, avec l’aide de sa baguette. Mais soudain, un nouveau bruit. Il souleva son arme Ă  l’endroit oĂč son esprit lui disait qu’un ĂȘtre s’y trouvait. C’était ses longues et Ă©paisses chaĂźnes qu’il faisait lĂ©viter
Mais elles semblaient faire bien plus que lĂ©viter, comme si elles Ă©taient
vivantes
Puis, confirmation des pensĂ©es de l’homme
quelqu’un Ă©tait bel et bien lĂ . Cependant, il retira promptement l’offensive mĂ©tallique, les dĂ©posant au sol. Pourquoi cela ? Peut-ĂȘtre parce que la femme Ă©tait de retour
avec ses yeux de couleur verte. Elle avait ajoutĂ© un peu d’habits sur elle. Il remarqua rapidement qu’elle Ă©tait dĂ©sarmĂ©e
ou presque. Sa beautĂ© Ă©tait elle-mĂȘme une arme. Mais Ă  priori, le prĂ©sent n’était pas du genre Ă  se laisser amadouer par la beautĂ© de la femme
la pire faiblesse d’une grande majoritĂ© des personnes de sexe masculin. Il se contenta de s’approcher doucement d’elle
alors que celle-ci lui demandait de ne faire comme si de rien Ă©tait
comme s’il n’avait rien vu. Sur ce, alors que la femme Ă©tait prĂšs de lui, il dĂ©posa son index gauche sur les douces lĂšvres de la charmante crĂ©ature. Son autre main faisait quelques gestes Ă  la baguette
Et soudain, elle fĂ»t habillĂ©e d’un corset et d’une jupe provocante
Il recula d’un pas. Puis, il fit un autre geste. Elle Ă©tait maintenant vĂȘtue d’une robe de mariĂ©e. Et il renouvela plusieurs fois la chose, restant parfaitement neutre
Mais il s’arrĂȘta alors qu’il lui avait remis le peu de vĂȘtements qu’elle avait au dĂ©part. Il souriait faiblement
~Niwa On pourrait jouer Ă  ça toute la soirĂ©e
non ?C’était une voix profonde et calme qui avait prononcĂ© ces paroles
Et ce n’était pas un sourire ordinaire
mais alors, que traduisait-il ?
Mais tout Ă  coup, les traits de son visage se resserrĂšrent et un Ă©clair rouge s’échappa de sa baguette, alors qu’aucune formulation n’avait Ă©tĂ© produite
L’éclair frĂŽla le visage de la personne et vint s’écraser contre une tombe
Cette derniĂšre explosa sans cĂ©rĂ©monie. En ce qui concernait l’homme, il s’était de nouveau adossĂ© contre la paroi. Il fixait la jeune femme, la baguette baissĂ©e vers le sol. Il semblait pensif
En tout cas, c’était ce qu’il laissait paraĂźtre
~Niwa Le chat et la souris
Des mots traduisant parfaitement l’état des choses
Cependant, la souris n’avait aucun lieu oĂč se cacher, oĂč quoi que ce soit pour se protĂ©ger, bien au contraire. Elle s’était mise seule dans une situation plus que dangereuse, entre les mains d’un ĂȘtre que l’on pourrait considĂ©rĂ© de
 dĂ©rangĂ© ». Mais l’était-il vraiment ? Il semblait connaĂźtre des choses
de nombreuses choses. Mais d’autres personnes diraient tout simplement qu’il en faisait trop avec son accoutrement intimidant
Des lunettes noires en pleine nuit
quelle idĂ©e ! De plus, il ne devait pas voir grand chose
Pourtant, quelle prĂ©cision tout Ă  l’heure
Que des Ă©loges vous me diriez
Et vous auriez sĂ»rement raison. Mais pour le moment, c’est une simple et rĂ©aliste description de la scĂšne
DerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 1001, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 2231 { Vivement Mercredi. }La jeune femme restait silencieuse, sans pensĂ©es fixes. Elle faisait juste acte de prĂ©sence. Elle Ă©tait tout de mĂȘme un peu gĂȘnĂ©e, ce n’était pas dans son habitude d’exposer son corps Ă  tous les regards masculins. Soupirs. Alors que l’inconnus venait juste de remarquĂ© une nouvelle fois sa prĂ©sence, Riku pensa qu’elle n’aurait pas du revenir, elle n’aurait rien a tirer profit de cette rencontre. Quoi que, elle ne s’avait pas vraiment Ă  quoi s’attendre. Alors que les chouettes et les hiboux poussaient leurs cris comme chaque nuit, Niwa s’avançait vers la sorciĂšre. Elle ne bougea pas, se laissa faire, elle Ă©tait comme intimidĂ©e. Ce qui n’est pas habituel pour elle. Soupir. Le toucher. Un des cinq sens. Elle le sentit, ce doigt, sur ces lĂšvres rosĂątre, gelĂ©es par le froid d’automne. Violette, telle Ă©tait leur couleur. Silence. Elle regarda fixement ses yeux, mais ceux-ci Ă©taient voilĂ©s. Une paire de lunette, qu’elle idĂ©e d’en porter en pleine nuit. Le jeune homme devait sĂ»rement avoir ses raisons personnelles, ou pas. Mais ce n’était pas bien important. Lorsque soudain, alors qu’elle se tenait droite, elle sentit comme un coup de froid, puis quelque chose qui lui compressait la poitrine. Elle comprit ceci qu’en changeant son regard de direction. Un habit provocant. Un corset et une jupe plissĂ©e. Quelque chose que la demoiselle n’aurait jamais eut idĂ©e de mettre. Mais alors qu’elle s’apprĂȘtait Ă  se l’enlever, elle ressentit une nouvelle fois la mĂȘme Ă©motion. Elle Ă©tait – cette fois ci – habillĂ©e d’une superbe robe de mariĂ©e. Blanche. Comme toutes les princesses en rĂȘve. Mais ce n’était pas vraiment le cas de l’Ancienne Serdaigle, pas du tout. Alors qu’elle fronçait les sourcils, l’inconnu renouvela une nouvelle fois l’expĂ©rience, et encore, jusqu’à qu’elle rĂ©cupĂšre ses habits naturels. Durant la procĂ©dure elle resta muette, plutĂŽt inerte et parfois Ă©tonnĂ©e, ça pouvait se voir comme un jeu, comme une histoire, comme quelque chose de divertissement. Riku se laissait faire. Chose – pour l’instant – vraiment inhabituelle. Silence. Un son, une – On pourrait jouer Ă  ça toute la soirĂ©e
non ? »Surprise. Riku ne rĂ©pondait pas, elle le regardait tout simplement, mais il n’avait pas spĂ©cialement tort, mais le ton qu’il prenait n’était pas vraiment rassurant, bien au contraire. Et puis il tenait sa baguette comme s’il allait jeter un sort, la sorciĂšre n’y prĂȘtait pas une forte attention, ce qui Ă©tait mauvais pour elle, bien trop mauvais. Alors qu’elle respirait calmement, regardant le jeune homme d’une vingtaine d’annĂ©e, elle la vit. Cette Ă©tincelle, si rouge, si aveuglante, si soudaine. Surprise ! Elle resta muette, mais tenta d’éviter le sortilĂšge, mais celui-ci frĂŽla sa joue, et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle explosa en morceau. Mais la voilĂ , elle Ă©tait de retour. Vraiment. Ils Ă©taient comme tout Ă  l’heure, on l’avait attaquĂ©, elle se sentait offensĂ©. Encore. Comment pouvait-on oser ? Ses yeux, ils Ă©taient rouges, du sang, de la haine, le combat. Le DĂ©mon » Ă©tait de retour. Enfin. Une sorte d’onde psychique Ă©manĂ© de ce corps fĂ©minin, rien qu’à voir son visage, on y dĂ©cernĂ© de la colĂšre, le calme, elle ne connaissait pas vraiment dans ce genre de situation. Surtout lorsqu’elle sait que l’adversaire est fort, trĂšs fort. Elle ricane, la Chef des Mangemorts ricane. Elle semblait heureuse par moments. Elle est bien spĂ©ciale. C’est elle. – Le chat et la souris
 »Silence. Jeu auquel jouait anciennement la Directrice des Serdaigles lorsqu’elle se trouvait Ă  l’Orphelinat, mais cela date de longtemps, et elle comprenait fortement la tournure de la situation, et ce que voulait dire le jeune homme par ce jeu. Sourire. S’il provoque le Diable, il sera servit. Mais est-il conscient que ceci le mĂšnera a sa perte ? Sauf si l’Ange dĂ©munis rĂ©apparaĂźt avant la fin de la nuit. – Serais-ce une provocation en duel ? »Dit-elle simplement, avec une voix narcissique. Une voix qui lui donne l’air d’ĂȘtre sure d’elle, pourtant, elle sait trĂšs bien que ça ne devrait pas ĂȘtre Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mer 25 Oct 2006 - 2145 Silence
PensĂ©es interrompues. L’homme, qui nous est toujours inconnu, venait de remarquer le changement radical de la jeune femme lors de son attaque » surprise. Mais il ne bougeait toujours pas
MĂȘme, il souriait. Pourquoi ? Que cachait-il ?
des questions, toujours des questions. Cependant, les rĂ©ponses ne viennent jamais de lui-mĂȘme. Peut-ĂȘtre qu’il expliquera les choses au fur et Ă  mesure, qui sait ? Mais laissons de cĂŽtĂ© cette rĂ©flexion
Car Ă  l’instant mĂȘme oĂč je vous parle de cela, l’homme avait disparu. Et soudain, les chaĂźnes s’animĂšrent d’elles-mĂȘmes et vinrent s’enrouler autour de la tombe oĂč elles Ă©taient posĂ©es pour ensuite la dĂ©truire d’une puissante Ă©treinte. Que se passait-il ? OĂč Ă©tait-il ?Mais soudain, une voix s’éleva de nul part
Elle Ă©tait chaude
d’ailleurs, Riku devait sentir un souffle contre sa nuque. Pourquoi ? Peut-ĂȘtre parce qu’il se trouvait lĂ  au moment oĂč il prononça ses paroles ~Niwa Non, je ne pense pas
Oublie la force, songe Ă  embrasser l’écorce
Disparition
Suspension continue des chaĂźnes
Puis un bruit aqueux. Retour de la personne
de nouveau assise au milieu du bain de sang. Il le touillait du bout de sa baguette
Il semblait passionnĂ© par la chose. Mais soudain, le sang se mit Ă  lĂ©viter de la mĂȘme façon que les longues et Ă©paisses chaĂźnes mĂ©talliques. D’ailleurs, ces derniĂšres Ă©taient maintenant emmĂȘlĂ©es au liquide rougeĂątre. Il regardait la demoiselle alors que de sa main droite, il jouait de sa baguette
Puis il se leva. Il Ă©tait, Ă  grand Ă©tonnement, dĂ©pourvu de toutes traces rouges sur ses vĂȘtements, comme s’ils Ă©taient restĂ©s bien au sec. Il avait dĂ» les faire sĂ©cher d’une simple informulation je pense
Il Ă©tait sĂ©rieux, et ses gestes se faisaient avec rapiditĂ© et souplesse Ă  la fois. Il dĂ©posa le mĂ©tal aux pieds de la jeune femme, et forma une sorte de Sceau Ă  ses pieds Ă  l’aide du sang et de l’objet dĂ©posĂ©. Il formait une croix
une croix sataniste ! Savait-il des choses qui Ă©taient inconnues Ă  Riku ? Enfin
connaissait-il plus de choses qu’il ne laissait paraĂźtre ? Ou Ă©tait-ce un simple hasard qu’il fasse cela ?
La rĂ©ponse ? Dans ces paroles
~Niwa Content de te connaĂźtre
depuis le temps que je rĂȘvais de te voir
Riku
Sur ce, le sang se sĂ©cha sur le sol, tandis que les serpents mĂ©talliques retournaient Ă  son propriĂ©taire. Il les fit se calmer
tout comme il l’était en ce comment savait-il qui elle Ă©tait ? Etait-ce parce qu’elle Ă©tait recherchĂ©e un peu partout ? Ou Ă©tait-ce par un autre moyen
magique ? Il semblerait que ce soit cette derniĂšre option
Car cet homme n’était personne d’autre que Niwa Kelhena, comme il l’expliqua si bien dans cette phrase
~Niwa PrĂ©sentation oblige
Niwa Kelhena pour te servir
Cependant, contrairement Ă  ce qu’on pourrait penser, jamais il n’avait dans l’idĂ©e de la servir au bon sens du terme. C’était lĂ  une simple forme de politesse
Il ne servait personne, Ă  part soi-mĂȘme. Etait-ce de l’égoĂŻsme ? Non
juste que dans la vie il a appris Ă  ne compter sur personne Ă  part lui. Enfin bref. Retournons au fait qu’il sache la maniĂšre avec laquelle il a su qui il avait en face de lui
Il s’avĂšre que Niwa, Auror spĂ©cialisĂ© dans la garde personnelle du Ministre de la Magie, avait quelques pouvoirs rares et utiles
Ils sont au nombre de deux. Ce sont la LĂ©gilimencie et l’Occlumencie. AprĂšs avoir remarquĂ© une certaine habiletĂ© dans ces deux domaines, une personne enseignant dans l’école supĂ©rieure qu’il a frĂ©quentĂ© s’en est occupĂ© personnellement
Et le voilĂ  maintenant expert dans chacune de ces matiĂšres. C’était un vĂ©ritable plus », aussi bien dans les duels que dans la vie de tous les jours
C’est pour cela qu’il savait lĂ©gĂšrement les pensĂ©es de l’autre
bien sĂ»r, Ă  une faible limite s’il n’utilise pas la force. Mais il avait plus malin que ça
car Riku n’est pas n’importe qui, et son esprit est tout sauf faible. Lorsque la croix au sol s’était formĂ©e, il a profitĂ© de cette diversion pour lancer un sort de lĂ©gilimencie sur la jeune femme. Faible soit-il, mais suffisant pour la connaĂźtre lĂ©gĂšrement
Certes c’était quelque peu impoli, mais comme dit le proverbe, vaut mieux prĂ©venir que guĂ©rir
Puis, il baissa sa garde, et se mit de nouveau Ă  sourire
ses lĂšvres formant un croissant mystĂ©rieux
 Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Jeu 26 Oct 2006 - 1847 { Magnifique RP, par contre le mien est bof }Silence. PensĂ©e obscure. Le DĂ©mon ne pouvait s’en empĂȘcher. Ses yeux rouges qu’on pouvait confondre avec du sang en Ă©taient la preuve. Dans ces cas lĂ  elle n’avait aucune pitiĂ©, aucune. Il lui Ă©tait donc facile d’îter la vie, Ă  n’importe qui. MĂȘme si c’était une personne de sa famille, sauf si la vrais Riku » reprenait surface, ce qui est un cas rare dans ce genre de circonstance. Soupirs. Alors que la jeune femme qui Ă©tait dressĂ©e devant le jeune Ă©tait Ă©prise d’une haine absolue, elle vit apparaĂźtre des chaĂźnes prĂšs d’elle et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle fut totalement dĂ©truite, en morceau minuscule. Sourire. C’était un spectacle magique. MĂȘme pas un peu de respect pour le mort. Surprise. Tant mieux. Le DĂ©mon commençait Ă  bien apprĂ©cier son adversaire » car c’est ainsi qu’elle le considĂ©rĂ©e, jusqu’à ce qu’il rĂ©ponde Ă  sa question. – Serais-ce une provocation en duel ? »Niwa – Non, je ne pense pas
Oublie la force, songe Ă  embrasser l’écorce
 »Silence. C’était de belles paroles, rĂ©flĂ©chis peut ĂȘtre, mais avec une notation magnifique. Mais ce n’était guĂšre les pensĂ©es de Riku, bien qu’elle aimait bien entendre ces mots. Soupirs. Elle ne rĂ©pondit rien Ă  cette phrase dont elle ne trouver aucune rĂ©ponse convaincante, restant donc neutre, elle regardait ce qui se produisait sous ses yeux. Le spectacle continuait. Magnifique. Du sang ? Non elle ne rĂȘvait pas. C’était prodigieux. Sourire. Elle regardait ce manieur compĂ©tant attendant la fin de son tour ». Puis lorsqu’elle posa ses yeux au sol elle l’aperçut. Un sceau ». Non, une croix, une croix sataniste apparemment. L’incomprĂ©hension rĂ©sidĂ©e apparemment dans le cerveau du DĂ©mon. Elle restait incompĂ©tente vis-Ă -vis de sa rĂ©flexion sur ce sujet. Soupirs. Elle le regarda une nouvelle fois, attendant des explications mais ce fut tout autre. Une voix, la – Content de te connaĂźtre
depuis le temps que je rĂȘvais de te voir
Riku
 »Hana-Bi – Comment connais-tu mon nom ?Comment pouvait-il connaĂźtre son nom ? De plus, comment se permettait-il de lui parler si familiĂšrement ? Etait ce une de ses anciennes rencontre ? Poudlard peut ĂȘtre ? Elle n’en avait aucune idĂ©e, et puis Ă  l’époque, elle n’était point sortit du corps de Riku, le DĂ©mon attendait son heure. L’heure de la nouvelle rencontre. Hikaru ». Soupirs. Durant ces pensĂ©es, le sang prĂ©sent Ă  ses pieds commençait Ă  sĂ©cher, pour ne faire plus qu’un avec la terre fertile. Silence. En y rĂ©flĂ©chissant bien, il y avait peut ĂȘtre un moyen, un seul, qui pouvait lui faire connaĂźtre quelques rĂ©fĂ©rence sur la jeune sorciĂšre. Hana-Bi – LĂ©gilimens ? »Silence. Si cela Ă©tait bien le cas cela Ă©tait quelque peu dangereux, bien que Riku ait quelques capacitĂ©s en ce qui concerne l’Occlumancie, celles-ci n’étaient pas Ă©normes. Elle avait eut quelques cours avec diverses personnes, mais ce n’était pas devenue une as de cette capacitĂ©, prĂ©fĂ©rant d’autant plus Crodacier » dont elle a dut bosser Ă©normĂ©ment pour obtenir cette apparence. Soupirs. Regards intenses, que savait-il exactement ? La jeune femme hĂ©sitait, le tuer, s’en servir, lui faire cracher le morceau ? Toute ces Ă©ventualitĂ©s ne seront pas une tache facile a faire, donc patience, elle attend. Une – PrĂ©sentation oblige
Niwa Kelhena pour te servir
 »Cette information n’avançait guĂšre la jeune femme, mais elle fit avec. Silence. Elle le regarda Pour te servir » , elle eut comme un air de dĂ©goĂ»t Ă  cette phrase. Comme s’il Ă©tait sĂ©rieux, du moins son visage restait inerte. Et puis, Riku ne compte que sur elle-mĂȘme, ses Mangemorts sont lĂ  seulement pour faire les petites missions inutiles qu’elle ne veut pas accomplir par flemme. Soupirs. Elle regarda une nouvelle fois son interlocuteur de ses yeux rouge sang, et pris la – Et que me veux tu pour avoir tant attendus ma rencontre ? »Silence, elle restait froide et distante. Mais sa colĂšre s’était dissipĂ©e pour laisser place Ă  l’ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 31 Oct 2006 - 1739 Patience. Attention continue des moindres gestes et paroles de sa part. Niwa, toujours aux aguets, observaient la plus infime partie des choses, contrairement Ă  ce qu’il laissait paraĂźtre. Rester inerte Ă©tait sa principale Ă©motion. Cependant, son cƓur lui chuchotait Ă  l’oreille de ses sens
encore et encore
Et ici, que lui chuchotait-il ? Fallait-il qu’il la tue ? Non
ses pensĂ©es Ă©taient tout autres. Celles-ci Ă©taient simples et claires. Mais ne pensez pas que je vais vous les dire ainsi
Le moment viendra, comme dans tout dans la vie, chaque chose en son face de lui, une personne intelligente, rusĂ©e et maligne. Mais d’un lunatique absolu
En ce moment, c’était le DĂ©mon qui le regardait droit dans les yeux, comme vous l’avez compris. Ce rouge
si prĂ©sent dans les yeux de Riku
plaisant Ă  ceux de l’homme. Ce dernier, restait silencieux
Elle, elle se demandait comment il pouvait la connaĂźtre. Vous, bien sĂ»r, vous savez trĂšs bien la raison, contrairement Ă  cette charmante demoiselle, Chef des Mangemorts, vous voyez ? Ceux qui lui obĂ©issent au doigt et Ă  l’Ɠil, dans l’espoir d’une quelconque reconnaissance souvent inexistante. D’ailleurs, elle lui parlait sur un ton qui Ă©tait habituel aux yeux de Niwa. Elle Ă©tait froide, mais pas si distante que ça. Il sentait l’intĂ©ressement qu’elle Ă©prouvait dans ses il se rapprocha une nouvelle fois d’elle. Puis, il s’arrĂȘte alors qu’il Ă©tait Ă  seulement vingt centimĂštres de son visage. Il passa son doigt dans les cheveux de la jeune femme, avec tendresse et dĂ©licatesse
Et, il leva sa main comme s’il allait la gifler. Mais il ne fit qu’apparaĂźtre une rose rouge, qu’il dĂ©posa dans les mains de Riku. Il approcha son visage encore un peu plus
Que voulait-il faire ? Qu’avait-il en tĂȘte ? Il se rapprocha
encore
encore un peu, plus que 5 centimĂštres
non, il s’interrompit. Il baissa la tĂȘte, prenant un air gĂ©nĂ©. Et il la releva quelque peu
Il poussa un faible soupir, et
se mit Ă  sourire ! Quelle Ă©trangetĂ© dans ce personnage ! Et, il rigola avec discrĂ©tion
 ~Niwa Hum hum hum
pourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu qu’à force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore l’est-ce ?
Il s’interrompit ici
pourquoi parlait-il en rime ? Etait-ce une vieille malĂ©diction qu’avait certaines personnes ? Ou Ă©tait-ce tout autre
Au lieu de vous laissez mijoter dans cette mĂ©ditation, je vous rĂ©ponds. Il s’avĂšre que Niwa n’est en aucun cas maudit. Juste qu’il aime la poĂ©sie et la mystique
Rien de plus, rien de soudain, un bruit par derriĂšre. RapiditĂ© et prĂ©cision sont les qualitĂ©s les plus adĂ©quates Ă  l’éclair jaune qui avait dĂ©jĂ  atteint la source de ce bruit
C’était un simple hibou. C’était
car lĂ  c’était devenu un insecte noir et rĂ©pugnant un cafard. La mĂ©tamorphose empĂȘche souvent la Mort
comme on le lui avait appris auparavant. D’ailleurs, autre chose
Niwa avait transplanĂ©. Il se trouvait assis, en train de jouer de la flĂ»te
Les notes Ă©taient mĂ©lancoliques et douces
Certaines personnes, sensibles, pourraient verser une larme
Quelle beau portrait ce soir-là
du sang sĂ©chĂ©, formant la croix Sataniste
une personne qui n’est autre que la Chef des Mangemorts
une louve blessĂ©e maintenant partie
et un hibou transformĂ© en cafard. Et lui ? Que faisait-il dans la vie ?
La symphonie continuait
Et, elle atteint petit Ă  petit sa fin. Une note en si bĂ©mol l’acheva
Pendant 5 secondes elle rĂ©sonna
tympans vibrant sous cette mĂ©lodie. Il retira ses lĂšvres du bec de la flĂ»te
~Niwa Te connaĂźtre
pour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtre
Puis il commença une nouvelle mĂ©lodie, attendant une rĂ©action de la jeune demoiselle. S’il fallait discuter, il discuterait. S’il fallait se battre, il se battrait. Et s’il fallait la tuer, il la tuerait
Telles Ă©taient ses visions. Primitives, certes. Mais il est ainsi. Il ne se fiait qu’à son instinct, qu’à sa maniĂšre de penser. Pourquoi se tromper soi-mĂȘme alors que nous avons des issus devant nous ? C’était ce qu’il se disait, entre autres bien des choses. DerriĂšre ses lunettes noires, il observait la silhouette de la femme. Belle et gracieuse Ă©taient les mots que son cƓur venaient de choisir. Puis ses yeux
Aussi terribles que magiques, porte de son Ăąme rĂ©vĂ©lant chaque infime parcelle de sa personne. Pas besoin d’aller plus loin se dit-il. Il ne voulait pas pĂ©nĂ©trer dans un jardin qu’il respectait, et qu’il prĂ©fĂ©rait connaĂźtre diffĂ©remment
Mais comment alors ?
Les notes volaient au rythme des gouttes d’eau qui tombaient du ciel
le vent les emportant
pour une meilleure mystique, comme il aimait si bien
 Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 14 Nov 2006 - 2131 { DĂ©solĂ© du retard =] . Et au fait, j’ai des potes qui sont tombĂ©es sur tes photos et qui fantasme sur toi, j’suis jalouse T_T . x] *sors* =P }Silence. Le DĂ©mon resta inerte. Il attendait juste une rĂ©ponse pour Ă©claircir son esprit de fou, de tueur. Mais sans vraiment savoir pourquoi, il Ă©tait comme envoĂ»tĂ©, quelque chose de vraiment particulier l’empĂȘchait d’ĂȘtre violent. Mais quoi ? Tout n’est que mystĂšre, alors que Riku lutait en elle-mĂȘme pour reprendre sa place, tout ceci Ă©tait fait en vain. Vraiment pitoyable. Qui pourrait croire que la Chef des Mangemorts Ă©tait une personne si faible en rĂ©alitĂ©. Qu’elle Ă©tait totalement possĂ©dĂ©e d’une personnalitĂ© autre, mais qui faisait tout de mĂȘme partie d’elle. Peut ĂȘtre qu’un jour, elle pourra s’en dĂ©barrasser, mais faudra-t-il d’abord qu’elle comprenne
 Ce qui Ă©tait loin d’ĂȘtre le cas pour l’instant. Soupirs. Mais qui sait. Peut ĂȘtre dans plusieurs annĂ©es, sa maturitĂ© aura Ă©voluĂ©e, tout comme ses deux personnalitĂ©s. Silence. Retournons a la rĂ©alitĂ©. Celle-ci si tendue
 Le froid rĂ©gnait, mais Riku ne laissait transparaĂźtre aucun frisson alors qu’elle Ă©tait que trĂšs peu couverte. Elle regrettait presque les vĂȘtements qu’elle portait il y a quelques minutes. MĂȘme ci ceux-ci n’étaient qu’amusement pour son interlocuteur. Alors que le jeune Niwa Ă©tait assez Ă©loignĂ©e d’elle, il commença a s’approcher, petit Ă  petit, en silence. Riku ne bougea pas, elle resta froide. Ses lĂšvres l’attiraient Ă©trangement, mais elle ne fit rien. Rien de plus que de regarder la scĂšne. Son visage si 
 SĂ©duisant. { x] }. Si si. C’était comme si Riku reprenait le dessus dans ces prises de faiblesses du DĂ©mon. Mais rien n’était fait. Alors que Niwa se trouvait qu’à cinq petits centimĂštre, et qu’elle pouvait jusqu’à entendre le moindre bruit de respiration qu’il produisait, il se retira, laissant devant elle une rose rouge, comme ses yeux. Sourire. Il l’a mis dans les mains de Riku qui ne put s’empĂȘcher d’accĂšpter le prĂ©sent. Sourire. Pourquoi tant se poser de questions ?Niwa – Hum hum hum
 Pourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu qu’à force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore l’est-ce ?
 »Silence. Il n’avait pas tort dans ses propos, et sans doutes Ă©tait-ce pour cela que la Chef des Mangemorts ne rĂ©pondit rien. Elle savait garder le silence dans de telles circonstances, elle se laissait plutĂŽt guidĂ©e par son instinct. Elle semblait pourtant si naturelle Ă  prĂ©sent.. Mais ses yeux Ă©taient toujours imprĂ©gnĂ©s de rouge, jusqu’à ses pupilles, ce qui prouvait que c’était toujours le DĂ©mon. Puis le personnage se trouvant sous ses yeux disparut en un instant pour se rĂ©fugier plus loin. Transplanage. Un air de musique. MĂ©lodieux, mĂ©lancolique, si triste. Le DĂ©mon transplana Ă  son tour et rejoingnis son partenaire. Un flĂ»te Ă  la main, elle Ă©couta quelques secondes, et une larme coula de son Ɠil. Son Ɠil qui Ă©tait redevenus vert, comme a son initial. Riku semblait contracter ses muscles, comme pour prouver une forme de rĂ©ticences, elle avait gagnĂ©e le combat. Surprise. Le DĂ©mon Ă©tait repartis, encore. Jamais elle ne s’était transformĂ©e autant en une seule journĂ©e. MĂȘme pas lorsqu’il Ă©tait lĂ , lui. Hikaru. Mais elle Ă©tait tout de mĂȘme heureuse de retrouver son corps. Rien qu’à elle. Mais que pouvait-elle dire au joueur de flĂ»te ? Une larme silencieuse coula aussi de l’autre Ɠil, mais resta discrĂšte. Bien trop sensible. Comme chaque Serdaigle. Elle n’était pas plus forte que les autres, mĂȘme trĂšs faible comparĂ©e a certains, son cƓur et son expĂ©rience au combat ne s’unissait pas, bien au contraire. Silence. Elle cacha ses yeux, pour avoir a Ă©vitĂ© une quelconque question inutile. Elle n’osa mĂȘme pas exprimer le fait qu’elle soit redevenue elle-mĂȘme, alors qu’il y a quelques secondes elle Ă©tait heureuse. Se sentirait-elle intimidĂ©e ? – Te connaĂźtre
pour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtre
 »Quelles paroles poĂ©tiques. Mais en saisissait-il l’importance ? Vouloir connaĂźtre Riku Ă©tait une bien grande chose, trop complexe. Que peu de personnes avaient rĂ©ussis Ă  cerner ce personnage, et celles-ci la connaissait depuis son enfance. Comment un parfait inconnu pouvait-il affirmer ça ? Et pourquoi avait-il l’air si sur de lui ? Riku ne comprenait pas un traite mot, ou plutĂŽt, elle n’y trouvait aucune signification particuliĂšre. Mais elle y rĂ©pondit, aprĂšs avoir passer le reste de manche de veste qu’il lui restait sur ses joue. Et dans une voix plutĂŽt naturelle, elle rĂ©pondit Hana-Bi – Penses-tu vraiment y arriver ? Peu y sont parvennus. Et encore moins en sont ressortis vivant. »Elle n’était plus froide dans ses propos, plutĂŽt prĂ©venante, elle donnait un conseil. Conseil qui allait ĂȘtre pris en compte ? Qui sait ?_________________uc_ Contenu sponsorisĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] * ...des mots... * [PV] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Quelques Mots» TROIS MOTS DE TROP pv Will» Laissons les mots courirent sur nos parchemins..Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers

Matristesse est telle que mes larmes couvrent le sol Je ne peux plus faire face je me suis dĂ©sistĂ©e Je deviens folle, plus rien n’est drĂŽle Si tout se brise Ă  mes cĂŽtĂ©s C’est que je cherche un sourire de ta part quelque part Une larme, un regard, un baiser Une phrase, un espoir, pour me sentir aimĂ©e Je ne suis plus rien sans toi
Mike Brant Durée 0322 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE
Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'était certain cet fois Que rien d'amoureux viendrait On se trompe quelque fois Une larme a tout changer Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que nous deux C'est moi le plus malheureux
Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-Lard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1816 Betty marchait Ă  cĂŽtĂ© de ses nouvelles amies et aurors, LoreleĂŻ et Eden. Elle venait de finir sa formation avec Eden, et c’était la premiĂšre mission que sa chef Morgane avait bien voulu lui confier. Donc pour Betty, c’était sa premiĂšre patrouille, par consĂ©quent elle Ă©tait toute enjouĂ©e Ă  se balader dans la montagne, Ă  la recherche d’un moindre incident suspect. En effet, quelques heures plutĂŽt au QG des Aurors, on leur avait signalĂ© un rapport d’incident au alentour de la grotte, voir dans la grotte en discutant avec ses amies, et en montant la garde, elles arrivĂšrent devant cette Ă©norme grotte. Betty n’y avait jamais Ă©tĂ© auparavant
 L’aspect extĂ©rieur Ă©tait d’ailleurs tout sauf accueillant. Les grosses pierres Ă©taient d’un gris foncĂ©, et donnaient l’impression qu’elles allaient s’écrouler sur les 3 jeunes elles prĂȘtĂšrent attention au bruit qui Ă©manait de la grotte, les Aurors comprirent vite que ce qui se tramait Ă  l’intĂ©rieur
Tendant l’oreille avec un peu plus d’attention, elles entendirent la voix d’un mangemort et s’engouffrĂšrent rapidement de la de celle-ci Ă©tait profondĂ©ment lugubre. La faible lumiĂšre du jour Ă©clairait quelques peu la grotte mais Betty pour mieux voir ce qui Ă©tait en train de se dĂ©rouler sous ses yeux prononça Lumos !Un mangemort que Betty n’avait jamais vu en raison de sa toute nouvelle arrivĂ©e dans le groupe des Aurors Ă©tait en train de lancer un sort, Incarcerem Ă  une jeune fille qui ne devait pas ĂȘtre plus ĂągĂ©e qu’une deuxiĂšme LoreleĂŻ et Eden Ă©taient alors cachĂ©es derriĂšre un roc de pierre. Lorsqu’elle regardĂšrent avec plus d’attention la scĂšne, Betty s’aperçut que la jeune prisonniĂšre du mangemort n’était autre que VĂ©nus, une jeune serdaigle avec qui elle avait discutĂ© quelques semaines plus tĂŽt
Elles sortirent alors de leurs cachette, et Betty s’avança en lançant Finite Incantatem » ce qui libĂ©ra la jeune fille de lemprise du s’avança en courant vers Venus, tout en jetant "Protego totalum !"Betty et VĂ©nus sortirent Ă  reculons, le sort les empĂȘchant de toutes attaques du mangemort, puis Ă  la sortie de la grotte, Betty pris la main de VĂ©nus et elles transplantĂšrent toutes deux, devant le parc de Poudlard. Betty la ramena Ă  pied, dans l’enceinte du chĂąteau oĂč VĂ©nus serait enfin en sĂ©curitĂ©.HRPG avec accord de vĂ©nus pour la faire sortir. InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1817 LoreleĂŻ faisait sa premiĂšre patrouille, c 'Ă©tait assez frustrant d 'ailleurs, du moins premier jours vraiment dehors Ă  faire ce qu'elle avait toujours rĂȘver de faire, elle espĂ©rait ĂȘtre Ă  la hauteur. Et puis l'autre chose qui la gĂȘnait c 'Ă©tait de se retrouver dehors. LoreleĂŻ avait passĂ© tout le reste de sa jeunesse Ă  Poudlard Ă  se cacher des mangemorts dont son pĂšre qui la cherchait surement encore et toujours pour la tuer aprĂšs avoir essayer de la recruter et jeune femme avait une Ă©lĂ©gante robe noir jusqu'au sol, une pĂšre de botte et une cape noir avec un capuchon fourrĂ©e en fourrure de couleur noir aussi. Elle avait ses cheveux solidement attachĂ©s en chignon, ses ongles coupĂ©s de prĂšs et portai un maquillage lĂ©ger. Elle suivait Betty et Eden d'un pas lĂ©ger en fourrant les mains ballante, baguette dans une serait bien une premiĂšre patrouille au calmeDit elle, sa voie Ă©tait douce, mais assez froide et cassante. Lore n'Ă©tait pas le genre de fille qu'on apprivoisait facilement, distante, solitaire mis un cƓur en or quand on la connaissait vraiment. Elle ne connaissait que de peu ses compagnes d 'armes. En mĂȘme temps ce qu'elle disait Ă©tait ironique mĂȘme si rien ne paraissait, les femmes avançait s'enfonçaient vers une grotte suspectĂ©e et elle devait allĂ© y faire un rapport....*J'aime pas çà, pas çà du tout*Comme si au fond d'elle des instincts de survie remontait Ă  la surface d'un de ses temps troubles oĂč la mort lui avait passĂ© de peu. Son teint devint pĂąle, sa main se resserra sur sa baguette. A croire qu'elle sentait de loin le monstre se cachant lĂ  . Lore continua de marchĂ© et entendit une voie de loin, et gĂ©nĂ©ralement le ton ne lui Ă©tait pas inconnu et surtout un sort lancĂ©. Elle logea la paroi rocailleuse suivant Betty avant de voir celle-ci agir. Lore dĂ©couvrit une fille qui Ă©tait attachĂ©e par des liens magique et devant elle.... un mangemort. Le cƓur de Lore ne fit qu'un tour, elle suivit Bettyet se cacha derriĂšre un rocher avec Eden aussi elle vit Betty foncer sur la fille, un regard,un sort puis on entendit un "pop" avant que la fille et Bet ne partent. Tout en une fraction de seconde alors que LoreleĂŻ lançait un sort en mĂȘme temps que Betty. Son geste fut rapide et sa bouche tellement dĂ©terminĂ©e, tellement habituĂ©e Ă  prononcĂ© çà...Sectumsempra !A vrai dire tout alla si vite que sa baguette envoyait les jets,son coup partit sans qu'elle prit conscience de l'endroit oĂč il irait dans la grotte. A vrai dire, il y avait une chance sur cent qu'il touche le mangemort. Et puis c 'Ă©tait pas le but, sa premiĂšre rĂ©action fut de protĂ©ger le dĂ©part de Betty pour ne pas que le mangemort aie le temps de rĂ©agir sur elle. Et puis, se sort avait de quoi en faire rĂ©agir plus d'un rien qu'en prononçant ce simple mot, mĂȘme sans baguette. Magie noir oui, elle venait Ă  peine de sortir de Poudlard et les maigres sorts de bases qu'elle connaissait ne lui servait pas beaucoup. Et puis dans des cas ainsi, la mĂ©moire sortait ce qu'elle pouvait et ici se fut le rĂ©sultat du bourrage de crane de son pĂšre alors qu'il la tenait captivĂ©e. La magie noir, elle l'avait en horreur mais dans ses cas si, elle prĂ©fĂ©rait la faire apprĂ©ciĂ©e par les gens qui l'utilisaient, qu'ils voient ce que çà fait... Mais tout alla si vite, LoreleĂŻ continua Ă  jeter des sorts aprĂšs celui faisant apparaitre les blessures GastroEt un de plus partait censĂ© vider les entrailles. Eden Ă©tait aussi lĂ , mais chacune sa spĂ©cialitĂ©, sa force. Lore attaquait, Eden protĂ©geait. Un tout une force, il fallait faire vite, elle Ă©tait deux, elle et Eden, pour LoreleĂŻ s 'Ă©tait son premier dĂ©fis, sa revanche sur la vie .DerniĂšre Ă©dition par LoreleĂŻ Evana le Jeu 10 DĂ©c - 1817, Ă©ditĂ© 1 fois Jude RoseburyGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Jude Rosebury, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 La sorciĂšre, aprĂšs avoir fait deux formation, Ă©tait allĂ©e voir Morgane au Qg. Celle-ci l'avait prĂ©venue qu'il y avait eu des rapports d'incidents aux alentours de la grotte. Alors, elle avait demandĂ© Ă  Eden, ainsi qu'Ă  Betty, qu'elle avait formĂ© il n'y a pas longtemps, et LoreleĂŻ. Eden n'avait pas vraiment eu le temps de se changer, gardant les vĂȘtements de l'entrainement, un peu sale, mais peut importe. Elle avait juste mit sa cape par dessus, pour arranger un peu cette apparence nĂ©gliger, qu'Eden dĂ©testait. Toute trois Ă©taient parties ensemble patrouiller, pour la sĂ©curitĂ© des lieux. Patrouillant depuis un certains temps, elle s'approchĂšrent de la grotte pour finir. Entendant des voix, et le nom d'un sort, elles se raprochĂšrent toute trois. Un mangemort ! Eden savait tout de suite qu'il s'aggissait de cela, Ă©tant donnĂ© que cette personne Ă©tait sous une cape noir, large, et en face d'elle.. Une fille ? Elle portait une tenue de serdaigle, et tenait son chat dans ses mains. Alors Eden prit sa baguette d'instinct. Elle resta dans l'entrĂ©e de la grotte, derriĂšre un rocher avec Betty et LoreleĂŻ. Puis Betty se leva avec LoreleĂŻ. Eden resta derriĂšre le rocher pendant que Betty partit Ă  la dĂ©fense de la jeune fille, et LoreleĂŻ jetait des sorts pour distraire le ne savait pas trop quoi faire pour le moment, alors elle dit sans mot Protego . Le bouclier devrait pouvoir la proteger pour un sortilĂšge. Alors Eden se leva, s'approcha, toujours surement, pour ne pas risquer de se faire avoir par le mangemort. Tendant sa baguette pointĂ©e sur le Mangemort, elle murmura Metalo Scencio .Un filet de metal sortir de sa baguette en direction du mangemort. Normalement, celui-ci devrait se retrouvai piĂ©gĂ©, et ci il tentait de se liberer, il se ferait surement des entailles, car les liens se resserent. Elle tourna la tĂȘte, et regarda LoreleĂŻ lancer des sorts. Elle attaquait, et Eden protegait la sortit, mĂȘme si elle avait jetĂ© un petit sort d' se rapprochant de LoreleĂŻ, toujours avec son bouclier, et mit son bras devant le torse de son amie et collĂšgue, et pointa sa baguette. Elle lança Ragnarok sans mot dire. A cet instant, un mur invisible de protection apparut entre la mangemort et les deux aurors. Elle dit alors - Ce n'est pas beau de s'attaquer Ă  moins fort que soit.. Seriez vous si peut sĂ»re de vos sorts ?AprĂšs cette phrase lĂ , Eden tourna la tĂȘte vers Allez, on devaient partir, maintenant que Venus Ă©tait sauve, plus rien ne les retenaient ici. MĂȘme si Eden avait envie de se battre, elle devait faire attention, et ne pas risquer sa vie juste pour une envie de combat. Elle se concentra, pensa Ă  sa destination avec determination. " QG des aurors.. " pensa t-elle. Les deux aurors s'en allĂšrent alors.. MaĂźtre de jeu Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]MaĂźtre de jeu, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 Le membre 'Eden Bolton' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'Combats Sections Act' InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Dim 17 Jan - 154 [PrivĂ© Nymphadora]Il Ă©tait tard, au moins dix heures du soir, Will Ă©tait allongĂ© sur le canapĂ© prĂšs de la cheminĂ©e, les yeux fermĂ©, on aurait pu aisĂ©ment croire qu'il dormait. Une petite tape sur l'Ă©paule rĂ©veilla le jeune homme dont les mĂšches blondes tombaient devant ses yeux *serait p'tetre temps d'aller s'faire couper les cheveux* pensa Will. La petite tape en question venait de LĂ©to, son elfe, qui se tenait devant lui avec son Ă©ternel air soumis. Il portait dans la main droite un chandelier et dans la main gauche l'un des pyjamas du jeune homme. L'elfe s'inclina bien bas puis fit- Voulez-vous allez vous coucher, ou prendre une tasse de ThĂ© ?- Merci LĂ©to mais je ne veux pas de thĂ©, et je n'ai pas sommeil, je ne dort aurait pu croire Ă  une phrase ironique, ou encore Ă  une façon de se mettre en avant mais Will ne voulait rien de tout cela, depuis le jours ou il avait Ă©tĂ© mordu par Akshay Lecter, l'homme qui lui avait sauvĂ© la vie, Will n'avait pas dormit une seule seconde comme pouvait le constater ses lĂ©gĂšres cernes sous les yeux. En fait en ce moment Will n'avait envie de rien mise Ă  part une seule chose, manger. En effet, il lui fallait sa dose de sang, sa drogue. Mais pas question de sortir dans la rue et de prendre la vie de la premiĂšre personne qui croiserait son chemin. Non, il devait prendre des prĂ©caution et n'attaquer qu'un se releva d'un coup, sans prĂ©venir. LĂ©to sursauta puis s'Ă©carta de son maitre comme pour lui donner plus d'espace. Will regarda LĂ©to droit dans les yeux puis lui fit- On y va LĂ©to, emmĂšne moi Ă  PrĂ©-Au-Lard, prĂšs des PrĂ©-Au-lard ? Mais monsieur .. A cette heure ?- Oui Ă  cette conversation Ă©tait close, Will n'avait pas envie de se justifier et surtout il avait faim, une chose qui pouvait le rendre insupportable. Le blondinet posa sa main sur la minuscule Ă©paule de LĂ©to qui disparut dans un PLOP sonore. AussitĂŽt les pieds de Will rencontrĂšrent une surface dure et poussiĂ©reuse, il venait de se poser sur l'un des sentier menant aux sommets des Montagnes. Will regarda son elfe de toute ça hauteur et lui fit- LĂ©to rentre, ne reviens que si je t'appelle. Bonne ne fit pas rĂ©pĂ©tĂ©, tourna les talons et transplana Ă  nouveau, Will Ă©tait seul. Cependant il ne devait pas trainer, son dĂ©sir devenait de plus en plus fort, il fallait qu'il trouve un animal le plus vite possible sinon le premiĂšre humain qu'il croiserait serait lui aussi se tapait dans l'ombre en attente d'une proie, immobile, silencieux, sans mĂȘme un mouvement de poitrine signalant qu'il respirait, Rien. AprĂšs environs dix minutes d'attente un gros chien, Ă  la fourrure marron passa Ă  prĂšs de 5 mĂštres de lui en se dirigeant tranquillement vers une grotte sans se douter du danger qui le menaçait. Will guetta l'animal en attendant que le moment propice arrive. Et il arriva, lorsque le chien eu fait deux pas dans la caverne Will courra Ă  toute allure dans sa direction, jamais il n'avait couru aussi vite, ses pouvoirs de vampire et sa faim devait aiguiser tout ça. Lorsqu'il arriva Ă  ses cĂŽtĂ©s Will se jeta sur lui et lui prit le cou avec sa main gauche et le plaqua contre la parois de la grotte Ă  moins de deux mĂštres de l'entrĂ©e, si quelqu'un passait par lĂ  il verrait tout la scĂšne, mais personne ne marcherait dans le coin Ă  cette heure ci. Will coinça l'animal contre la paroi et saisit la peau de son flanc Ă  laide de ses deux mains, le chien essaya de se dĂ©battre et de s'Ă©chapper mais en planta ses deux crocs aiguisĂ© avec une immense satisfaction, il allait pouvoir combler sa faim. Lorsque ses crocs transpercĂšrent la peau de ce pauvre animal une quantitĂ© importante de sang sortit de son corps que Will s'empressa d'avaler. AprĂšs avoir avalĂ© le plus de sang possible Will laissa tomber Ă  terre la dĂ©pouille du chien, la rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă  voir. Will avait du sang pleins les mains, partout sur sa chemise et sur le coin des lĂšvres, mais le pire Ă©tait l'animal, il avait le cou entier de dĂ©chiquetĂ©, ainsi qu'un aspect rien de tout cela n'Ă©tait inquiĂ©tant comparĂ© Ă  se qui allait arriver. un bruit de pas se fit entendre, puis quelqu'un entra dans la grotte et se retrouva Ă  moins de deux mĂštre en regardant Will de haut, l'homme Ă©tait toujours Ă  genou Ă  considĂ©rer le cadavre du chien. Lorsque le nouveau venu s'Ă©carta lĂ©gĂšrement et que la Lune fit assez de lumiĂšre Will pus apercevoir la visage de cette Lupin se tenait devant lui Ă  observer son ami Ă  genou du sang sur les mains, la chemise et au bord des lĂšvres, devant une dĂ©pouille de chien dont le cou Ă©tait entiĂšrement qu'est se que tu fais lĂ  ? fit Will d'une voix desesperĂ©. Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Dim 17 Jan - 352 Il Ă©tait fort tard, mais, ces temps-ci, la jeune Nymphadora Ă©tait prise d'insomnies chroniques... Elle qui sans enfance aurait tuĂ© pĂšre et mĂšre pour rester dans son lit commençait Ă  en avoir peur, peur de rester seule sous les draps, peur de mourir dans son sommeille. Vous allez me dire Ă  dix-neuf ans, fort rare sont les personnes qui meurent en dormant, mais, dans le monde actuel, tout devenait possible. C'est surtout, je pense, que la jeune femme n'aimait plus habiter cette maison sans la prĂ©sence d'Emy, vĂ©ritable fĂ©e du logis, qui y apportait sa joie et sa bonne humeur et que maintenant la modeste maison n'Ă©tait plus qu'un cinq piĂšces assez banal et bordĂ©lique. Nymphadora avait voulu, Ă  maintes reprises, la mettre en vendre, mais c'est une chose ardue que des vendre ses souvenirs aux premiers venus. Une autre option s'Ă©tait offerte Ă  elle, l'abandonner et y revenir lorsque la nostalgie se ferait trop poignante sur le cƓur de la jeune journaliste. La dĂ©cision prise, il ne lui manquait plus que le courage d'aller Ă  l'agence immobiliĂšre et acheter un nouvel endroit oĂč vivre bien loin d'ici....Quoi qu'il en soit, les aiguilles de l'horloge avoisinait les trois heures du matin, lorsque Nymphadora enfila une cape noir assez sobre et qu'elle remonta le capuchon sur sa tĂȘte pour se protĂ©ger du vent. Pas la tĂȘte Ă  aller chez "Lucette', le cafĂ© du coin oĂč se rassemblaient tous les vieux soulards de PrĂ©-au-Lard, pas la tĂȘte Ă  aller prendre une claque de souvenirs Ă  la maison en ruines, la tĂȘte Ă  rien Ă  vrai dire... Elle erra sans but, marchant sans prendre conscience de la direction que prenaient ses pieds, scrutant chaque demeure du coin de l'Ɠil et s'imaginant pour les familles qui y vivaient des histoires plus rocambolesque les unes que les autres. Untel trompait sa femme avec la femme du voisin, l'autre battait ses enfants ou s'adonnait Ă  la prostitution pour subvenir Ă  ses besoins depuis que son mari Ă©tait aux abonnĂ©s absents... Le genre d'histoires dĂ©biles qu'on lit dans des magasines moldus et qui se vendent comme des petits prit place sur un banc tout en chantonnant une vielle chanson apprise chez les moldus et dont les paroles auraient donner envie au plus gaie des hommes de se suicider. L'air hagard, elle ne reprit ses esprits que quand elle sentit une truffe sur ses genoux. Elle n'Ă©tait pas fort pour tout ce qui Ă©tait poilu, qui avait quatre pattes, qui bavait ou qui sentait une odeur incommodante, mais lĂ , elle ne put y rĂ©sister. Face Ă  elle se tenait son sosie, mais en chien ! Seul, abandonnĂ©, l'air ailleurs et qui n'avait pour occupation que le vagabondage nocture. Elle posa sa main sur le haut de sa tĂȘte et entreprit de le caresser. - DĂ©solĂ©e mon beau, mais je n'ai rien d'autre Ă  t'offrir. Je n'ai pas pour habitude de me promener avec des os ou de la nourriture pour chienBon sang, elle Ă©tait dans un dĂ©chĂ©ance totale si elle commençait Ă  parler avec des animaux ! Conversation qui ne dura pas longtemps vu que Roucky de son flair incroyable capta, au pieds de la montage, un fumet qui lui mit la bave aux babines. Nymphadora le suivit, question d'instinct, de curiositĂ©, elle savait qu'il y avait une grotte lĂ -haut et avait une envie soudaine d'y mettre les pieds. Alors qu'elle montait progressivement et qu'elle se trouvait, approximativement, Ă  deux mĂštres de la dite grotte, un spectacle inhabituel se dĂ©roula devant ses yeux. Un humain Ă©tait entrain de bouffer le gros toutou, une personne normal aurait eu peur, aurait prit la fuite et aurait une pensĂ©e triste pour le pauvre petit Milou. Nymphadora, non, elle se demande juste si le type de la grotte sera rassasiĂ© avec un chien. Pour en avoir le cƓur net, la jeune femme entra dans la grotte et y aperçu Will agenouillĂ© devant le cadavre et rempli de sang. Tomber nez Ă  nez avec sa consƓur ne semblait pas lui plaire visiblement. - Ce que je fais lĂ  ? Je viens constater que tes parents ne t'ont pas appris les bonnes maniĂšres et que tu manges vraiment comme un porc. Mais qu'avait-il donc cru ? Que sept litres de sang allait lui faire tourner de l'Ɠil ? Ou qu'elle allait partir en courant, crier Ă  qui veut l'entendre qu'une crĂ©ature bouffait les animaux domestiques ? CrĂ©ature ! Non, Will n'Ă©tait pas une crĂ©ature ! S'Ă©tait un... Un... Quelque chose. - Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? Elle se servit de sa baguette pour arroser le journaliste et lui rendre un aspect et une odeur digne de ce nom. Elle mit feu au cadavre du chien pour pas qu'il se fasse bouffer par toute sorte de bĂȘtes et que ça finisse par sentir le cadavre en putrĂ©faction dans tout PrĂ©-au-Lard, ce qui finirait par rameuter tout les villages dans la grotte et certaines personnes risqueraient de se poser des questions qu'ils ne devraient pas. Nymphadora dĂ©tailla de haut en bas le jeune homme et sa conclusion fut qu'il avait une sale mine. - Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le messageInvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Lun 3 Mai - 2207 dS'il s'Ă©tait attendu Ă  une Nymphadora choquĂ© ou apeurĂ©, Will c'Ă©tait lourdement trompĂ©. En effet, la jeune femme n'avait mĂȘme pas sourcillĂ© en voyant le corps dĂ©chiquetĂ© du chien ou encore le sang que Will avait partout sur lui. Le jeune homme Ă©tait perplexe, d'un cĂŽtĂ© il Ă©tait content que Nymphadora lui tombe dessus et pas n'importe quel idiot du village, il aurait voulu crier Ă  qui voulait l'entendre qu'un vampire se trouvait dans la montagne et Will aurait Ă©tĂ© obligĂ© de le tuer, mais d'un autre cĂŽtĂ© Nymphadora Ă©tait une personne qu'il connaissait ...Nymphadora, d'une voix neutre, comme si c'Ă©tait une parole de toute les jours lui fit- Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? - Oui, un vampire .....comme Ă  son habitude, Nymphadora ne se laissa pas dĂ©monter et prit les devants, elle se chargea de nettoyer Will d'un coup de baguette magique, se que soit disant passant Will n'aima pas des masses, puis elle fit bruler le cadavre du chien, ainsi pas une seule bĂȘte ni odeur ne viendrait signaler le massacre. Un peu honteux de la sitation Will marmona un timide "Merci" puis se Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irais mieux aprĂšs ...Bien sur Will ironisait, mais il Ă©tait vrai que son appetit n'Ă©tait pas totalement satisfait, il aurait payĂ© chĂšre pour boire un peu de sang humain, rien qu'un peu ... En fait, plus Will y reflechissait plus il pensait que Nymphadora avait soulevĂ© un point important Bien qu'il Ă©tait toujours assez costaud son manque de nourriture commençait Ă  porter prĂ©judice, ses joues commençaient Ă  se creuser et des cernes apparaissaient sous ses yeux. Pas de doute, un dernier morceau lui ferait beaucoup de tourna rapidement les talons et s'engouffra en courant plus profondĂ©ment dans la grotte en prenant soin d'attraper solidement Nymphadora par le poignĂ©e. Connaissaint Nympha, Will ne doutait pas une seule seconde que se qu'il allait lui proposer lui plairait, dans le cas contraire une fois partie ils ne pourraient tourner les talons ...AprĂšs avoir couru durant une bonne minute Will s'immobilisa le long de la paroi et renifla bruyamment vers le fond de la grotte. Les sens en Ă©veil il resta silencieux quelques secondes puis il continua sa course mais cette fois plus lentement, plus discrĂštement en marchant Ă  pas de loups ...Cinq-cents bon mĂštres plus tard, Will s'arrĂȘta en faisant signe Ă  Nymphadora de faire de mĂȘme. aussitĂŽt un grognement sonore s'Ă©leva, puis un deuxiĂšme diffĂ©rends. Will aussi commença Ă  grogner, moins fort. Peu Ă  peu deux silhouette furent distinguable, des silhouette animal. En fait, les deux jeunes gens virent quelques secondes plus tard que deux magnifique loups leur faisaient face, les crocs sortie avec un air tout sauf deux loups, plus agressif que jamais faisaient face Ă  Nymphadora et will ... Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Mar 11 Mai - 1624 - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irait mieux aprĂšs ...- Ca ferait quoi si tu me prenais un peu de mon sang ? Si tu pointes tes grandes dents quelque part dans mon corps, est-ce que je me transformerais en vampire ? Si je peux rester humaine, alors vas-y fais le et bouffe un peu de mon sang, mais bon si je dois troquer ma belle dentition pour des dents pointues comme les tiennes laisse tomber. On trouvera bien un moyen de te nourrir. On pouvait ĂȘtre mĂ©chante, froide et cruelle comme Nymphadora, celle ne voulait pas pour autant dire que l'on ne possĂ©dait pas un cƓur et et que l'on ne se serait pas coupĂ© en quatre pour ses amis. Ça lui dĂ©chirait les tripes de voir Will si faible et aussi mince qu'un manche Ă  balais, tandis qu'il lui tournait le dos, elle le regardait de haut en bas, ce n'Ă©tait plus vraiment le fringant jeune homme qu'elle avait connu des mois auparavant. La jeune brune fit apparaitre une petit coupole et se coupa le poignets tout en Ă©vitant les veines, elle n'Ă©tait pas suicidaire tout de mĂȘme, et laissa son sang couler dans le rĂ©cipient. Une fois celui-ci plein, elle referma sa coupure et tendit le sang Ă  son ami. - Me regarde pas avec tes yeux de chien battu et bois ça vite fait bien fait avant que je te le fasse ingurgiter par le nez. Que cela reste entre nous Will, il est hors de question que tu te ramĂšne avec tout tes petits amis au sang froid pour que je vous nourrisse tous, mais si jamais tu as encore besoin de sang, n'hĂ©site pas. Rapide comme il Ă©tait, Nymphadora ne se rendit pas compte que le vampire lui prenait le poignet et l'obligeait Ă  s'enfoncer Ă  l'intĂ©rieure de la grotte. Elle ne savait pas si elle devait lui foutre une bonne raclĂ©e ou le laisser la tirer comme un vulgaire jouet, dans le cas oĂč il voudrait se battre contre elle, il savait dors et dĂ©jĂ  qu'il n'avait aucune chance contre sa comparse. Effectivement, Nymphadora utilisait dĂ©jĂ  sa baguette comme une arme mortelle que Will tĂ©tait toujours le sein de sa mĂšre ! Il courait assez vite et la jeune brunette avait quelque peu du mal Ă  la suivre surtout qu'elle et l'athlĂ©tisme ça avait toujours fait deux, mais il dĂ©cida enfin Ă  s'arrĂȘter. - Tu joues Ă  quoi lĂ  ? Il lui plaqua nĂ©gligemment la main contre sa bouche afin qu'elle se taisse, apparemment, ils n'Ă©taient pas seuls dans la grotte et Will arrivait Ă  sentir cette prĂ©sence qui devait ĂȘtre tout sauf humaine Ă  en juger par les grognements qui se faisaient entendre. Hooo...Will voulait donc s'amuser et invitait sa jeune amie Ă  participer Ă  ce petit combat, mais quel gentil jeune homme tout de mĂȘme. Il est vrai que Nymphadora n'avait plus combattu quelque chose ou quelqu'un depuis quelques semaines, il Ă©tait temps de reprendre du service ! Son adversaire serait donc un loup, en espĂ©rant que ce ne soit pas un des loup-garous reconnus par le ministĂšre mais un bĂȘte loup qui regrettera bien vite d'ĂȘtre venu dans cette grotte. - Je prends celui de droite, ok ? EuroraLĂ©gendePoufsouffle Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Eurora, le Ven 2 Juil - 1458 [HJ Je pense que je peux poster ici depuis le temps qu'il n'y a pas eu de rĂ©ponse... roll ]Eurora ne comprenait pas ce qui lui arrivait ; elle n’avait pourtant bu que trĂšs peu et elle sentait la tĂȘte lui tourner horriblement 
 Dans sa maison, Ă  PrĂ©-au-Lard, elle Ă©tait accroupie sur le sol et tournait les pages d’un album photo oĂč quantitĂ©s de photos lui renvoyait des sourires emplis d’amour 
 Mais ces sourires appartenait au passĂ©. Bel et bien au passĂ©, se dit-elle. Les traces de son chagrin envahirent le bleu Ă©tincelant de l’ocĂ©an de ses yeux et une larme – comme une perle – se mit Ă  rouler sur sa joue
 Sans doute l’alcool qu’elle avait ingĂ©rĂ© en fut la cause elle n’en savait rien mais quoiqu’il en soit, cela aggravait son chagrin et le faisait apparaĂźtre au grand jour alors que normalement elle chercherait Ă  le dissimuler... Pleins de choses Ă©taient coupables de son actuel Ă©tat
La solitude lui pesait ce soir lĂ , plus que d’habitude ; elle avait envie de sentir la prĂ©sence de ses amis prĂšs d’elle, de son fils, d’Akshay, de ses soeurs mais une autre pensĂ©e s’insinuait dans son esprit elle ne voulait pas les dĂ©ranger 
 Cela ne la regardait, elle et elle seule. Cette bouteille avait semblĂ© si tentante 
 Elle n’avait su y rĂ©sister 
 Y noyez son chagrin ? Sans doute eut-il Ă©tĂ© dans son intention. Et pourtant, elle ne cessait de penser encore, sinon davantage, Ă  tout ce qui occupait son esprit
 Vacillante, elle tenta de se relever mais retomba par terre, lĂąchant un petit Oups ! » alors que le craquement significatif d’un transplanage brisait le silence
 Aaaah ! » et boum, elle bascula en arriĂšre, soudainement surprise de l’arrivĂ©e impromptue d’Orion
 Qu’est-ce que ... ?!! » L’elfe, s’inclinant devant elle, lui rĂ©pondit alors, les yeux exorbitĂ©s en voyant dans quel Ă©tat sa maĂźtresse s’était mise
 Orion et NaĂŻla ont pensĂ© que vous aviez peut-ĂȘtre besoin d’aide, maĂźtresse Eurora
 »Les vapeurs de l’alcool aidant, La jeune femme Ă©clata de rire puis laissa Ă©chapper un Ă©clat de rire
 Oups, tu m’as fait peur ! 
 Moi ? M’aider ? Bien sur que non, je ne me suis jamais sentie aussi
 Aussi bien... Hips 
 Je pourrai gravir le mont Blanc ! »  Elle rit Ă  sa propre plaisanterie, mĂȘme si celle-ci n’était pas forcĂ©ment drĂŽle 
 Ce que sembla songer Orion mais il n’ajouta rien. Il s’approcha de quelques mĂštres, tentant de saisir le bras d’Eurora mais cette derniĂšre se dĂ©roba ... Je pourrai mĂȘme aller sortir dans les rues et chanter Ă  qui veut entendre ! »Elle se sentait libre, pour la premiĂšre fois, libre de toutes contraintes ! C’était certain ! Jamais elle ne s’était sentit la libertĂ© de faire ce qu’elle veut, d’aller oĂč elle voulait 
 Oups, elle tituba, se rattrapant au rebord de la table
 OulĂ , est-ce normal que le sol tangue tant ... On se croirait en pleine mer sur un navire ... Madame, vous devriez vous coucher je crois
 »La silhouette d’Eurora s’immobilisa, puis se retourna lentement
 Un instant, elle sembla recouvrir toute sa raison puis, une lueur effrayĂ©e passa dans son regard, le temps de comprendre ce que dormir signifiait
 Non, dormir je ne veux pas
 Je veux ĂȘtre libre ! Libre de choisir, libre d’aller, libre de 
 De choisir mes dĂ©cisions et Ă  qui je donne mon soutien ! »Elle ne savait trop pour quelles raisons elle avait prononcĂ© ces derniers mots
 Tout se mĂ©langeait dans son esprit, tous les Ă©vĂšnements de ces derniers temps, toutes ces contrariĂ©tĂ©s
 Tout s’était rĂ©uni, concentrĂ©, et tout Ă©tait sortait ce soir lĂ  en mĂȘme ces mots, elle avança tel un chĂąteau branlant en direction de sa porte d’entrĂ©e et alors qu’Orion demeurait sans bouger, et sans savoir ce que le mieux Ă©tait de faire, il l’observa sortir parmi le sombres de la nuit
 Une fois dehors, la jeune PhĂ©nix ne sentit pas mĂȘme la fraĂźcheur saisissante de cette nuit d’étĂ© 
 Sa vision Ă©tait incertaine mais elle ne se demanda mĂȘme pas comment elle parvenait Ă  mettre un pas devant l’autre. Le lendemain, elle aurait certainement une migraine atroce mais pour le moment, elle ne voulait plus penser Ă  rien ! POURQUOI ?!!! » fut sa premiĂšre parole alors qu’elle adressait cet seul mot, plus au ciel qu’à quiconque d’autres. Seul le silence de la nuit lui rĂ©pondit alors qu’il lui renvoyait l’écho de sa propre voix. Elle attendit quelques secondes que ce dernier se tut pour enfin bouger un orteil et descendre les marches de la maison
DĂ©ambulant dans la ruelle, son pied finit par se prendre dans quelque chose ; elle se pencha et maugrĂ©a aprĂšs ces gens qui n’étaient pas mĂȘme capables de ramasser leurs ordures
 C’est alors qu’elle reconnut le visage d’Azphel, les traits de l’un des directeurs de Maison et tout le poids de ses responsabilitĂ©s revint sur ses Ă©paules et Ă©galement ce qu’elle avait ouĂŻe dire de ce qu’on attendait d’elle
 QUI avait Ă©tĂ© crĂ©er le principe selon il Ă©tait "normal" de soutenir ceux avec lesquels on travaillait ?!! QUI que je l'Ă©trangle !!! Personne. EmprisonnĂ©e ce soir par les vapeurs d'alcool, Eurora ne se sentait pas libre de ses opinions et de ses actions... Ce fut l’air fier et dĂ©jĂ  triomphant – Ă  moins que ce soit dĂ» Ă  quelques retouches sur la photo – d’Azphel qui eut raison d’elle et la fit tressaillir, comme saisit d’un lourd pressentiment
 *Des mots ! Que des mots ! * ET POURQUOI devrais-je soutenir forcĂ©ment les personnes avec qui je travaille ?!! Le monde est-il ainsi fait qu’il ne permets pas mĂȘme Ă  l’Homme de faire ce que bon lui semble, de penser ce qu’il veut, de prendre les dĂ©cisions qu’il veut ?!!! »Un tressaillement la saisit, peut-ĂȘtre l’alcool qui coulait dans ses veines en Ă©tait coupable mais aprĂšs qu’un long frissonnement l’eut saisie, elle laissa Ă©chapper une sorte de rĂąle mais au contraire de ce qu’un Ă©tranger aurait pu penser en la voyant ainsi, elle ne tomba pas, Ă©croulĂ©e sur le sol
 Dans sa main, ses doigts se refermĂšrent sur l’affiche, la froissant puis la laissant retomber par terre, en une boule de papier informe. Elle n’y faisait plus garde Ă  prĂ©sent, prit dans ses dĂ©lires amplifiĂ©s Ă  la fois par son dĂ©sespoir et Ă©galement pas les vapeurs de l’alcool circulant dans ses veines qui lui donnait la force cependant de ne pas s’ contraire elle continua d’avancer, telle une somnambule, vacillant de temps Ă  autre sur ses pieds, se retenant quelquefois au mur d’une maison dĂ©crĂ©pite. D’un seul mĂȘme Ă©lan, toutes les injustices et mĂ©saventures dont sa vie avait pu ĂȘtre parsemĂ©e se diluĂšrent dans son esprit, amplifiant cette impression de se sentir comme 
 vidĂ©e. Pourquoi ne pourrait-on pas ĂȘtre maĂźtre de son destin, et de SES pensĂ©es ! Tout simplement car elle voulait ĂȘtre elle-mĂȘme, car elle ne voulait pas se plier Ă  ce que la plupart des gens penserait qu’elle ferait
 A ce qu’ils pensaient qui Ă©tait normal de faire 
 Pourquoi ne pourrait-elle soutenir les gens qu’elle voulait ? Si son statut de directrice l’obligeait ainsi Ă  soutenir forcĂ©ment ceux avec lesquels elle travaillait, alors elle rejetait son insigne, et en mĂȘme temps ses responsabilitĂ©s ! Elle n’en voulait plus, voilĂ  ! Si elle avait un insigne, elle la jetterait au sol et marcherait dessus, l’écraserait jusqu’à ce qu’elle ne soit plus ... Si du moins cela lui impliquait d’effectuer des actes dont elle ne pensait pas un mot ! Vous pouvez me prendre tout ce que j’ai, mais certainement pas ma libertĂ© ». Cette fois, il s’agissait d’un murmure. Un murmure prononcĂ© face au mur contre lequel elle se trouvait. La norme ?!! Pourquoi la norme existait-elle dans la sociĂ©tĂ© ? Il n’y avait pas de normes. Sans crier garde et criant Ă  qui pouvait l’entendre, elle s’écria
 Je soutiendrai ce qui me semblera bon et ce que JE voudrai ! Jamais vous ne m’obligerez Ă  penser comme vous le souhaitez ! JAMAIS !! »Seul le silence lui rĂ©pondit. Dans la nuit, ses paroles lui semblĂšrent vide de sens, tout comme elle avait l’impression que son corps n’était plus empli que d’un vide saisissant 
 A tel point qu’elle en ressentit un vertige atroce..S’aidant d’avec sa main, elle se recula du mur et reprit sa marche 
 Les rues toujours autant silencieuses
 Elle dĂ©chiffra au passage plusieurs affiches pour les Ă©lections ministĂ©rielles dans lesquelles elle donna des coups de pieds dedans
 Marre de ces Ă©lections
Marre de tout ce qu’elle pensait Ă©tait toujours remis en question
 Marre de tout, elle souhaitait oublier tout ! Elle ne sut pas pendant combien de temps elle dĂ©ambula Ă  travers les rues
 Elle ne savait jusqu’oĂč elle marchait ainsi mais elle marchait. Ce qui Ă©tait certain c’était qu’elle montait en altitude ; Ă  plusieurs reprises, elle grimpa des collines qui paraissaient immenses ou alors c’était sa vision troublĂ©e qui les faisait paraĂźtre si immense
 Le dĂ©cor bougeait, aussi
 Beaucoup 
 D’ailleurs, avant d’arriver au sommet, elle trĂ©bucha Ă  maintes reprises
Jusqu’à parvenir Ă  la grotte qui dominait tout le village de PrĂ©-au-Lard devant lequel, en maĂźtresse des lieux, elle se planta telle une statut la reine d’un empire sur lequel elle n’avait plus nulle emprise. JE SUIS LIBRE ? vous m’entendez ?!! LIBRE d’apporter mon soutien Ă  qui JE veux !... soyez VOUS AUSSI AUSSI LIBRE QUE MOI ! »  Elle s’effondra ensuite, Ă  bout de souffle et de forces, Ă  mĂȘme l’herbe. La nuit Ă©tait bien avancĂ©e
 C’est alors que l’amoncellement de tout ce qui occupait son ĂȘtre soumis Ă  diverses forces et tortures extĂ©rieures la fit s’ébranler et laisser les larmes envahir ses yeux et ses joues
Elle avait l’horrible impression d’ĂȘtre invisible
 La sensation de n’ĂȘtre qu’un jouet du destin dont celui-ci s’amusait Ă  jouer de ses Ă©motions, de ses sentiments, de tout d’elle
 Dans l’état dans lequel elle se trouvait, elle ne sentit mĂȘme pas une main lui saisir le bras, la relever puis l’entraĂźner dans le Pop » distinctif du transplanage
 Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Ven 30 Juil - 1547 Une lĂ©gĂšre implosion de la grotte... Une gerbe de flamme rouge teintĂ©e or... Une plume... Un phĂ©nix et un jeune homme... Perceval venait de se faire tĂ©lĂ©porter par son PhĂ©nix en ce lieu de recueil fort bien reculĂ©; assez pour satisfaire l'envie de solitude de le style de construction de sa maison qui permettait de l'isoler du brouhaha extĂ©rieur, Perceval se retrouvait atteint par les cris de ses voisins... Les seuls qui montaient assez haut dans les aigus pour que leurs voix puissent ĂȘtre entendu par l'hĂ©ritier dĂ©chu des nobles Bright. Actarius Ă©tait Ă©puisĂ©... extĂ©nuĂ©... Lasse de devoir subir, quasiment tout les soirs, l'audition de ses satanĂ©s de voisins moldus qui, jamais, Ô grand jamais, n'Ă©tait fatiguĂ© de se disputer. LĂ , c'Ă©tait monsieur qui disputait sa femme pour une paire de chaussette non lavĂ© -comme s'il n'en possĂ©dait qu'une seule-... AprĂšs, c'Ă©tait madame qui rĂ©primandait monsieur parce qu'il avait omit de ranger sa chaussure dans le placard. C'Ă©tait tout simplement absurde, barbant et purement insupportable!Le sorcier Ă©tait vĂȘtu d'une longue robe noire Ă  l'ancienne -les hommes portaient des robes par le passĂ©, au Moyen-Age-, qui lui tombait tout juste au dessus des chevilles et Ă  laquelle Ă©tait accrochĂ©e une cape tout aussi noire maintenue par une broche d'argent frappĂ©e des armoiries de la famille du jeune homme. Ses longs cheveux noirs de jais, proprement coiffĂ©s et regroupĂ©s dans sa nuque en une fine queue de cheval les cents pas, tournant et encore tournant en rond, Fafnir son phĂ©nix sur ses Ă©paules, Actarius ne faisait pas trĂšs attention, ne surveillait pas ses arriĂšres... Il ne s'attendait de toute façon pas Ă  ce que la grotte dans laquelle il Ă©tait venu se rĂ©fugiĂ© soit le refuge d'on ne sait quel crĂ©ature magique ou d'un quelconque sorcier Ă  l'esprit plus tordu que le sien. Qui aurait la brillante idĂ©e, Ă  part lui, de venir dans un tel lieu par une nuit aussi noire, le ciel Ă©tant dĂ©nudĂ© de la dĂ©esse lune? Certainement une personne dĂ©nuĂ© de bon sens... Ou une personne... comme lui. Enfin, ce n'Ă©tait que des suppositions sans fondements! Il Ă©tait seul dans cette grotte et il Ă©tait pratiquement sĂ»r qu'il ne serait pas dĂ©rangĂ©! Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Ven 30 Juil - 1807 ASA la maison, tout semblait beaucoup trop calme pour la jeune Amy qui depuis cinq ans Ă  prĂ©sent avait toujours eu l'habitude d'entendre quelqu'un respirer chez elle. Son fils et sa fille Ă©tait partie pour plusieurs jours grĂące Ă  un camp de vacances qui les avaient emmenĂ©s Ă  la montagne au delĂ  des frontiĂšres. C'Ă©tait avec une grande tristesse qu'elle les avaient laissĂ© sur le quai de la gare le matin mĂȘme et elle s'Ă©tait enfermĂ© dans une morositĂ© qui ne lui ressemblait pas. ParticuliĂšrement nerveuse, elle avait Ă  plusieurs reprise dans la journĂ©e laissĂ© Ă©chappĂ© de magnifiques jurons qu'elle avait enfoui au plus profond d'elle depuis la naissance de ses enfants. Elle s'Ă©tait totalement laissĂ© emportĂ©e, se rendant compte qu'elle touchait Ă  nouveau du bout des doigts la perfection de la libertĂ© bien que, pour rien au monde, elle n'aurait changĂ© quelque chose de sa vie actuelle. C'Ă©tait ce qu'elle dĂ©sirait au plus profond d'elle mĂȘme, elle le savait. En faisant le bilan, malgrĂ© de nombreuses erreurs et de remises en questions, l'ancienne Auror semblait plutĂŽt satisfaite du rĂ©sultat final. Lucas, Lola c'Ă©tait tout ce dont elle avait son lit, les yeux ouverts comme jamais, le sommeil n'arrivait pas Ă  venir. Depuis plusieurs heures dĂ©jĂ  la jeune demoiselle tournait et tournait encore dans son lit dans l'espoir que ses yeux se ferment et que, sans s'en rendre compte, elle s'endorme aussi simplement que cela. Mais rien n'y faisait... A croire que les dĂ©mons de la nuit avaient choisis de se liguer contre elle. Se rĂ©signant, Amy se leva, enfila une tenu bateau et sortit de sa chambre. Elle passa devant les chambres de ses enfants et fut parcouru d'un frisson qu'elle dĂ©testait, tout Ă©tait trop calme et le silence monotone la dĂ©rangeait. Elle sortit de chez elle et fut surprise par la douceur de la nuit. Elle ignorait encore oĂč elle se rendait, presque automatiquement, la jeune mĂšre marchait tout droit. ASAu creux de sa main droite, elle tenait sa baguette toujours prĂȘte Ă  ce qu'il lui arrive quelque chose. En tant qu'ancienne Auror elle savait que le danger pouvait ĂȘtre partout. Tout l'avait marquĂ©, tout l'avait plus ou moins blessĂ©, elle Ă©tait Ă©corchĂ©e vive devant la dur rĂ©alitĂ© que pouvait donnĂ© la vie. Les combats, la haine, la violence, tout Ă©tait terminĂ© Ă  prĂ©sent, c'Ă©tait beaucoup trop d'Ă©motion et beaucoup trop dangereux pour ses enfants. MĂȘme si elle avait protĂ©gĂ© sa maison de tout les sorts possible et inimaginable, il Ă©tait hors de question que des reprĂ©sailles quel conque soit fait, voilĂ  pourquoi il Ă©tait prĂ©fĂ©rable de quitter se monde de brute et faire comme ci l'insouciance Ă©tait de retour. Un monde parfait, sans ombre au la jeune femme, une petite grotte. Amy se sentit d'un seul coup submergĂ© par son esprit aventureux. MalgrĂ© tout ce qu'elle essayait de se faire croire, une vie sans dangers n'Ă©tait pas sa vie. D'un "lumos" bien formulĂ©, sa baguette s'Ă©claira et la demoiselle s'engouffra sans hĂ©siter dans les profondeurs rocailleuse qui s'offrait Ă  elle. Son coeur se mit Ă  battre un peu plus fort, un peu plus vite et l'ancienne Auror retrouvait ses vieilles habitudes de femme combattante. Elle avait appris Ă  maitriser son souffle, Ă  maitriser l'adrĂ©naline et Ă  foncer droit devant la tĂȘte baissĂ©. Tellement vite qu'elle ne se rendit pas compte que quelqu'un d'autre Ă©tait dans la grotte. Visiblement le jeune garçon ne l'avait pas vue mais beaucoup trop surprise de croiser quelqu'un dans cette endroit prĂ©sumĂ© dĂ©sert elle ne put s'empecher de lui aboyer dessus "Bordel ! Qu'est-ce que vous foutez ici !" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Sam 31 Juil - 321 Depuis un bon moment maintenant qu'Actarius faisait les dix mille pas dans la sombre et froide grotte. De quoi faire pĂąlir le hĂ©ros le plus courageux qui est jamais existĂ© lui mĂȘme. Fafnir, silencieux comme jamais, somnolait tranquillement ses les Ă©paules de son ami et maĂźtre. Enfin, tranquillement est un bien grand mot!Seulement une demie-heure maintenant que Perceval Ă©tait lĂ  avec son PhĂ©nix lorsqu'il fut obligĂ© de sursauter pour on ne sait qu'elle raison. Une voix fĂ©minine, venu de derriĂšre lui voletait au dessus de la tĂȘte. Cette damoiselle devait ĂȘtre fort en colĂšre ou beaucoup trop mĂ©fiante. Quoiqu'il en soit, la main droite sous sa cape, Actarius libĂ©ra l'une de ses baguettes et tendit la main lentement face Ă  la blonde ?, la menaçant de la sienne tout en lui montrant, Ă  travers ce mĂȘme geste, qu'elle n'a pas grand chose Ă  craindre de lui; pas grand chose du pourrai vous retourner la question chĂšre madame. Que faites-vous en un endroit si reculĂ©?!Ce n'est qu'aprĂšs cette phrase qu'Actarius posa rĂ©ellement les yeux sur l'invitĂ©e de derniĂšre minute. Tout en elle exultait la beautĂ©, provoquait le dĂ©sir en Perceval. Il avait connu cela avec une autre... Une jeune fille sortie de chez Serpentard... Était-elle vĂ©lane? Certainement, oui! Elle Ă©tait beaucoup trop magnifique pour ĂȘtre une pure dĂ©esse naturelle; c'est Ă  dire, les autres espĂšces...Qui ĂȘtes vous, trĂšs chĂšre?Si ce n'Ă©tait une VĂ©lane, que pouvait-elle d'autre pour provoquer un si grand trouble dans l'esprit et le cƓur de l'aristocrate? A moins... A moins que ce ne soit, tout simplement lĂ , que la manifestation de la beautĂ© de la gente fĂ©minine. Quel homme pouvait se vanter d'ĂȘtre plus sĂ©duisant et plus agrĂ©able Ă  regarder qu'une femme... comme celle face Ă  Perceval? Sans doute, aucun! Toutefois, c'Ă©tait, mĂȘme si au sens thĂ©orique, de mĂȘmes ĂȘtres, deux espĂšces de vie totalement diffĂ©rentes. Un homme ne pouvait se comparer Ă  une femme et l'inverse non plus ne pouvait ĂȘtre possible. Ainsi allait la pensĂ©e du jeune sorcier...______________Rp tout simplement merdique! J'avais j'ai sommeil P Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Lun 2 AoĂ» - 1135 ASRĂ©pondre Ă  une question par une autre question. Amy Ă©tait l'une de ces nombreuses personnes qui utilisaient cette tactique afin de ne pas rĂ©pondre Ă  quelqu'un ou a quelque chose de gĂȘnant. Mais lĂ  visiblement, c'Ă©tait son mystĂ©rieux interlocuteur qui s'en servait. De nature trĂšs entreprenante, la jeune femme n'avait pas l'habitude qu'on lui rĂ©siste et qu'on est le dessus sur elle, son statut de VĂ©lane en Ă©tait la preuve vivante, user de ses charmes pour dĂ©stabiliser son adversaire lorsque celui ci Ă©tait un homme lui plaisait particuliĂšrement. Elle ne bougeait pas et le fixait d'un regard Ă  en faire frissonner plus d'un. Ce n'Ă©tait pas un endroit reculĂ©. C'Ă©tait une grotte. Une grotte. Un endroit oĂč normalement personne ne vient y passer du bon temps, et encore moins un endroit ou deux personnes ne viennent y passer du bon temps. Enfin, jusqu'Ă  maintenant la ballade Ă©tait plaisante mais depuis qu'elle avait sa baguette pointĂ© devant le jeune homme, le cĂŽtĂ© touristique de la ballade semblait assez lointain. ASIl semblait dĂ©stabiliser, lĂ©gĂšrement obnubiler par le visage d'Amy qui prenait un malin plaisir Ă  lĂ©gĂšrement se cambrer pour accentuer l'effet produit. Il Ă©tait jeune Ă  premiĂšre vue, il devait avoir une vingtaine d'annĂ©es Ă  tout casser. C'Ă©tait presque mignon de le voir aussi troublĂ©. Il lui demanda Ă  nouveau, plus directement cette fois qui elle Ă©tait rĂ©ellement. Il lui tendit sa main, lentement, comme pour montrer qu'elle n'avait strictement rien Ă  craindre et qu'elle pouvait en faire de mĂȘme Ă  son tour. Il se fourrait le doigt dans l'oeil et bien profond tout de mĂȘme s'il pensait rĂ©ellement qu'elle avait la trouille. Elle avait vue bien pire malheureusement et ce garçon Ă©tait loin du faire peur. Mais malgrĂ© tout, sens de la diplomatie oblige, elle baissa sa baguette tout aussi lentement mais la gardant fermement entre ses doigts. "Amy Swan"ASLança t-elle comme ça. C'Ă©tait pas grand chose, elle aurait trĂšs bien pu mentir et sortir un tout autre nom que le sien comme elle aurait fait d'habitude par prĂ©caution. Pourtant lĂ , c'est tout naturellement qu'elle avait balancĂ© ça comme ça. Dans sa main droite, elle tenait toujours sa baguette et maladroitement elle serra la main de son interlocuteur toujours inconnu jusqu'Ă  maintenant. Elle le regarda droit dans les yeux comme pour appuyer le fait qu'elle savait trĂšs bien qu'elle lui plaisait. Physiquement du moins car pour l'instant les dialogues n'Ă©taient pas trĂšs constructif."Et vous ?" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Mer 4 AoĂ» - 246 Perceval se perdait dans un dĂ©dale de pensĂ©e toute plus contradictoire les unes que les autres. Il lui faudrait sĂ©rieusement se revoir... tomber sous le charme d'une dame, qu'en plus il n'avait jamais croisĂ© n'Ă©tait pas concevable. Il ne pouvait se permettre d'Ă©prouver une faiblesse pour les femmes qu'il rencontrait. Surtout pas lorsqu'il rencontrait ladite femme dans une grotte quelque part dans le grand Ouest. Oui, les moldus diraient qu'il avait l'avantage puisqu'il Ă©tait un homme mais en magie, la puissance ne comptait pas sur la force. Elle comptait sur l'expĂ©rience et l'esprit. L'expĂ©rience? Certes, Perceval Ă©tait plus ou moins connaisseur en magie -noire, blanche, grise, mĂ©tisse et tout ce que vous voudrez- mais, le seul fait d'observer l'invitĂ©e surprise lui faisait savoir qu'elle Ă©tait bien plus expĂ©rimentĂ©e que lui. Ne manquerait plus qu'elle soit susceptible! Un mot mal placĂ©, un phrase mal exprimĂ©e et peut-ĂȘtre bien qu'un Avada Kedavra serait pas trĂšs loin...Le jeune garçon, revenant Ă  la rĂ©alitĂ©, rangea sa baguette dans ce qui devait ĂȘtre un Ă©tui, lĂ  oĂč "Ă©tui" devait se trouver. Il loucha rapidement vers la poitrine de la dame en face de lui. Rapidement? Plus vite que "The Flash" ou Speedy Gonzalez! Il prenait soin de se retenir de dĂ©tailler ses formes et ses atouts tout en sachant, pertinemment bien, que la pression qu'elle exerçait sur lui Ă©tait visible Ă  des kilomĂštres Ă  la ronde et qu'elle en Ă©tait parfaitement consciente. D'ailleurs, il, pendant un trĂšs court laps de temps, juste ce qu'il faut pour battre un cil, se maudit en silence. Il se maudit d'avoir un corps beaucoup trop sensible Ă  la beautĂ© fĂ©minine! Si seulement le corps humain pouvait fonctionner sans cƓur... Ca me rappelle un conte ça, pas vous? Soit, Swan? Jolie nom pour une jolie crĂ©ature; Tout se tient! Swan, comme, littĂ©ralement traduit, "Cygne". Eh bien, oui, cette fille Ă©tait un cygne. Un cygne blanc avec tout ce qu'il a de plus gracieux. Sa ou plutĂŽt, ses courbes. Ses longs cheveux blonds ?, chĂątains ?, entre les deux ?, comparables aux longues et fines plumes d'un cygne adulte... Cette femme n'avait rien de comparable. Elle devait ĂȘtre vĂ©lane... Perceval en Ă©tait plus que sĂ»r! Si la vie le lui permettait, il lui poserait la question dans le seul but d'assouvir sa maladroitement qu'elle, il lui serra la main, la relĂącha, puis plongea son regard dans le sien. Le regard qu'elle lui portait le troublait en son ĂȘtre mais il n'allait quand mĂȘme pas se laisser faire. Surtout pas par quelqu'un qui rencontrait Ă  peine! Il se serait peut-ĂȘtre laissĂ© faire s'il la connaissait plus et qui sait...? Soutenant donc son regard sans ciller, l'Ex-Serpentard avala ses deux derniers mots avant de rĂ©pliquer sur ton totalement Bright. EnchantĂ© de faire votre connaissance... Miss ou Mrs Swan?Perceval se força Ă  remettre ses idĂ©es en place, reprit contenance, se fermant -dans la mesure du possible- Ă  toute contemplation de la belle. Fafnir, dĂ©cidant de lĂącher son maĂźtre dans moment pareil, prit son envol, quittant donc son Ă©paule, et s'en alla par l'ouverture de la grotte. Perceval savait que le PhĂ©nix ne serait pas loin et qu'il serait prĂšs Ă  intervenir en cas d'altercation, toujours est-il qu'il Ă©tait un peu inquiet -pour la premiĂšre fois- en se retrouvant face Ă  une femme avec un tel charisme...Dites moi, si je ne me trompes point, vous devez avoir du sang de vĂ©lane. Est-ce faux?Pourquoi lui poser cette question?! C'Ă©tait une maniĂšre de lui avouer l'attirance physique qu'il ressentait pour elle en l'observant! Qu'est-ce qu'il pouvait ĂȘtre idiot parfois... InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Sam 11 Sep - 1132 Les deux loups qui leur faisaient face Ă©taient immense, ils paraissaient affamĂ©s, chose qui ravit Will, surement Nymphadora. Ils pouvaient ĂȘtre sur d'une chose, il y allait avoir du sport. Les grognements Ă©taient de plus en plus sonores, aussi bien du cĂŽtĂ© des chiens galleux que du cĂŽtĂ© du vampire, les crĂ©atures Ă©taient prĂȘte Ă  se battre, la seule sorciĂšre prĂ©sente l'Ă©tait Je prends celui de droite, ok ?- Tes dĂ©sires sont des ordres ma la bataille fut lancĂ©, par Nymphadora qui se jeta sur le loup de droite en lançant divers sorts plus destructeurs les uns que les autres, elle faisait preuve d'une habiletĂ©, d'une rage et d'un talent extraordinaire, mieux valait avoir une femme comme ça dans ses rangs que chez ses ennemies, chaque coups, chaque sorts faisaient mouche. Cependant le loup faisait preuve d'une vitesse et d'une agilitĂ© incroyable, le combat serait de son cĂŽtĂ© avait laissĂ© le loup attaquer, ce dernier avait lancĂ© les hostilitĂ©s dĂšs l'instant ou Nymphadora Ă©tait partit se battre. Il Ă©tait monstrueux, affamĂ© et fou de rage, mais cela restait un chien stupide, un ennemi des vampires, Will ne lui ferait aucun cadeau. Lorsque le chien voulu le mordre au visage Will esquiva in-extremis le coup puis lui arracha l'oreille gauche d'un vif coup de canine. Le sang du loup commençait Ă  couler au fond de sa gorge, contrairement au sang humain celui-ci n'Ă©tait pas des plus dĂ©sagrĂ©able gout dĂ©concentra Will l'espace de quelques secondes, se qui suffit au loup pour le mordre profondĂ©ment Ă  l'Ă©paule. La douleur Ă©tait supportable mais cela suffit Ă  rappeler au vampire qu'il n'Ă©tait pas Ă  l'abri d'une fin souvent, lorsque Will Ă©tait touchĂ©, aussi bien son corps que son Ă©go, le vampire perdu son sang froid. En poussant un grognement sauvage il sauta sur le loup la main tendu vers le coup de la bĂȘte qu'il rĂ©ussit Ă  attraper. Ne souhaitant pas abattre la bĂȘte si rapidement Will planta ses canines dans le cou de la bĂȘte puis d'un geste vif arrache tout se qui se trouvait dans sa bouche, le rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă  petit geste de la main il essuya le sang qui coulait le long de ses lĂšvres puis se tourna vers Nymphadora pour assister Ă  la victoire de son compĂšre qui ne devrait plus tarder. Le loup qui arriverait Ă  mettre Nymphadora Lupin au tapis ne devait surement pas fouler le sol de cette planĂšte.[Pas terrible mais ces temps-ci l'inspiration n'est pas super ] Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Desmots et des choses : Rien qu’une larme dans tes yeux. Par Mohamed MOUMEN En les circonstances funestes, Ă  l’instant noir de la fin, au moment de la mort, dans les moments de deuil, que dire sinon « condolĂ©ances ». CondolĂ©ances, point. Roland Barthes dit qu’il n’est pas de meilleurs discours pour exprimer la compassion, les sentiments attristĂ©s et endeuillĂ©s. «
Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseQuand je te dis qu'il vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deuxJ'étais certain cette foisQue rien ne me retiendrait La suite des paroles ci-dessous On se trompe quelquefoisUne larme a tout changéRien qu'une larme dans tes yeuxEt soudain je réaliseJe réalise que de nous deuxC'est moi le plus malheureuxPar ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleuré La suite des paroles ci-dessous J'ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restéRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aimeJe t'aime et je veux te le direJe veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseRien qu'une larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourireRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aime Explication de ñ€Ɠ Rien qu'une larme ñ€ ñ€ƓIl était chanteur à minettes, mais sans plonger dans la gaÃté et les chansons banales. Une mélancolie frappante se dégageait de ses chansons.  Qui saura »,  rien qu'une larme » ou alors  Dis-lui », ce sont tous de grands tubes du chanteur, et tous les trois des chansons de rupture dé Rien qu'une larme» est une chanson parue en 1973. En plein essor, le chanteur confirmait sa place bien méritée parmi les stars des années 70. Il réalisait plus de ventes que Claude François ou alors Johnny de Mike Brant est teinté d'une tristesse, qui est souvent liée au sentiment amoureux. Il était beau comme un dieu grec, et il avait tout pour lui, pourtant, il n'a pas été heureux. En effet, durant toute sa vie, il a été hanté par l'histoire de ses parents, qui ont survécu par miracle à la juive, l'artiste est devenu paranoïaque au fil du temps. Il ressentait une menace constante qui le poursuivait peu importe ses déplacements. Il a mÃÂȘme évité des concerts par peur d'attentats antisémites. Vivre avec cette peur au vente ne peut que se répercuter mal sur l'artiste. Il a fait une premiÚre tentative de suicide, à la deuxiÚme, il ne s'est pas sorti vivant. "Rien qu'une larme" est un titre qui parle d'un chagrin d'amour partagé entre les deux amoureux. Mike Brant rassure son amoureuse, lui dit qu'il aimera la voir sourire et non pas pleurer. Il est lui-mÃÂȘme malheureux dans cette relation, et la séparation doucereuse semble ÃÂȘtre le seul choix qu'il leur chanson s'est vendue à plus de disques vendus. Le succÚs de la chanson s'est étalé partout dans le monde, il est arrivé jusqu'au Canada. En 1975, le chanteur tire sa révérence, il a laissé ses fans choqués et terrifiés. Néanmoins, ses chansons resteront à jamais gravées dans le trésor de la chanson française. Les internautes qui ont aimé "Rien qu'une larme" aiment aussi
Lescouloirs ~€~ Académie de Poudlard ~€~ Harry Potter 2005
alpha M artiste Mike Brant titre Rien qu'une larme Les paroles de la chanson Rien qu'une larme »Mike Brant Rien qu’une larme dans tes yeux,C’est toujours ta seule rĂ©ponse,Quand je te dis qu’il vaudrait mieux,Ne plus se revoir nous deuxJ’étais certain cette foisQue tu me retiendraitOn se trompe quelques foisUne larme a tout changĂ©Rien qu’une larme dans tes yeux,Et soudain je rĂ©aliseJe rĂ©alise que de nous deuxC’est moi le plus malheureuxPar ma faute trop de foisMon amour tu as pleurĂ©J’ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis qu’une larme dans tes yeux,Je comprends combien je t’aimeJe t’aime et je veux te le direJe veux te revoir sourireRien qu’une larme dans tes yeux,C’est toujours ta seule rĂ©ponse,Rien qu’une larme dans tes yeux,Je veux te revoir sourireRien qu’une larme dans tes yeux,Je comprends combien je t’aime
LPGH. 71 325 168 232 136 29 230 287 147

rien qu une larme dans tes yeux paroles