AA Rien qu'une larme Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelquefois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux
Mike Brant Durée 0319 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE
21mai 2017 - VidĂ©o de Theromantiquevirtuelje voudrais ĂȘtre une larme pour naĂźtre aux creux de tes yeux,
Le deal Ă ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal MĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageNiwa KelInvitĂ©Sujet * ...des mots... * [PV] Dim 15 Oct 2006 - 1946 Nuit sombreâŠesprits perdusâŠles questions se posent, lâinquiĂ©tude est Ă son comble. Au sol une terre gelĂ©e malgrĂ© la saison. Au ciel des nuages perdus les uns dans les autres dans ce noir dâencre impĂ©nĂ©trableâŠLa Lune quasi inexistante embrasse les tĂ©nĂšbresâŠLes tombes prĂ©sentes sont toujours aussi facile Ă voir, mais les inscriptions elles, sont illisibles suite Ă ce paysage. Tout semble calme, comme souvent. Mais reste cette terre gelĂ©eâŠpourquoi est-elle ainsi ? Une seule explication possible, la prĂ©sence dâune personneâŠMais qui est-elle ?âŠComme pourrait le remarquer un passant, il se trouve quâelle est assise dans ce cimetiĂšre, en face dâune de ces tombes. Mais il ne pourrait rien voir de plusâŠet câest pour cela que nous allons nous en avançonsâŠencoreâŠoui, encore un peuâŠvoilĂ , nous y sommes. Une taille et une carrure plutĂŽt imposante composent son extĂ©rieur ; un vĂȘtement et un chapeau noirs cachent celui-ci ; dâimmenses chaĂźnes traĂźnent derriĂšre luiâŠCâest un personnage bien Ă©trange qui se trouve lĂ âŠSes doigts caressent presque avec tendresse la paroi tombale. Mais dĂ©licatement il les retira et se leva. Il passa sa main droite dans sa veste, puis il la retira. Une baguette de taille moyenne venait dâĂȘtre priseâŠEt il reculaâŠEt soudain, un Ă©clair rouge fusa droit devant lui et vint sâĂ©craser contre la tombe. Cette derniĂšre explosa, en laissant derriĂšre elle un cratĂšre profond de quatre mĂštres carrĂ©sâŠEt sans mĂȘme adresser un simple regard Ă son rĂ©sultat, il se avança Ă travers le cimetiĂšre. Il semblait voler au-dessus du solâŠPeut-ĂȘtre Ă©tait-ce vrai ? Qui saitâŠIl ne faisait pas attention aux alentours, et pourtant, ses sens surveillaient le moindre geste possible, le moindre son audible. Puis il sâarrĂȘta sur sa routeâŠregarda une tombe prĂ©cise, et lui rĂ©serva le mĂȘme sort que la prĂ©cĂ©denteâŠMais que faisait-il vraiment ? Avait-il un but prĂ©cis ou Ă©tait-ce de lâamusement ?âŠimpossible de connaĂźtre les rĂ©ponsesâŠMais il le faisaitâŠEt le temps passa doucementâŠEn attendant, il sâĂ©tait assis au centre du cimetiĂšre, ou plus prĂ©cisĂ©ment, au centre du premier cratĂšre quâil avait faitâŠIl sâavĂšre que câĂ©tait son beau-pĂšre qui reposait en paixâŠsans plus attendre, il Ă©tait venu le rejoindre, pour le dĂ©truire Ă tout jamaisâŠIl avait maintenant lâesprit leva la tĂȘteâŠon pouvait voir une paire de lunettes noires, qui cachaient le peu de son visage visible. CâĂ©tait une personne bien mystĂ©rieuse quâon avait lĂ . Mais on pouvait sentir une lĂ©gĂšre froideur autour de lui, et la gentillesse devait ĂȘtre assez rare Ă premiĂšre vueâŠEtait-ce faux ? Bonne questionâŠessayez de lui parler pour voirâŠnon ? Vous avez peur ? Et bien vous rĂ©agissez comme de nombreuses personnes alors. Son aura est lĂ©gĂšrement diffĂ©rente des autres sorciers, vous lâavez bel et bien comprisâŠCependant, ce nâĂ©tait pas vraiment dans le bien. On pouvait sentir sa lĂ©gĂšre tendance Ă aimer le sang, comment ? Peut-ĂȘtre parce quâil y avait une Ă©norme flaque dans ce cratĂšre, et quâil Ă©tait allongĂ© dedans. Câest ainsi que vous vous demandez dâoĂč vient ce sangâŠLaissez moi vous temps en temps, il se peut que les corps morts aient toujours du sang en eux. Certes sĂ©chĂ©, mais bien prĂ©sent. Normalement, câest lorsquâils viennent de mourir dâici peu. CâĂ©tait le cas du beau-pĂšre de cette personne. Il avait Ă©tĂ© tuĂ© il y a de ça deux jours. Mais jamais le tueur nâa Ă©tĂ© retrouvĂ©. Dâailleurs, aucune trace possibleâŠA priori, celui qui avait fait ça connaissait parfaitement les Arts de meurtres. En tout cas, reste quâil Ă©tait mort recemmentâŠVous savez alors ce premier deuxiĂšme point est que cette personne prĂ©sente au cimetiĂšre, venait de faire exploser le corps dâune maniĂšre disonsâŠtrĂšs violente, ce qui a permis au sang de lĂ©gĂšrement se rĂ© humidifier, et doncâŠenfin, je vous laisse Ă©tant expliquĂ©, nous allons pouvoir retourner Ă la contemplation du⊠hĂ©ros ».Celui-ci, toujours allongĂ© dans le liquide rougeĂątre, regardait les Ă©toiles inexistantesâŠIl semblait perdu dans ses pensĂ©esâŠSes chaĂźnes Ă©taient enroulĂ©es autour de lui, sans pour autant lâĂ©touffer. Position bien Ă©trange pour de simples mĂ©tauxâŠSa baguette Ă©tait entre ses dents, comme une paille avec un cow-boyâŠSes lunettes noires reflĂ©taient lĂ©gĂšrement les nuages. Impossible de voir Ă travers et de dĂ©couvrir ses yeux. Peut-ĂȘtre est-ce mieux comme ça. Parfois, on ne prĂ©fĂšre ne pas connaĂźtre les sentiments de la personne quâon a en face de soi, de peur dâĂȘtre déçu ou effrayĂ©âŠEt cela peut ĂȘtre le cas de ce moment mĂȘme vu la mystique du personnageâŠSoudain, il tourna lĂ©gĂšrement sa tĂȘte vers la gauche. Il semblait avoir vu ou entendu quelque chose. Alors, il se leva, se retira du cratĂšre, et se nettoya dâun simple coup de baguette. Il se pouvait que ce soit une bĂȘte attirĂ©e par lâodeur du sang, odeur facilement repĂ©rable pour toutes crĂ©atures sâen abreuvant comme repasâŠIl pointa la baguette vers la source du bruit. Les feuilles bougeaient lĂ©gĂšrementâŠEt tout dâun coup, une ombre sauta avec force et rapiditĂ© en sa direction. Quelques fractions de secondes plus tard, cette ombre gisait Ă terre, inerte. Elle respirait encore. CâĂ©tait un loupâŠEtrange pour ce genre dâendroitâŠMais chose bizarre, lâhomme ne lâavait pas tuĂ©âŠAvait-il de la pitiĂ© en lui ?âŠPuis un autre bruit vint couper cette reflexionâŠIl se tourna vers la sourceâŠEtait-ce un autre loup ? Ou bien une personne sâaventurant dans le cimetiĂšre ?âŠDerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 958, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Ven 20 Oct 2006 - 2001 { Tes RPâs me manquaient beaucoup, tu Ă©cris tellement biennn. . Mon Nico wub. Et avec Niwa en plus, vive DN Angel. }Nuit noire. Silence Ă©ternel. Le cimetiĂšre Ă©tait calme, sans personne malveillante. Mais la voilĂ . Une ombre ? Un animal ? Une chose ? QuâĂ©tait ce cet ĂȘtre vivant ? Une demoiselle assez jeune au regard rouge se dressa pour regarder au loin. Elle semblait effrayante, aveuglante. Elle guettait. Quoi ? Nous nâen savons rien. Cette nuit lĂ , elle Ă©tait seule. Encore. Mais câĂ©tait le DĂ©mon. DĂ©pourvus de sa cape habituelle, il Ă©tait vĂȘtu de vĂȘtements moldus, dĂ©chirĂ©s Ă plusieurs endroits. Qui pouvait bien se douter de ce quâil venait de se produire. La jeune femme avait comme un sourire inquiĂ©tant. De ses bras dĂ©nudĂ©s on pouvait voir couler du sang, du sang auquel elle ne prenait pas garde. Qui avait Ă©tait sa victime ce soir lĂ ? SĂ»rement un inconnu qui lâavait croisĂ© lors de sa colĂšre. Dire que dans plusieurs heures, lorsquâelle reprendra ses esprits, dans cette tenue, elle sera affolĂ©e, elle se souviendra de tout, mais elle nâaura pas choisit. Etait ce le bon dieu qui lâavait punie en lui donnant cette maladie » que lâon appelĂ© SchizophrĂ©nie ? A voir. Mais lĂ nâĂ©tait pas la question. Elle avança vers les tombes lugubres du cimetiĂšre, Ă©coutant le cri des animaux. Lorsquâelle sentit une prĂ©sence. Qui Ă©tait ce ? Loup. CâĂ©tait la nouvelle mĂšre, Tifa, elle avait eut des louveteaux la semaine prĂ©cĂ©dente. Riku sâapprocha dâelle, avec un petit sourire bienveillant. Sâil y avait bien un animal quâelle aimait, câĂ©tait les Loup, normal, elle en Ă©tait elle-mĂȘme un. Soupir. Elle sâarrĂȘta, se mit Ă genoux et porta une caresse au pelage gris clair de lâanimal. On put voir aprĂšs son corps de mĂ©tamorphoser, câĂ©tait lui. Crodacier. Ses yeux Ă©taient encore rouges, mĂȘme Ă travers lâanimal. Son pelage noir, noir Ă©meraude Ă©tincelle dans cette nuit sombre. Silence. Elle sâapprocha de Tifa aprĂšs que celle-ci soit partie en galopant laissant ses vĂȘtements derriĂšre une pierre tombale. Crodacier qui nâavait rien Ă faire, suivit la Louve. Celle-ci ne cessant pas le pas, lâAnimagus dut la suivre, jusquâĂ ne plus entendre le bruit de ses pattes. JusquâĂ quâun homme se dresse devant elle. La louve tourna violemment la tĂȘte pour apercevoir Tifa qui Ă©tait Ă©talĂ©e au sol. On put lire au regard de Crodacier toute sa haine, ses sourcils se plissaient, ses crocs sortaient de sa gueule. Silence. Elle se mĂ©tamorphosa, une nouvelle fois. Un put voir un corps de jeune femme se dresser Ă la place du loup. Totalement nu. Normal. Riku avait laissĂ© ses habits au loin ainsi que sa baguette lorsquâelle eut pris lâapparence de son Animagus. Silence. Elle ne moquait pas mal que son corps soit exposĂ©, elle nâavait aucune pudeur. Et la haine la rongeait. Silence. La voilĂ qui parle, ses yeux encore plus intensifiĂ©s de â Comment as-tu osĂ© humain ?! Comment ? MisĂ©rable crĂ©ature. »Dit-elle dâune voix menaçante et pleine de fougue. Elle nâen pleurait pas, elle voyait bien que la louve avait Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e mais le geste en lui-mĂȘme Ă©tait grave, vraiment. Tifa se releva tant bien que mal et partie se rĂ©fugier. Silence. Qui pouvait bien ĂȘtre ce jeune homme, ce jeune homme qui semblait si mystĂ©rieux, et pourtant ⊠Riku Ă©prouvait quelque chose. Quoi ? Il avait lâair froid. Bizarre. Elle nâavait pas peur, mais, elle hĂ©sitait, elle ne savait que penser. Elle nâavait pas ce pouvoir de lire dans le cĆur des gens, de connaĂźtre leur vraie personnalitĂ©. Dommage. Puis soudain. Surprise. La jeune femme redevint elle-mĂȘme. Ses yeux rouges disparurent pour laisser place au vert foncĂ© habituel. A la seconde qui suivit elle ne comprit pas vraiment, mais par la suite, elle commença Ă paniquer. Surtout lorsquâelle vit son Ă©tat. Elle haĂŻssait le DĂ©mon ! Encore et toujours cette double personnalitĂ© involontaire. SaletĂ© ! La voilĂ qui part en courant pour cacher son corps. La voilĂ bien normale, pas vraiment la Chef des Mangemorts, et cela, lâĂ©tranger devait sĂ»rement le â Mais câest pas vrais ! »Silence. Quelques minutes plus tard la voilĂ qui reviens, habillĂ©e de ses vĂȘtements, du moins ce quâil en restait, elle ne prĂ©fĂ©rait pas se remĂ©morer encore ce quâil sâĂ©tait produit. Juste Ă cause de cette histoire avec Kaori il eut fallut quâelle redevienne le DĂ©mon. Silence. Elle revint en face du jeune homme, presque rouge. Elle semblait gĂȘnĂ©e, et puis, elle se dĂ©voilĂ©e en gros, personne ne devait savoir son problĂšme de SchizophrĂ©nie. Sinon, elle se ferait sĂ»rement tuer, mĂȘme si ce nâest pas vraiment simple. Elle est forte, mais Ă le cĆur dâune Serdaigle et non dâune Serpentard. Elle ne peut tuer en Ă©tant seulement Riku », il faut quâelle soit Le DĂ©mon », le Chef des â NavrĂ©e⊠Ne prenez guĂšre attention Ă ce quâil vient de se produire. »Et puis quoi encore ? Elle Ă©tait vraiment naĂŻve dâaffirmer cela aussi naturellement. En cet instant, la jeune sorciĂšre pensait quâil ne lâavait peut ĂȘtre pas reconnue, grĂące Ă la pĂ©nombre des lieux, câĂ©tait possible, mais avec de bons yeux ⊠Qui sait ? Et puis, Ă part Yuki, personne nâest au courant pour le DĂ©mon. Il y avait son pĂšre aussi mais il est mort. Dâailleurs, sa tombe est tout prĂšs dâici, juste lĂ , derriĂšre Hikaru Harada ». Silence, il devait sĂ»rement ĂȘtre satisfait, de lĂ haut dans les Ă©toiles, ou plutĂŽt en bas, dans les entrailles de lâ si les mots Ă©taient Ă©ternels ?{ T_T Snif, ça fais longtemps que jâai pas Ă©cris, câest nul, mais jâaime bien le scĂ©nario =D, jâespĂšre que toi aussi, sinon je change =] Mais ça devrait ĂȘtre comique, enfin, me tarde de voir la rĂ©action de ton perso XD }_________________uc_ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 012 Bruissements lĂ©gersâŠpas feutrĂ©sâŠdiscrĂ©tion plus quâimperceptible. CâĂ©tait la description la plus exacte de celle de lâhomme prĂ©sent. Il guettaitâŠencore et encore. Mais il ne dĂ» pas attendre longtemps. AprĂšs sâĂȘtre doucement glissĂ© sur son cĂŽtĂ© droit, il garda fermement sa baguette, sans la moindre vibration dâune quelconque apprĂ©hension. Puis soudain, un corps se retira de lâombreâŠOn pouvait reconnaĂźtre la silhouette dâune femmeâŠElle semblait plutĂŽt belleâŠMais lâinconnu ne pu sâempĂȘcher de remarquer quâelle Ă©taitâŠnue. Il ne sâapprocha pas, gardant une distance quâil considĂ©rait comme distance de sĂ©curitĂ© ». DâaprĂšs sa maniĂšre dâĂȘtre et sa façon dont elle lui parla ensuite, elle ne parut pas de bonne humeur, bien au contraire. Il reconnut une voix menaçante, remplie de haineâŠCependant, cela ne le fit pas bouger dâun pouceâŠmĂȘme, il ne cilla mĂȘme pas derriĂšre ses sombres lunettes noires. Les paroles prononcĂ©es par la jeune femme Ă©taient pourtant provocatrices, mais nonâŠIl resta lĂ , sans rien dire. Et puis, rĂ©action Ă©trange, il baissa sa garde, et regarda la personne avec plus dâattention. Non je vous rassure, ceci nâest en aucun cas une forme de perversitĂ©âŠcelle oĂč un homme profite de la situation pour disons⊠se rincer lâĆil ». Il admirait les yeux rouges de la personne qui Ă©tait en face. Bien que rien nâĂ©tait lisible sur lui, il Ă©prouvait une lĂ©gĂšre Ă©motion Ă les regarder, comme sâil Ă©tait chez lui. Mais malheureusement, il ne pu pas les contempler pendant plus longtemps, car la jeune femme disparut soudainement, aprĂšs que ses yeux eurent brusquement changĂ©âŠpour devenir dâun vert foncĂ©. On pouvait croire Ă une sorte deâŠmĂ©tamorphose. Il se demanda intĂ©rieurement ce qui pouvait se passerâŠIl analysa rapidement les faitsâŠet se garda bien de toutes rĂ©ponses il se tourna en direction dâune tombe proche. Au ciel, les nuages se resserraient de plus en plusâŠUne pluie Ă©tait Ă prĂ©voir. Il sâen soucia guĂšreâŠIl jouait avec ses chaĂźnes, avec lâaide de sa baguette. Mais soudain, un nouveau bruit. Il souleva son arme Ă lâendroit oĂč son esprit lui disait quâun ĂȘtre sây trouvait. CâĂ©tait ses longues et Ă©paisses chaĂźnes quâil faisait lĂ©viterâŠMais elles semblaient faire bien plus que lĂ©viter, comme si elles Ă©taientâŠvivantesâŠPuis, confirmation des pensĂ©es de lâhommeâŠquelquâun Ă©tait bel et bien lĂ . Cependant, il retira promptement lâoffensive mĂ©tallique, les dĂ©posant au sol. Pourquoi cela ? Peut-ĂȘtre parce que la femme Ă©tait de retourâŠavec ses yeux de couleur verte. Elle avait ajoutĂ© un peu dâhabits sur elle. Il remarqua rapidement quâelle Ă©tait dĂ©sarmĂ©eâŠou presque. Sa beautĂ© Ă©tait elle-mĂȘme une arme. Mais Ă priori, le prĂ©sent nâĂ©tait pas du genre Ă se laisser amadouer par la beautĂ© de la femmeâŠla pire faiblesse dâune grande majoritĂ© des personnes de sexe masculin. Il se contenta de sâapprocher doucement dâelleâŠalors que celle-ci lui demandait de ne faire comme si de rien Ă©taitâŠcomme sâil nâavait rien vu. Sur ce, alors que la femme Ă©tait prĂšs de lui, il dĂ©posa son index gauche sur les douces lĂšvres de la charmante crĂ©ature. Son autre main faisait quelques gestes Ă la baguetteâŠEt soudain, elle fĂ»t habillĂ©e dâun corset et dâune jupe provocanteâŠIl recula dâun pas. Puis, il fit un autre geste. Elle Ă©tait maintenant vĂȘtue dâune robe de mariĂ©e. Et il renouvela plusieurs fois la chose, restant parfaitement neutreâŠMais il sâarrĂȘta alors quâil lui avait remis le peu de vĂȘtements quâelle avait au dĂ©part. Il souriait faiblementâŠ~Niwa On pourrait jouer à ça toute la soirĂ©eâŠnon ?CâĂ©tait une voix profonde et calme qui avait prononcĂ© ces parolesâŠEt ce nâĂ©tait pas un sourire ordinaireâŠmais alors, que traduisait-il ?âŠMais tout Ă coup, les traits de son visage se resserrĂšrent et un Ă©clair rouge sâĂ©chappa de sa baguette, alors quâaucune formulation nâavait Ă©tĂ© produiteâŠLâĂ©clair frĂŽla le visage de la personne et vint sâĂ©craser contre une tombeâŠCette derniĂšre explosa sans cĂ©rĂ©monie. En ce qui concernait lâhomme, il sâĂ©tait de nouveau adossĂ© contre la paroi. Il fixait la jeune femme, la baguette baissĂ©e vers le sol. Il semblait pensifâŠEn tout cas, câĂ©tait ce quâil laissait paraĂźtreâŠ~Niwa Le chat et la sourisâŠDes mots traduisant parfaitement lâĂ©tat des chosesâŠCependant, la souris nâavait aucun lieu oĂč se cacher, oĂč quoi que ce soit pour se protĂ©ger, bien au contraire. Elle sâĂ©tait mise seule dans une situation plus que dangereuse, entre les mains dâun ĂȘtre que lâon pourrait considĂ©rĂ© de⊠dĂ©rangĂ© ». Mais lâĂ©tait-il vraiment ? Il semblait connaĂźtre des chosesâŠde nombreuses choses. Mais dâautres personnes diraient tout simplement quâil en faisait trop avec son accoutrement intimidantâŠDes lunettes noires en pleine nuitâŠquelle idĂ©e ! De plus, il ne devait pas voir grand choseâŠPourtant, quelle prĂ©cision tout Ă lâheureâŠQue des Ă©loges vous me diriezâŠEt vous auriez sĂ»rement raison. Mais pour le moment, câest une simple et rĂ©aliste description de la scĂšneâŠDerniĂšre Ă©dition par le Jeu 26 Oct 2006 - 1001, Ă©ditĂ© 1 fois Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Dim 22 Oct 2006 - 2231 { Vivement Mercredi. }La jeune femme restait silencieuse, sans pensĂ©es fixes. Elle faisait juste acte de prĂ©sence. Elle Ă©tait tout de mĂȘme un peu gĂȘnĂ©e, ce nâĂ©tait pas dans son habitude dâexposer son corps Ă tous les regards masculins. Soupirs. Alors que lâinconnus venait juste de remarquĂ© une nouvelle fois sa prĂ©sence, Riku pensa quâelle nâaurait pas du revenir, elle nâaurait rien a tirer profit de cette rencontre. Quoi que, elle ne sâavait pas vraiment Ă quoi sâattendre. Alors que les chouettes et les hiboux poussaient leurs cris comme chaque nuit, Niwa sâavançait vers la sorciĂšre. Elle ne bougea pas, se laissa faire, elle Ă©tait comme intimidĂ©e. Ce qui nâest pas habituel pour elle. Soupir. Le toucher. Un des cinq sens. Elle le sentit, ce doigt, sur ces lĂšvres rosĂątre, gelĂ©es par le froid dâautomne. Violette, telle Ă©tait leur couleur. Silence. Elle regarda fixement ses yeux, mais ceux-ci Ă©taient voilĂ©s. Une paire de lunette, quâelle idĂ©e dâen porter en pleine nuit. Le jeune homme devait sĂ»rement avoir ses raisons personnelles, ou pas. Mais ce nâĂ©tait pas bien important. Lorsque soudain, alors quâelle se tenait droite, elle sentit comme un coup de froid, puis quelque chose qui lui compressait la poitrine. Elle comprit ceci quâen changeant son regard de direction. Un habit provocant. Un corset et une jupe plissĂ©e. Quelque chose que la demoiselle nâaurait jamais eut idĂ©e de mettre. Mais alors quâelle sâapprĂȘtait Ă se lâenlever, elle ressentit une nouvelle fois la mĂȘme Ă©motion. Elle Ă©tait â cette fois ci â habillĂ©e dâune superbe robe de mariĂ©e. Blanche. Comme toutes les princesses en rĂȘve. Mais ce nâĂ©tait pas vraiment le cas de lâAncienne Serdaigle, pas du tout. Alors quâelle fronçait les sourcils, lâinconnu renouvela une nouvelle fois lâexpĂ©rience, et encore, jusquâĂ quâelle rĂ©cupĂšre ses habits naturels. Durant la procĂ©dure elle resta muette, plutĂŽt inerte et parfois Ă©tonnĂ©e, ça pouvait se voir comme un jeu, comme une histoire, comme quelque chose de divertissement. Riku se laissait faire. Chose â pour lâinstant â vraiment inhabituelle. Silence. Un son, une â On pourrait jouer à ça toute la soirĂ©eâŠnon ? »Surprise. Riku ne rĂ©pondait pas, elle le regardait tout simplement, mais il nâavait pas spĂ©cialement tort, mais le ton quâil prenait nâĂ©tait pas vraiment rassurant, bien au contraire. Et puis il tenait sa baguette comme sâil allait jeter un sort, la sorciĂšre nây prĂȘtait pas une forte attention, ce qui Ă©tait mauvais pour elle, bien trop mauvais. Alors quâelle respirait calmement, regardant le jeune homme dâune vingtaine dâannĂ©e, elle la vit. Cette Ă©tincelle, si rouge, si aveuglante, si soudaine. Surprise ! Elle resta muette, mais tenta dâĂ©viter le sortilĂšge, mais celui-ci frĂŽla sa joue, et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle explosa en morceau. Mais la voilĂ , elle Ă©tait de retour. Vraiment. Ils Ă©taient comme tout Ă lâheure, on lâavait attaquĂ©, elle se sentait offensĂ©. Encore. Comment pouvait-on oser ? Ses yeux, ils Ă©taient rouges, du sang, de la haine, le combat. Le DĂ©mon » Ă©tait de retour. Enfin. Une sorte dâonde psychique Ă©manĂ© de ce corps fĂ©minin, rien quâĂ voir son visage, on y dĂ©cernĂ© de la colĂšre, le calme, elle ne connaissait pas vraiment dans ce genre de situation. Surtout lorsquâelle sait que lâadversaire est fort, trĂšs fort. Elle ricane, la Chef des Mangemorts ricane. Elle semblait heureuse par moments. Elle est bien spĂ©ciale. Câest elle. â Le chat et la souris⊠»Silence. Jeu auquel jouait anciennement la Directrice des Serdaigles lorsquâelle se trouvait Ă lâOrphelinat, mais cela date de longtemps, et elle comprenait fortement la tournure de la situation, et ce que voulait dire le jeune homme par ce jeu. Sourire. Sâil provoque le Diable, il sera servit. Mais est-il conscient que ceci le mĂšnera a sa perte ? Sauf si lâAnge dĂ©munis rĂ©apparaĂźt avant la fin de la nuit. â Serais-ce une provocation en duel ? »Dit-elle simplement, avec une voix narcissique. Une voix qui lui donne lâair dâĂȘtre sure dâelle, pourtant, elle sait trĂšs bien que ça ne devrait pas ĂȘtre Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mer 25 Oct 2006 - 2145 SilenceâŠPensĂ©es interrompues. Lâhomme, qui nous est toujours inconnu, venait de remarquer le changement radical de la jeune femme lors de son attaque » surprise. Mais il ne bougeait toujours pasâŠMĂȘme, il souriait. Pourquoi ? Que cachait-il ?âŠdes questions, toujours des questions. Cependant, les rĂ©ponses ne viennent jamais de lui-mĂȘme. Peut-ĂȘtre quâil expliquera les choses au fur et Ă mesure, qui sait ? Mais laissons de cĂŽtĂ© cette rĂ©flexionâŠCar Ă lâinstant mĂȘme oĂč je vous parle de cela, lâhomme avait disparu. Et soudain, les chaĂźnes sâanimĂšrent dâelles-mĂȘmes et vinrent sâenrouler autour de la tombe oĂč elles Ă©taient posĂ©es pour ensuite la dĂ©truire dâune puissante Ă©treinte. Que se passait-il ? OĂč Ă©tait-il ?Mais soudain, une voix sâĂ©leva de nul partâŠElle Ă©tait chaudeâŠdâailleurs, Riku devait sentir un souffle contre sa nuque. Pourquoi ? Peut-ĂȘtre parce quâil se trouvait lĂ au moment oĂč il prononça ses paroles ~Niwa Non, je ne pense pasâŠOublie la force, songe Ă embrasser lâĂ©corceâŠDisparitionâŠSuspension continue des chaĂźnesâŠPuis un bruit aqueux. Retour de la personneâŠde nouveau assise au milieu du bain de sang. Il le touillait du bout de sa baguetteâŠIl semblait passionnĂ© par la chose. Mais soudain, le sang se mit Ă lĂ©viter de la mĂȘme façon que les longues et Ă©paisses chaĂźnes mĂ©talliques. Dâailleurs, ces derniĂšres Ă©taient maintenant emmĂȘlĂ©es au liquide rougeĂątre. Il regardait la demoiselle alors que de sa main droite, il jouait de sa baguetteâŠPuis il se leva. Il Ă©tait, Ă grand Ă©tonnement, dĂ©pourvu de toutes traces rouges sur ses vĂȘtements, comme sâils Ă©taient restĂ©s bien au sec. Il avait dĂ» les faire sĂ©cher dâune simple informulation je penseâŠIl Ă©tait sĂ©rieux, et ses gestes se faisaient avec rapiditĂ© et souplesse Ă la fois. Il dĂ©posa le mĂ©tal aux pieds de la jeune femme, et forma une sorte de Sceau Ă ses pieds Ă lâaide du sang et de lâobjet dĂ©posĂ©. Il formait une croixâŠune croix sataniste ! Savait-il des choses qui Ă©taient inconnues Ă Riku ? EnfinâŠconnaissait-il plus de choses quâil ne laissait paraĂźtre ? Ou Ă©tait-ce un simple hasard quâil fasse cela ?âŠLa rĂ©ponse ? Dans ces parolesâŠ~Niwa Content de te connaĂźtreâŠdepuis le temps que je rĂȘvais de te voirâŠRikuâŠSur ce, le sang se sĂ©cha sur le sol, tandis que les serpents mĂ©talliques retournaient Ă son propriĂ©taire. Il les fit se calmerâŠtout comme il lâĂ©tait en ce comment savait-il qui elle Ă©tait ? Etait-ce parce quâelle Ă©tait recherchĂ©e un peu partout ? Ou Ă©tait-ce par un autre moyenâŠmagique ? Il semblerait que ce soit cette derniĂšre optionâŠCar cet homme nâĂ©tait personne dâautre que Niwa Kelhena, comme il lâexpliqua si bien dans cette phraseâŠ~Niwa PrĂ©sentation obligeâŠNiwa Kelhena pour te servirâŠCependant, contrairement Ă ce quâon pourrait penser, jamais il nâavait dans lâidĂ©e de la servir au bon sens du terme. CâĂ©tait lĂ une simple forme de politesseâŠIl ne servait personne, Ă part soi-mĂȘme. Etait-ce de lâĂ©goĂŻsme ? NonâŠjuste que dans la vie il a appris Ă ne compter sur personne Ă part lui. Enfin bref. Retournons au fait quâil sache la maniĂšre avec laquelle il a su qui il avait en face de luiâŠIl sâavĂšre que Niwa, Auror spĂ©cialisĂ© dans la garde personnelle du Ministre de la Magie, avait quelques pouvoirs rares et utilesâŠIls sont au nombre de deux. Ce sont la LĂ©gilimencie et lâOcclumencie. AprĂšs avoir remarquĂ© une certaine habiletĂ© dans ces deux domaines, une personne enseignant dans lâĂ©cole supĂ©rieure quâil a frĂ©quentĂ© sâen est occupĂ© personnellementâŠEt le voilĂ maintenant expert dans chacune de ces matiĂšres. CâĂ©tait un vĂ©ritable plus », aussi bien dans les duels que dans la vie de tous les joursâŠCâest pour cela quâil savait lĂ©gĂšrement les pensĂ©es de lâautreâŠbien sĂ»r, Ă une faible limite sâil nâutilise pas la force. Mais il avait plus malin que çaâŠcar Riku nâest pas nâimporte qui, et son esprit est tout sauf faible. Lorsque la croix au sol sâĂ©tait formĂ©e, il a profitĂ© de cette diversion pour lancer un sort de lĂ©gilimencie sur la jeune femme. Faible soit-il, mais suffisant pour la connaĂźtre lĂ©gĂšrementâŠCertes câĂ©tait quelque peu impoli, mais comme dit le proverbe, vaut mieux prĂ©venir que guĂ©rirâŠPuis, il baissa sa garde, et se mit de nouveau Ă sourireâŠses lĂšvres formant un croissant mystĂ©rieux⊠Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Jeu 26 Oct 2006 - 1847 { Magnifique RP, par contre le mien est bof }Silence. PensĂ©e obscure. Le DĂ©mon ne pouvait sâen empĂȘcher. Ses yeux rouges quâon pouvait confondre avec du sang en Ă©taient la preuve. Dans ces cas lĂ elle nâavait aucune pitiĂ©, aucune. Il lui Ă©tait donc facile dâĂŽter la vie, Ă nâimporte qui. MĂȘme si câĂ©tait une personne de sa famille, sauf si la vrais Riku » reprenait surface, ce qui est un cas rare dans ce genre de circonstance. Soupirs. Alors que la jeune femme qui Ă©tait dressĂ©e devant le jeune Ă©tait Ă©prise dâune haine absolue, elle vit apparaĂźtre des chaĂźnes prĂšs dâelle et la tombe qui se trouvait derriĂšre elle fut totalement dĂ©truite, en morceau minuscule. Sourire. CâĂ©tait un spectacle magique. MĂȘme pas un peu de respect pour le mort. Surprise. Tant mieux. Le DĂ©mon commençait Ă bien apprĂ©cier son adversaire » car câest ainsi quâelle le considĂ©rĂ©e, jusquâĂ ce quâil rĂ©ponde Ă sa question. â Serais-ce une provocation en duel ? »Niwa â Non, je ne pense pasâŠOublie la force, songe Ă embrasser lâĂ©corce⊠»Silence. CâĂ©tait de belles paroles, rĂ©flĂ©chis peut ĂȘtre, mais avec une notation magnifique. Mais ce nâĂ©tait guĂšre les pensĂ©es de Riku, bien quâelle aimait bien entendre ces mots. Soupirs. Elle ne rĂ©pondit rien Ă cette phrase dont elle ne trouver aucune rĂ©ponse convaincante, restant donc neutre, elle regardait ce qui se produisait sous ses yeux. Le spectacle continuait. Magnifique. Du sang ? Non elle ne rĂȘvait pas. CâĂ©tait prodigieux. Sourire. Elle regardait ce manieur compĂ©tant attendant la fin de son tour ». Puis lorsquâelle posa ses yeux au sol elle lâaperçut. Un sceau ». Non, une croix, une croix sataniste apparemment. LâincomprĂ©hension rĂ©sidĂ©e apparemment dans le cerveau du DĂ©mon. Elle restait incompĂ©tente vis-Ă -vis de sa rĂ©flexion sur ce sujet. Soupirs. Elle le regarda une nouvelle fois, attendant des explications mais ce fut tout autre. Une voix, la â Content de te connaĂźtreâŠdepuis le temps que je rĂȘvais de te voirâŠRiku⊠»Hana-Bi â Comment connais-tu mon nom ?Comment pouvait-il connaĂźtre son nom ? De plus, comment se permettait-il de lui parler si familiĂšrement ? Etait ce une de ses anciennes rencontre ? Poudlard peut ĂȘtre ? Elle nâen avait aucune idĂ©e, et puis Ă lâĂ©poque, elle nâĂ©tait point sortit du corps de Riku, le DĂ©mon attendait son heure. Lâheure de la nouvelle rencontre. Hikaru ». Soupirs. Durant ces pensĂ©es, le sang prĂ©sent Ă ses pieds commençait Ă sĂ©cher, pour ne faire plus quâun avec la terre fertile. Silence. En y rĂ©flĂ©chissant bien, il y avait peut ĂȘtre un moyen, un seul, qui pouvait lui faire connaĂźtre quelques rĂ©fĂ©rence sur la jeune sorciĂšre. Hana-Bi â LĂ©gilimens ? »Silence. Si cela Ă©tait bien le cas cela Ă©tait quelque peu dangereux, bien que Riku ait quelques capacitĂ©s en ce qui concerne lâOcclumancie, celles-ci nâĂ©taient pas Ă©normes. Elle avait eut quelques cours avec diverses personnes, mais ce nâĂ©tait pas devenue une as de cette capacitĂ©, prĂ©fĂ©rant dâautant plus Crodacier » dont elle a dut bosser Ă©normĂ©ment pour obtenir cette apparence. Soupirs. Regards intenses, que savait-il exactement ? La jeune femme hĂ©sitait, le tuer, sâen servir, lui faire cracher le morceau ? Toute ces Ă©ventualitĂ©s ne seront pas une tache facile a faire, donc patience, elle attend. Une â PrĂ©sentation obligeâŠNiwa Kelhena pour te servir⊠»Cette information nâavançait guĂšre la jeune femme, mais elle fit avec. Silence. Elle le regarda Pour te servir » , elle eut comme un air de dĂ©goĂ»t Ă cette phrase. Comme sâil Ă©tait sĂ©rieux, du moins son visage restait inerte. Et puis, Riku ne compte que sur elle-mĂȘme, ses Mangemorts sont lĂ seulement pour faire les petites missions inutiles quâelle ne veut pas accomplir par flemme. Soupirs. Elle regarda une nouvelle fois son interlocuteur de ses yeux rouge sang, et pris la â Et que me veux tu pour avoir tant attendus ma rencontre ? »Silence, elle restait froide et distante. Mais sa colĂšre sâĂ©tait dissipĂ©e pour laisser place Ă lâ Niwa KelInvitĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 31 Oct 2006 - 1739 Patience. Attention continue des moindres gestes et paroles de sa part. Niwa, toujours aux aguets, observaient la plus infime partie des choses, contrairement Ă ce quâil laissait paraĂźtre. Rester inerte Ă©tait sa principale Ă©motion. Cependant, son cĆur lui chuchotait Ă lâoreille de ses sensâŠencore et encoreâŠEt ici, que lui chuchotait-il ? Fallait-il quâil la tue ? NonâŠses pensĂ©es Ă©taient tout autres. Celles-ci Ă©taient simples et claires. Mais ne pensez pas que je vais vous les dire ainsiâŠLe moment viendra, comme dans tout dans la vie, chaque chose en son face de lui, une personne intelligente, rusĂ©e et maligne. Mais dâun lunatique absoluâŠEn ce moment, câĂ©tait le DĂ©mon qui le regardait droit dans les yeux, comme vous lâavez compris. Ce rougeâŠsi prĂ©sent dans les yeux de RikuâŠplaisant Ă ceux de lâhomme. Ce dernier, restait silencieuxâŠElle, elle se demandait comment il pouvait la connaĂźtre. Vous, bien sĂ»r, vous savez trĂšs bien la raison, contrairement Ă cette charmante demoiselle, Chef des Mangemorts, vous voyez ? Ceux qui lui obĂ©issent au doigt et Ă lâĆil, dans lâespoir dâune quelconque reconnaissance souvent inexistante. Dâailleurs, elle lui parlait sur un ton qui Ă©tait habituel aux yeux de Niwa. Elle Ă©tait froide, mais pas si distante que ça. Il sentait lâintĂ©ressement quâelle Ă©prouvait dans ses il se rapprocha une nouvelle fois dâelle. Puis, il sâarrĂȘte alors quâil Ă©tait Ă seulement vingt centimĂštres de son visage. Il passa son doigt dans les cheveux de la jeune femme, avec tendresse et dĂ©licatesseâŠEt, il leva sa main comme sâil allait la gifler. Mais il ne fit quâapparaĂźtre une rose rouge, quâil dĂ©posa dans les mains de Riku. Il approcha son visage encore un peu plusâŠQue voulait-il faire ? Quâavait-il en tĂȘte ? Il se rapprochaâŠencoreâŠencore un peu, plus que 5 centimĂštresâŠnon, il sâinterrompit. Il baissa la tĂȘte, prenant un air gĂ©nĂ©. Et il la releva quelque peuâŠIl poussa un faible soupir, etâŠse mit Ă sourire ! Quelle Ă©trangetĂ© dans ce personnage ! Et, il rigola avec discrĂ©tion⊠~Niwa Hum hum humâŠpourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu quâĂ force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore lâest-ce ?âŠIl sâinterrompit iciâŠpourquoi parlait-il en rime ? Etait-ce une vieille malĂ©diction quâavait certaines personnes ? Ou Ă©tait-ce tout autreâŠAu lieu de vous laissez mijoter dans cette mĂ©ditation, je vous rĂ©ponds. Il sâavĂšre que Niwa nâest en aucun cas maudit. Juste quâil aime la poĂ©sie et la mystiqueâŠRien de plus, rien de soudain, un bruit par derriĂšre. RapiditĂ© et prĂ©cision sont les qualitĂ©s les plus adĂ©quates Ă lâĂ©clair jaune qui avait dĂ©jĂ atteint la source de ce bruitâŠCâĂ©tait un simple hibou. CâĂ©taitâŠcar lĂ câĂ©tait devenu un insecte noir et rĂ©pugnant un cafard. La mĂ©tamorphose empĂȘche souvent la MortâŠcomme on le lui avait appris auparavant. Dâailleurs, autre choseâŠNiwa avait transplanĂ©. Il se trouvait assis, en train de jouer de la flĂ»teâŠLes notes Ă©taient mĂ©lancoliques et doucesâŠCertaines personnes, sensibles, pourraient verser une larmeâŠQuelle beau portrait ce soir-lĂ âŠdu sang sĂ©chĂ©, formant la croix SatanisteâŠune personne qui nâest autre que la Chef des MangemortsâŠune louve blessĂ©e maintenant partieâŠet un hibou transformĂ© en cafard. Et lui ? Que faisait-il dans la vie ?âŠLa symphonie continuaitâŠEt, elle atteint petit Ă petit sa fin. Une note en si bĂ©mol lâachevaâŠPendant 5 secondes elle rĂ©sonnaâŠtympans vibrant sous cette mĂ©lodie. Il retira ses lĂšvres du bec de la flĂ»teâŠ~Niwa Te connaĂźtreâŠpour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtreâŠPuis il commença une nouvelle mĂ©lodie, attendant une rĂ©action de la jeune demoiselle. Sâil fallait discuter, il discuterait. Sâil fallait se battre, il se battrait. Et sâil fallait la tuer, il la tueraitâŠTelles Ă©taient ses visions. Primitives, certes. Mais il est ainsi. Il ne se fiait quâĂ son instinct, quâĂ sa maniĂšre de penser. Pourquoi se tromper soi-mĂȘme alors que nous avons des issus devant nous ? CâĂ©tait ce quâil se disait, entre autres bien des choses. DerriĂšre ses lunettes noires, il observait la silhouette de la femme. Belle et gracieuse Ă©taient les mots que son cĆur venaient de choisir. Puis ses yeuxâŠAussi terribles que magiques, porte de son Ăąme rĂ©vĂ©lant chaque infime parcelle de sa personne. Pas besoin dâaller plus loin se dit-il. Il ne voulait pas pĂ©nĂ©trer dans un jardin quâil respectait, et quâil prĂ©fĂ©rait connaĂźtre diffĂ©remmentâŠMais comment alors ?âŠLes notes volaient au rythme des gouttes dâeau qui tombaient du cielâŠle vent les emportantâŠpour une meilleure mystique, comme il aimait si bien⊠Sakura R. HaradaMaraudeuse en de messages 1383Age 31Maison Ancienne d'inscription 25/04/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Co-FondatriceFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re * ...des mots... * [PV] Mar 14 Nov 2006 - 2131 { DĂ©solĂ© du retard =] . Et au fait, jâai des potes qui sont tombĂ©es sur tes photos et qui fantasme sur toi, jâsuis jalouse T_T . x] *sors* =P }Silence. Le DĂ©mon resta inerte. Il attendait juste une rĂ©ponse pour Ă©claircir son esprit de fou, de tueur. Mais sans vraiment savoir pourquoi, il Ă©tait comme envoĂ»tĂ©, quelque chose de vraiment particulier lâempĂȘchait dâĂȘtre violent. Mais quoi ? Tout nâest que mystĂšre, alors que Riku lutait en elle-mĂȘme pour reprendre sa place, tout ceci Ă©tait fait en vain. Vraiment pitoyable. Qui pourrait croire que la Chef des Mangemorts Ă©tait une personne si faible en rĂ©alitĂ©. Quâelle Ă©tait totalement possĂ©dĂ©e dâune personnalitĂ© autre, mais qui faisait tout de mĂȘme partie dâelle. Peut ĂȘtre quâun jour, elle pourra sâen dĂ©barrasser, mais faudra-t-il dâabord quâelle comprenne⊠Ce qui Ă©tait loin dâĂȘtre le cas pour lâinstant. Soupirs. Mais qui sait. Peut ĂȘtre dans plusieurs annĂ©es, sa maturitĂ© aura Ă©voluĂ©e, tout comme ses deux personnalitĂ©s. Silence. Retournons a la rĂ©alitĂ©. Celle-ci si tendue⊠Le froid rĂ©gnait, mais Riku ne laissait transparaĂźtre aucun frisson alors quâelle Ă©tait que trĂšs peu couverte. Elle regrettait presque les vĂȘtements quâelle portait il y a quelques minutes. MĂȘme ci ceux-ci nâĂ©taient quâamusement pour son interlocuteur. Alors que le jeune Niwa Ă©tait assez Ă©loignĂ©e dâelle, il commença a sâapprocher, petit Ă petit, en silence. Riku ne bougea pas, elle resta froide. Ses lĂšvres lâattiraient Ă©trangement, mais elle ne fit rien. Rien de plus que de regarder la scĂšne. Son visage si ⊠SĂ©duisant. { x] }. Si si. CâĂ©tait comme si Riku reprenait le dessus dans ces prises de faiblesses du DĂ©mon. Mais rien nâĂ©tait fait. Alors que Niwa se trouvait quâĂ cinq petits centimĂštre, et quâelle pouvait jusquâĂ entendre le moindre bruit de respiration quâil produisait, il se retira, laissant devant elle une rose rouge, comme ses yeux. Sourire. Il lâa mis dans les mains de Riku qui ne put sâempĂȘcher dâaccĂšpter le prĂ©sent. Sourire. Pourquoi tant se poser de questions ?Niwa â Hum hum hum⊠Pourquoi tant rĂ©flĂ©chir? Sais-tu quâĂ force cela fait souffrir ? LĂ©gilimens ? Peut-ĂȘtre cela et encore lâest-ce ?⊠»Silence. Il nâavait pas tort dans ses propos, et sans doutes Ă©tait-ce pour cela que la Chef des Mangemorts ne rĂ©pondit rien. Elle savait garder le silence dans de telles circonstances, elle se laissait plutĂŽt guidĂ©e par son instinct. Elle semblait pourtant si naturelle Ă prĂ©sent.. Mais ses yeux Ă©taient toujours imprĂ©gnĂ©s de rouge, jusquâĂ ses pupilles, ce qui prouvait que câĂ©tait toujours le DĂ©mon. Puis le personnage se trouvant sous ses yeux disparut en un instant pour se rĂ©fugier plus loin. Transplanage. Un air de musique. MĂ©lodieux, mĂ©lancolique, si triste. Le DĂ©mon transplana Ă son tour et rejoingnis son partenaire. Un flĂ»te Ă la main, elle Ă©couta quelques secondes, et une larme coula de son Ćil. Son Ćil qui Ă©tait redevenus vert, comme a son initial. Riku semblait contracter ses muscles, comme pour prouver une forme de rĂ©ticences, elle avait gagnĂ©e le combat. Surprise. Le DĂ©mon Ă©tait repartis, encore. Jamais elle ne sâĂ©tait transformĂ©e autant en une seule journĂ©e. MĂȘme pas lorsquâil Ă©tait lĂ , lui. Hikaru. Mais elle Ă©tait tout de mĂȘme heureuse de retrouver son corps. Rien quâĂ elle. Mais que pouvait-elle dire au joueur de flĂ»te ? Une larme silencieuse coula aussi de lâautre Ćil, mais resta discrĂšte. Bien trop sensible. Comme chaque Serdaigle. Elle nâĂ©tait pas plus forte que les autres, mĂȘme trĂšs faible comparĂ©e a certains, son cĆur et son expĂ©rience au combat ne sâunissait pas, bien au contraire. Silence. Elle cacha ses yeux, pour avoir a Ă©vitĂ© une quelconque question inutile. Elle nâosa mĂȘme pas exprimer le fait quâelle soit redevenue elle-mĂȘme, alors quâil y a quelques secondes elle Ă©tait heureuse. Se sentirait-elle intimidĂ©e ? â Te connaĂźtreâŠpour que de mon esprit tu ne puisses jamais disparaĂźtre⊠»Quelles paroles poĂ©tiques. Mais en saisissait-il lâimportance ? Vouloir connaĂźtre Riku Ă©tait une bien grande chose, trop complexe. Que peu de personnes avaient rĂ©ussis Ă cerner ce personnage, et celles-ci la connaissait depuis son enfance. Comment un parfait inconnu pouvait-il affirmer ça ? Et pourquoi avait-il lâair si sur de lui ? Riku ne comprenait pas un traite mot, ou plutĂŽt, elle nây trouvait aucune signification particuliĂšre. Mais elle y rĂ©pondit, aprĂšs avoir passer le reste de manche de veste quâil lui restait sur ses joue. Et dans une voix plutĂŽt naturelle, elle rĂ©pondit Hana-Bi â Penses-tu vraiment y arriver ? Peu y sont parvennus. Et encore moins en sont ressortis vivant. »Elle nâĂ©tait plus froide dans ses propos, plutĂŽt prĂ©venante, elle donnait un conseil. Conseil qui allait ĂȘtre pris en compte ? Qui sait ?_________________uc_ Contenu sponsorisĂ©Sujet Re * ...des mots... * [PV] * ...des mots... * [PV] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Quelques Mots» TROIS MOTS DE TROP pv Will» Laissons les mots courirent sur nos parchemins..Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
Matristesse est telle que mes larmes couvrent le sol Je ne peux plus faire face je me suis dĂ©sistĂ©e Je deviens folle, plus rien nâest drĂŽle Si tout se brise Ă mes cĂŽtĂ©s Câest que je cherche un sourire de ta part quelque part Une larme, un regard, un baiser Une phrase, un espoir, pour me sentir aimĂ©e Je ne suis plus rien sans toi
Mike Brant Durée 0322 Auteur Michel JourdanCompositeur Mike Brant Paroles Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois Mon amour tu as pleuré J'ai voulu partir cent fois Et cent fois je suis resté Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime Je t'aime et je veux te le dire Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Rien qu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime MICHEL JOURDAN, MIKE BRANT SM PUBLISHING FRANCE
Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'était certain cet fois Que rien d'amoureux viendrait On se trompe quelque fois Une larme a tout changer Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que nous deux C'est moi le plus malheureux
Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-Lard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1816 Betty marchait Ă cĂŽtĂ© de ses nouvelles amies et aurors, LoreleĂŻ et Eden. Elle venait de finir sa formation avec Eden, et câĂ©tait la premiĂšre mission que sa chef Morgane avait bien voulu lui confier. Donc pour Betty, câĂ©tait sa premiĂšre patrouille, par consĂ©quent elle Ă©tait toute enjouĂ©e Ă se balader dans la montagne, Ă la recherche dâun moindre incident suspect. En effet, quelques heures plutĂŽt au QG des Aurors, on leur avait signalĂ© un rapport dâincident au alentour de la grotte, voir dans la grotte en discutant avec ses amies, et en montant la garde, elles arrivĂšrent devant cette Ă©norme grotte. Betty nây avait jamais Ă©tĂ© auparavant⊠Lâaspect extĂ©rieur Ă©tait dâailleurs tout sauf accueillant. Les grosses pierres Ă©taient dâun gris foncĂ©, et donnaient lâimpression quâelles allaient sâĂ©crouler sur les 3 jeunes elles prĂȘtĂšrent attention au bruit qui Ă©manait de la grotte, les Aurors comprirent vite que ce qui se tramait Ă lâintĂ©rieurâŠTendant lâoreille avec un peu plus dâattention, elles entendirent la voix dâun mangemort et sâengouffrĂšrent rapidement de la de celle-ci Ă©tait profondĂ©ment lugubre. La faible lumiĂšre du jour Ă©clairait quelques peu la grotte mais Betty pour mieux voir ce qui Ă©tait en train de se dĂ©rouler sous ses yeux prononça Lumos !Un mangemort que Betty nâavait jamais vu en raison de sa toute nouvelle arrivĂ©e dans le groupe des Aurors Ă©tait en train de lancer un sort, Incarcerem Ă une jeune fille qui ne devait pas ĂȘtre plus ĂągĂ©e quâune deuxiĂšme LoreleĂŻ et Eden Ă©taient alors cachĂ©es derriĂšre un roc de pierre. Lorsquâelle regardĂšrent avec plus dâattention la scĂšne, Betty sâaperçut que la jeune prisonniĂšre du mangemort nâĂ©tait autre que VĂ©nus, une jeune serdaigle avec qui elle avait discutĂ© quelques semaines plus tĂŽtâŠElles sortirent alors de leurs cachette, et Betty sâavança en lançant Finite Incantatem » ce qui libĂ©ra la jeune fille de lemprise du sâavança en courant vers Venus, tout en jetant "Protego totalum !"Betty et VĂ©nus sortirent Ă reculons, le sort les empĂȘchant de toutes attaques du mangemort, puis Ă la sortie de la grotte, Betty pris la main de VĂ©nus et elles transplantĂšrent toutes deux, devant le parc de Poudlard. Betty la ramena Ă pied, dans lâenceinte du chĂąteau oĂč VĂ©nus serait enfin en sĂ©curitĂ©.HRPG avec accord de vĂ©nus pour la faire sortir. InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1817 LoreleĂŻ faisait sa premiĂšre patrouille, c 'Ă©tait assez frustrant d 'ailleurs, du moins premier jours vraiment dehors Ă faire ce qu'elle avait toujours rĂȘver de faire, elle espĂ©rait ĂȘtre Ă la hauteur. Et puis l'autre chose qui la gĂȘnait c 'Ă©tait de se retrouver dehors. LoreleĂŻ avait passĂ© tout le reste de sa jeunesse Ă Poudlard Ă se cacher des mangemorts dont son pĂšre qui la cherchait surement encore et toujours pour la tuer aprĂšs avoir essayer de la recruter et jeune femme avait une Ă©lĂ©gante robe noir jusqu'au sol, une pĂšre de botte et une cape noir avec un capuchon fourrĂ©e en fourrure de couleur noir aussi. Elle avait ses cheveux solidement attachĂ©s en chignon, ses ongles coupĂ©s de prĂšs et portai un maquillage lĂ©ger. Elle suivait Betty et Eden d'un pas lĂ©ger en fourrant les mains ballante, baguette dans une serait bien une premiĂšre patrouille au calmeDit elle, sa voie Ă©tait douce, mais assez froide et cassante. Lore n'Ă©tait pas le genre de fille qu'on apprivoisait facilement, distante, solitaire mis un cĆur en or quand on la connaissait vraiment. Elle ne connaissait que de peu ses compagnes d 'armes. En mĂȘme temps ce qu'elle disait Ă©tait ironique mĂȘme si rien ne paraissait, les femmes avançait s'enfonçaient vers une grotte suspectĂ©e et elle devait allĂ© y faire un rapport....*J'aime pas çà , pas çà du tout*Comme si au fond d'elle des instincts de survie remontait Ă la surface d'un de ses temps troubles oĂč la mort lui avait passĂ© de peu. Son teint devint pĂąle, sa main se resserra sur sa baguette. A croire qu'elle sentait de loin le monstre se cachant lĂ . Lore continua de marchĂ© et entendit une voie de loin, et gĂ©nĂ©ralement le ton ne lui Ă©tait pas inconnu et surtout un sort lancĂ©. Elle logea la paroi rocailleuse suivant Betty avant de voir celle-ci agir. Lore dĂ©couvrit une fille qui Ă©tait attachĂ©e par des liens magique et devant elle.... un mangemort. Le cĆur de Lore ne fit qu'un tour, elle suivit Bettyet se cacha derriĂšre un rocher avec Eden aussi elle vit Betty foncer sur la fille, un regard,un sort puis on entendit un "pop" avant que la fille et Bet ne partent. Tout en une fraction de seconde alors que LoreleĂŻ lançait un sort en mĂȘme temps que Betty. Son geste fut rapide et sa bouche tellement dĂ©terminĂ©e, tellement habituĂ©e Ă prononcĂ© çà ...Sectumsempra !A vrai dire tout alla si vite que sa baguette envoyait les jets,son coup partit sans qu'elle prit conscience de l'endroit oĂč il irait dans la grotte. A vrai dire, il y avait une chance sur cent qu'il touche le mangemort. Et puis c 'Ă©tait pas le but, sa premiĂšre rĂ©action fut de protĂ©ger le dĂ©part de Betty pour ne pas que le mangemort aie le temps de rĂ©agir sur elle. Et puis, se sort avait de quoi en faire rĂ©agir plus d'un rien qu'en prononçant ce simple mot, mĂȘme sans baguette. Magie noir oui, elle venait Ă peine de sortir de Poudlard et les maigres sorts de bases qu'elle connaissait ne lui servait pas beaucoup. Et puis dans des cas ainsi, la mĂ©moire sortait ce qu'elle pouvait et ici se fut le rĂ©sultat du bourrage de crane de son pĂšre alors qu'il la tenait captivĂ©e. La magie noir, elle l'avait en horreur mais dans ses cas si, elle prĂ©fĂ©rait la faire apprĂ©ciĂ©e par les gens qui l'utilisaient, qu'ils voient ce que çà fait... Mais tout alla si vite, LoreleĂŻ continua Ă jeter des sorts aprĂšs celui faisant apparaitre les blessures GastroEt un de plus partait censĂ© vider les entrailles. Eden Ă©tait aussi lĂ , mais chacune sa spĂ©cialitĂ©, sa force. Lore attaquait, Eden protĂ©geait. Un tout une force, il fallait faire vite, elle Ă©tait deux, elle et Eden, pour LoreleĂŻ s 'Ă©tait son premier dĂ©fis, sa revanche sur la vie .DerniĂšre Ă©dition par LoreleĂŻ Evana le Jeu 10 DĂ©c - 1817, Ă©ditĂ© 1 fois Jude RoseburyGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Jude Rosebury, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 La sorciĂšre, aprĂšs avoir fait deux formation, Ă©tait allĂ©e voir Morgane au Qg. Celle-ci l'avait prĂ©venue qu'il y avait eu des rapports d'incidents aux alentours de la grotte. Alors, elle avait demandĂ© Ă Eden, ainsi qu'Ă Betty, qu'elle avait formĂ© il n'y a pas longtemps, et LoreleĂŻ. Eden n'avait pas vraiment eu le temps de se changer, gardant les vĂȘtements de l'entrainement, un peu sale, mais peut importe. Elle avait juste mit sa cape par dessus, pour arranger un peu cette apparence nĂ©gliger, qu'Eden dĂ©testait. Toute trois Ă©taient parties ensemble patrouiller, pour la sĂ©curitĂ© des lieux. Patrouillant depuis un certains temps, elle s'approchĂšrent de la grotte pour finir. Entendant des voix, et le nom d'un sort, elles se raprochĂšrent toute trois. Un mangemort ! Eden savait tout de suite qu'il s'aggissait de cela, Ă©tant donnĂ© que cette personne Ă©tait sous une cape noir, large, et en face d'elle.. Une fille ? Elle portait une tenue de serdaigle, et tenait son chat dans ses mains. Alors Eden prit sa baguette d'instinct. Elle resta dans l'entrĂ©e de la grotte, derriĂšre un rocher avec Betty et LoreleĂŻ. Puis Betty se leva avec LoreleĂŻ. Eden resta derriĂšre le rocher pendant que Betty partit Ă la dĂ©fense de la jeune fille, et LoreleĂŻ jetait des sorts pour distraire le ne savait pas trop quoi faire pour le moment, alors elle dit sans mot Protego . Le bouclier devrait pouvoir la proteger pour un sortilĂšge. Alors Eden se leva, s'approcha, toujours surement, pour ne pas risquer de se faire avoir par le mangemort. Tendant sa baguette pointĂ©e sur le Mangemort, elle murmura Metalo Scencio .Un filet de metal sortir de sa baguette en direction du mangemort. Normalement, celui-ci devrait se retrouvai piĂ©gĂ©, et ci il tentait de se liberer, il se ferait surement des entailles, car les liens se resserent. Elle tourna la tĂȘte, et regarda LoreleĂŻ lancer des sorts. Elle attaquait, et Eden protegait la sortit, mĂȘme si elle avait jetĂ© un petit sort d' se rapprochant de LoreleĂŻ, toujours avec son bouclier, et mit son bras devant le torse de son amie et collĂšgue, et pointa sa baguette. Elle lança Ragnarok sans mot dire. A cet instant, un mur invisible de protection apparut entre la mangemort et les deux aurors. Elle dit alors - Ce n'est pas beau de s'attaquer Ă moins fort que soit.. Seriez vous si peut sĂ»re de vos sorts ?AprĂšs cette phrase lĂ , Eden tourna la tĂȘte vers Allez, on devaient partir, maintenant que Venus Ă©tait sauve, plus rien ne les retenaient ici. MĂȘme si Eden avait envie de se battre, elle devait faire attention, et ne pas risquer sa vie juste pour une envie de combat. Elle se concentra, pensa Ă sa destination avec determination. " QG des aurors.. " pensa t-elle. Les deux aurors s'en allĂšrent alors.. MaĂźtre de jeu Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]MaĂźtre de jeu, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 Le membre 'Eden Bolton' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'Combats Sections Act' InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Dim 17 Jan - 154 [PrivĂ© Nymphadora]Il Ă©tait tard, au moins dix heures du soir, Will Ă©tait allongĂ© sur le canapĂ© prĂšs de la cheminĂ©e, les yeux fermĂ©, on aurait pu aisĂ©ment croire qu'il dormait. Une petite tape sur l'Ă©paule rĂ©veilla le jeune homme dont les mĂšches blondes tombaient devant ses yeux *serait p'tetre temps d'aller s'faire couper les cheveux* pensa Will. La petite tape en question venait de LĂ©to, son elfe, qui se tenait devant lui avec son Ă©ternel air soumis. Il portait dans la main droite un chandelier et dans la main gauche l'un des pyjamas du jeune homme. L'elfe s'inclina bien bas puis fit- Voulez-vous allez vous coucher, ou prendre une tasse de ThĂ© ?- Merci LĂ©to mais je ne veux pas de thĂ©, et je n'ai pas sommeil, je ne dort aurait pu croire Ă une phrase ironique, ou encore Ă une façon de se mettre en avant mais Will ne voulait rien de tout cela, depuis le jours ou il avait Ă©tĂ© mordu par Akshay Lecter, l'homme qui lui avait sauvĂ© la vie, Will n'avait pas dormit une seule seconde comme pouvait le constater ses lĂ©gĂšres cernes sous les yeux. En fait en ce moment Will n'avait envie de rien mise Ă part une seule chose, manger. En effet, il lui fallait sa dose de sang, sa drogue. Mais pas question de sortir dans la rue et de prendre la vie de la premiĂšre personne qui croiserait son chemin. Non, il devait prendre des prĂ©caution et n'attaquer qu'un se releva d'un coup, sans prĂ©venir. LĂ©to sursauta puis s'Ă©carta de son maitre comme pour lui donner plus d'espace. Will regarda LĂ©to droit dans les yeux puis lui fit- On y va LĂ©to, emmĂšne moi Ă PrĂ©-Au-Lard, prĂšs des PrĂ©-Au-lard ? Mais monsieur .. A cette heure ?- Oui Ă cette conversation Ă©tait close, Will n'avait pas envie de se justifier et surtout il avait faim, une chose qui pouvait le rendre insupportable. Le blondinet posa sa main sur la minuscule Ă©paule de LĂ©to qui disparut dans un PLOP sonore. AussitĂŽt les pieds de Will rencontrĂšrent une surface dure et poussiĂ©reuse, il venait de se poser sur l'un des sentier menant aux sommets des Montagnes. Will regarda son elfe de toute ça hauteur et lui fit- LĂ©to rentre, ne reviens que si je t'appelle. Bonne ne fit pas rĂ©pĂ©tĂ©, tourna les talons et transplana Ă nouveau, Will Ă©tait seul. Cependant il ne devait pas trainer, son dĂ©sir devenait de plus en plus fort, il fallait qu'il trouve un animal le plus vite possible sinon le premiĂšre humain qu'il croiserait serait lui aussi se tapait dans l'ombre en attente d'une proie, immobile, silencieux, sans mĂȘme un mouvement de poitrine signalant qu'il respirait, Rien. AprĂšs environs dix minutes d'attente un gros chien, Ă la fourrure marron passa Ă prĂšs de 5 mĂštres de lui en se dirigeant tranquillement vers une grotte sans se douter du danger qui le menaçait. Will guetta l'animal en attendant que le moment propice arrive. Et il arriva, lorsque le chien eu fait deux pas dans la caverne Will courra Ă toute allure dans sa direction, jamais il n'avait couru aussi vite, ses pouvoirs de vampire et sa faim devait aiguiser tout ça. Lorsqu'il arriva Ă ses cĂŽtĂ©s Will se jeta sur lui et lui prit le cou avec sa main gauche et le plaqua contre la parois de la grotte Ă moins de deux mĂštres de l'entrĂ©e, si quelqu'un passait par lĂ il verrait tout la scĂšne, mais personne ne marcherait dans le coin Ă cette heure ci. Will coinça l'animal contre la paroi et saisit la peau de son flanc Ă laide de ses deux mains, le chien essaya de se dĂ©battre et de s'Ă©chapper mais en planta ses deux crocs aiguisĂ© avec une immense satisfaction, il allait pouvoir combler sa faim. Lorsque ses crocs transpercĂšrent la peau de ce pauvre animal une quantitĂ© importante de sang sortit de son corps que Will s'empressa d'avaler. AprĂšs avoir avalĂ© le plus de sang possible Will laissa tomber Ă terre la dĂ©pouille du chien, la rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă voir. Will avait du sang pleins les mains, partout sur sa chemise et sur le coin des lĂšvres, mais le pire Ă©tait l'animal, il avait le cou entier de dĂ©chiquetĂ©, ainsi qu'un aspect rien de tout cela n'Ă©tait inquiĂ©tant comparĂ© Ă se qui allait arriver. un bruit de pas se fit entendre, puis quelqu'un entra dans la grotte et se retrouva Ă moins de deux mĂštre en regardant Will de haut, l'homme Ă©tait toujours Ă genou Ă considĂ©rer le cadavre du chien. Lorsque le nouveau venu s'Ă©carta lĂ©gĂšrement et que la Lune fit assez de lumiĂšre Will pus apercevoir la visage de cette Lupin se tenait devant lui Ă observer son ami Ă genou du sang sur les mains, la chemise et au bord des lĂšvres, devant une dĂ©pouille de chien dont le cou Ă©tait entiĂšrement qu'est se que tu fais lĂ ? fit Will d'une voix desesperĂ©. Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Dim 17 Jan - 352 Il Ă©tait fort tard, mais, ces temps-ci, la jeune Nymphadora Ă©tait prise d'insomnies chroniques... Elle qui sans enfance aurait tuĂ© pĂšre et mĂšre pour rester dans son lit commençait Ă en avoir peur, peur de rester seule sous les draps, peur de mourir dans son sommeille. Vous allez me dire Ă dix-neuf ans, fort rare sont les personnes qui meurent en dormant, mais, dans le monde actuel, tout devenait possible. C'est surtout, je pense, que la jeune femme n'aimait plus habiter cette maison sans la prĂ©sence d'Emy, vĂ©ritable fĂ©e du logis, qui y apportait sa joie et sa bonne humeur et que maintenant la modeste maison n'Ă©tait plus qu'un cinq piĂšces assez banal et bordĂ©lique. Nymphadora avait voulu, Ă maintes reprises, la mettre en vendre, mais c'est une chose ardue que des vendre ses souvenirs aux premiers venus. Une autre option s'Ă©tait offerte Ă elle, l'abandonner et y revenir lorsque la nostalgie se ferait trop poignante sur le cĆur de la jeune journaliste. La dĂ©cision prise, il ne lui manquait plus que le courage d'aller Ă l'agence immobiliĂšre et acheter un nouvel endroit oĂč vivre bien loin d'ici....Quoi qu'il en soit, les aiguilles de l'horloge avoisinait les trois heures du matin, lorsque Nymphadora enfila une cape noir assez sobre et qu'elle remonta le capuchon sur sa tĂȘte pour se protĂ©ger du vent. Pas la tĂȘte Ă aller chez "Lucette', le cafĂ© du coin oĂč se rassemblaient tous les vieux soulards de PrĂ©-au-Lard, pas la tĂȘte Ă aller prendre une claque de souvenirs Ă la maison en ruines, la tĂȘte Ă rien Ă vrai dire... Elle erra sans but, marchant sans prendre conscience de la direction que prenaient ses pieds, scrutant chaque demeure du coin de l'Ćil et s'imaginant pour les familles qui y vivaient des histoires plus rocambolesque les unes que les autres. Untel trompait sa femme avec la femme du voisin, l'autre battait ses enfants ou s'adonnait Ă la prostitution pour subvenir Ă ses besoins depuis que son mari Ă©tait aux abonnĂ©s absents... Le genre d'histoires dĂ©biles qu'on lit dans des magasines moldus et qui se vendent comme des petits prit place sur un banc tout en chantonnant une vielle chanson apprise chez les moldus et dont les paroles auraient donner envie au plus gaie des hommes de se suicider. L'air hagard, elle ne reprit ses esprits que quand elle sentit une truffe sur ses genoux. Elle n'Ă©tait pas fort pour tout ce qui Ă©tait poilu, qui avait quatre pattes, qui bavait ou qui sentait une odeur incommodante, mais lĂ , elle ne put y rĂ©sister. Face Ă elle se tenait son sosie, mais en chien ! Seul, abandonnĂ©, l'air ailleurs et qui n'avait pour occupation que le vagabondage nocture. Elle posa sa main sur le haut de sa tĂȘte et entreprit de le caresser. - DĂ©solĂ©e mon beau, mais je n'ai rien d'autre Ă t'offrir. Je n'ai pas pour habitude de me promener avec des os ou de la nourriture pour chienBon sang, elle Ă©tait dans un dĂ©chĂ©ance totale si elle commençait Ă parler avec des animaux ! Conversation qui ne dura pas longtemps vu que Roucky de son flair incroyable capta, au pieds de la montage, un fumet qui lui mit la bave aux babines. Nymphadora le suivit, question d'instinct, de curiositĂ©, elle savait qu'il y avait une grotte lĂ -haut et avait une envie soudaine d'y mettre les pieds. Alors qu'elle montait progressivement et qu'elle se trouvait, approximativement, Ă deux mĂštres de la dite grotte, un spectacle inhabituel se dĂ©roula devant ses yeux. Un humain Ă©tait entrain de bouffer le gros toutou, une personne normal aurait eu peur, aurait prit la fuite et aurait une pensĂ©e triste pour le pauvre petit Milou. Nymphadora, non, elle se demande juste si le type de la grotte sera rassasiĂ© avec un chien. Pour en avoir le cĆur net, la jeune femme entra dans la grotte et y aperçu Will agenouillĂ© devant le cadavre et rempli de sang. Tomber nez Ă nez avec sa consĆur ne semblait pas lui plaire visiblement. - Ce que je fais lĂ ? Je viens constater que tes parents ne t'ont pas appris les bonnes maniĂšres et que tu manges vraiment comme un porc. Mais qu'avait-il donc cru ? Que sept litres de sang allait lui faire tourner de l'Ćil ? Ou qu'elle allait partir en courant, crier Ă qui veut l'entendre qu'une crĂ©ature bouffait les animaux domestiques ? CrĂ©ature ! Non, Will n'Ă©tait pas une crĂ©ature ! S'Ă©tait un... Un... Quelque chose. - Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? Elle se servit de sa baguette pour arroser le journaliste et lui rendre un aspect et une odeur digne de ce nom. Elle mit feu au cadavre du chien pour pas qu'il se fasse bouffer par toute sorte de bĂȘtes et que ça finisse par sentir le cadavre en putrĂ©faction dans tout PrĂ©-au-Lard, ce qui finirait par rameuter tout les villages dans la grotte et certaines personnes risqueraient de se poser des questions qu'ils ne devraient pas. Nymphadora dĂ©tailla de haut en bas le jeune homme et sa conclusion fut qu'il avait une sale mine. - Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă balais. L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le messageInvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Lun 3 Mai - 2207 dS'il s'Ă©tait attendu Ă une Nymphadora choquĂ© ou apeurĂ©, Will c'Ă©tait lourdement trompĂ©. En effet, la jeune femme n'avait mĂȘme pas sourcillĂ© en voyant le corps dĂ©chiquetĂ© du chien ou encore le sang que Will avait partout sur lui. Le jeune homme Ă©tait perplexe, d'un cĂŽtĂ© il Ă©tait content que Nymphadora lui tombe dessus et pas n'importe quel idiot du village, il aurait voulu crier Ă qui voulait l'entendre qu'un vampire se trouvait dans la montagne et Will aurait Ă©tĂ© obligĂ© de le tuer, mais d'un autre cĂŽtĂ© Nymphadora Ă©tait une personne qu'il connaissait ...Nymphadora, d'une voix neutre, comme si c'Ă©tait une parole de toute les jours lui fit- Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? - Oui, un vampire .....comme Ă son habitude, Nymphadora ne se laissa pas dĂ©monter et prit les devants, elle se chargea de nettoyer Will d'un coup de baguette magique, se que soit disant passant Will n'aima pas des masses, puis elle fit bruler le cadavre du chien, ainsi pas une seule bĂȘte ni odeur ne viendrait signaler le massacre. Un peu honteux de la sitation Will marmona un timide "Merci" puis se Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă balais. - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irais mieux aprĂšs ...Bien sur Will ironisait, mais il Ă©tait vrai que son appetit n'Ă©tait pas totalement satisfait, il aurait payĂ© chĂšre pour boire un peu de sang humain, rien qu'un peu ... En fait, plus Will y reflechissait plus il pensait que Nymphadora avait soulevĂ© un point important Bien qu'il Ă©tait toujours assez costaud son manque de nourriture commençait Ă porter prĂ©judice, ses joues commençaient Ă se creuser et des cernes apparaissaient sous ses yeux. Pas de doute, un dernier morceau lui ferait beaucoup de tourna rapidement les talons et s'engouffra en courant plus profondĂ©ment dans la grotte en prenant soin d'attraper solidement Nymphadora par le poignĂ©e. Connaissaint Nympha, Will ne doutait pas une seule seconde que se qu'il allait lui proposer lui plairait, dans le cas contraire une fois partie ils ne pourraient tourner les talons ...AprĂšs avoir couru durant une bonne minute Will s'immobilisa le long de la paroi et renifla bruyamment vers le fond de la grotte. Les sens en Ă©veil il resta silencieux quelques secondes puis il continua sa course mais cette fois plus lentement, plus discrĂštement en marchant Ă pas de loups ...Cinq-cents bon mĂštres plus tard, Will s'arrĂȘta en faisant signe Ă Nymphadora de faire de mĂȘme. aussitĂŽt un grognement sonore s'Ă©leva, puis un deuxiĂšme diffĂ©rends. Will aussi commença Ă grogner, moins fort. Peu Ă peu deux silhouette furent distinguable, des silhouette animal. En fait, les deux jeunes gens virent quelques secondes plus tard que deux magnifique loups leur faisaient face, les crocs sortie avec un air tout sauf deux loups, plus agressif que jamais faisaient face Ă Nymphadora et will ... Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Mar 11 Mai - 1624 - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irait mieux aprĂšs ...- Ca ferait quoi si tu me prenais un peu de mon sang ? Si tu pointes tes grandes dents quelque part dans mon corps, est-ce que je me transformerais en vampire ? Si je peux rester humaine, alors vas-y fais le et bouffe un peu de mon sang, mais bon si je dois troquer ma belle dentition pour des dents pointues comme les tiennes laisse tomber. On trouvera bien un moyen de te nourrir. On pouvait ĂȘtre mĂ©chante, froide et cruelle comme Nymphadora, celle ne voulait pas pour autant dire que l'on ne possĂ©dait pas un cĆur et et que l'on ne se serait pas coupĂ© en quatre pour ses amis. Ăa lui dĂ©chirait les tripes de voir Will si faible et aussi mince qu'un manche Ă balais, tandis qu'il lui tournait le dos, elle le regardait de haut en bas, ce n'Ă©tait plus vraiment le fringant jeune homme qu'elle avait connu des mois auparavant. La jeune brune fit apparaitre une petit coupole et se coupa le poignets tout en Ă©vitant les veines, elle n'Ă©tait pas suicidaire tout de mĂȘme, et laissa son sang couler dans le rĂ©cipient. Une fois celui-ci plein, elle referma sa coupure et tendit le sang Ă son ami. - Me regarde pas avec tes yeux de chien battu et bois ça vite fait bien fait avant que je te le fasse ingurgiter par le nez. Que cela reste entre nous Will, il est hors de question que tu te ramĂšne avec tout tes petits amis au sang froid pour que je vous nourrisse tous, mais si jamais tu as encore besoin de sang, n'hĂ©site pas. Rapide comme il Ă©tait, Nymphadora ne se rendit pas compte que le vampire lui prenait le poignet et l'obligeait Ă s'enfoncer Ă l'intĂ©rieure de la grotte. Elle ne savait pas si elle devait lui foutre une bonne raclĂ©e ou le laisser la tirer comme un vulgaire jouet, dans le cas oĂč il voudrait se battre contre elle, il savait dors et dĂ©jĂ qu'il n'avait aucune chance contre sa comparse. Effectivement, Nymphadora utilisait dĂ©jĂ sa baguette comme une arme mortelle que Will tĂ©tait toujours le sein de sa mĂšre ! Il courait assez vite et la jeune brunette avait quelque peu du mal Ă la suivre surtout qu'elle et l'athlĂ©tisme ça avait toujours fait deux, mais il dĂ©cida enfin Ă s'arrĂȘter. - Tu joues Ă quoi lĂ ? Il lui plaqua nĂ©gligemment la main contre sa bouche afin qu'elle se taisse, apparemment, ils n'Ă©taient pas seuls dans la grotte et Will arrivait Ă sentir cette prĂ©sence qui devait ĂȘtre tout sauf humaine Ă en juger par les grognements qui se faisaient entendre. Hooo...Will voulait donc s'amuser et invitait sa jeune amie Ă participer Ă ce petit combat, mais quel gentil jeune homme tout de mĂȘme. Il est vrai que Nymphadora n'avait plus combattu quelque chose ou quelqu'un depuis quelques semaines, il Ă©tait temps de reprendre du service ! Son adversaire serait donc un loup, en espĂ©rant que ce ne soit pas un des loup-garous reconnus par le ministĂšre mais un bĂȘte loup qui regrettera bien vite d'ĂȘtre venu dans cette grotte. - Je prends celui de droite, ok ? EuroraLĂ©gendePoufsouffle Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Eurora, le Ven 2 Juil - 1458 [HJ Je pense que je peux poster ici depuis le temps qu'il n'y a pas eu de rĂ©ponse... roll ]Eurora ne comprenait pas ce qui lui arrivait ; elle nâavait pourtant bu que trĂšs peu et elle sentait la tĂȘte lui tourner horriblement ⊠Dans sa maison, Ă PrĂ©-au-Lard, elle Ă©tait accroupie sur le sol et tournait les pages dâun album photo oĂč quantitĂ©s de photos lui renvoyait des sourires emplis dâamour ⊠Mais ces sourires appartenait au passĂ©. Bel et bien au passĂ©, se dit-elle. Les traces de son chagrin envahirent le bleu Ă©tincelant de lâocĂ©an de ses yeux et une larme â comme une perle â se mit Ă rouler sur sa joue⊠Sans doute lâalcool quâelle avait ingĂ©rĂ© en fut la cause elle nâen savait rien mais quoiquâil en soit, cela aggravait son chagrin et le faisait apparaĂźtre au grand jour alors que normalement elle chercherait Ă le dissimuler... Pleins de choses Ă©taient coupables de son actuel Ă©tatâŠLa solitude lui pesait ce soir lĂ , plus que dâhabitude ; elle avait envie de sentir la prĂ©sence de ses amis prĂšs dâelle, de son fils, dâAkshay, de ses soeurs mais une autre pensĂ©e sâinsinuait dans son esprit elle ne voulait pas les dĂ©ranger ⊠Cela ne la regardait, elle et elle seule. Cette bouteille avait semblĂ© si tentante ⊠Elle nâavait su y rĂ©sister ⊠Y noyez son chagrin ? Sans doute eut-il Ă©tĂ© dans son intention. Et pourtant, elle ne cessait de penser encore, sinon davantage, Ă tout ce qui occupait son esprit⊠Vacillante, elle tenta de se relever mais retomba par terre, lĂąchant un petit Oups ! » alors que le craquement significatif dâun transplanage brisait le silence⊠Aaaah ! » et boum, elle bascula en arriĂšre, soudainement surprise de lâarrivĂ©e impromptue dâOrion⊠Quâest-ce que ... ?!! » Lâelfe, sâinclinant devant elle, lui rĂ©pondit alors, les yeux exorbitĂ©s en voyant dans quel Ă©tat sa maĂźtresse sâĂ©tait mise⊠Orion et NaĂŻla ont pensĂ© que vous aviez peut-ĂȘtre besoin dâaide, maĂźtresse Eurora⊠»Les vapeurs de lâalcool aidant, La jeune femme Ă©clata de rire puis laissa Ă©chapper un Ă©clat de rire⊠Oups, tu mâas fait peur ! ⊠Moi ? Mâaider ? Bien sur que non, je ne me suis jamais sentie aussi⊠Aussi bien... Hips ⊠Je pourrai gravir le mont Blanc ! »⊠Elle rit Ă sa propre plaisanterie, mĂȘme si celle-ci nâĂ©tait pas forcĂ©ment drĂŽle ⊠Ce que sembla songer Orion mais il nâajouta rien. Il sâapprocha de quelques mĂštres, tentant de saisir le bras dâEurora mais cette derniĂšre se dĂ©roba ... Je pourrai mĂȘme aller sortir dans les rues et chanter Ă qui veut entendre ! »Elle se sentait libre, pour la premiĂšre fois, libre de toutes contraintes ! CâĂ©tait certain ! Jamais elle ne sâĂ©tait sentit la libertĂ© de faire ce quâelle veut, dâaller oĂč elle voulait ⊠Oups, elle tituba, se rattrapant au rebord de la table⊠OulĂ , est-ce normal que le sol tangue tant ... On se croirait en pleine mer sur un navire ... Madame, vous devriez vous coucher je crois⊠»La silhouette dâEurora sâimmobilisa, puis se retourna lentement⊠Un instant, elle sembla recouvrir toute sa raison puis, une lueur effrayĂ©e passa dans son regard, le temps de comprendre ce que dormir signifiait⊠Non, dormir je ne veux pas⊠Je veux ĂȘtre libre ! Libre de choisir, libre dâaller, libre de ⊠De choisir mes dĂ©cisions et Ă qui je donne mon soutien ! »Elle ne savait trop pour quelles raisons elle avait prononcĂ© ces derniers mots⊠Tout se mĂ©langeait dans son esprit, tous les Ă©vĂšnements de ces derniers temps, toutes ces contrariĂ©tĂ©s⊠Tout sâĂ©tait rĂ©uni, concentrĂ©, et tout Ă©tait sortait ce soir lĂ en mĂȘme ces mots, elle avança tel un chĂąteau branlant en direction de sa porte dâentrĂ©e et alors quâOrion demeurait sans bouger, et sans savoir ce que le mieux Ă©tait de faire, il lâobserva sortir parmi le sombres de la nuit⊠Une fois dehors, la jeune PhĂ©nix ne sentit pas mĂȘme la fraĂźcheur saisissante de cette nuit dâĂ©tĂ© ⊠Sa vision Ă©tait incertaine mais elle ne se demanda mĂȘme pas comment elle parvenait Ă mettre un pas devant lâautre. Le lendemain, elle aurait certainement une migraine atroce mais pour le moment, elle ne voulait plus penser Ă rien ! POURQUOI ?!!! » fut sa premiĂšre parole alors quâelle adressait cet seul mot, plus au ciel quâĂ quiconque dâautres. Seul le silence de la nuit lui rĂ©pondit alors quâil lui renvoyait lâĂ©cho de sa propre voix. Elle attendit quelques secondes que ce dernier se tut pour enfin bouger un orteil et descendre les marches de la maisonâŠDĂ©ambulant dans la ruelle, son pied finit par se prendre dans quelque chose ; elle se pencha et maugrĂ©a aprĂšs ces gens qui nâĂ©taient pas mĂȘme capables de ramasser leurs ordures⊠Câest alors quâelle reconnut le visage dâAzphel, les traits de lâun des directeurs de Maison et tout le poids de ses responsabilitĂ©s revint sur ses Ă©paules et Ă©galement ce quâelle avait ouĂŻe dire de ce quâon attendait dâelle⊠QUI avait Ă©tĂ© crĂ©er le principe selon il Ă©tait "normal" de soutenir ceux avec lesquels on travaillait ?!! QUI que je l'Ă©trangle !!! Personne. EmprisonnĂ©e ce soir par les vapeurs d'alcool, Eurora ne se sentait pas libre de ses opinions et de ses actions... Ce fut lâair fier et dĂ©jĂ triomphant â Ă moins que ce soit dĂ» Ă quelques retouches sur la photo â dâAzphel qui eut raison dâelle et la fit tressaillir, comme saisit dâun lourd pressentiment⊠*Des mots ! Que des mots ! * ET POURQUOI devrais-je soutenir forcĂ©ment les personnes avec qui je travaille ?!! Le monde est-il ainsi fait quâil ne permets pas mĂȘme Ă lâHomme de faire ce que bon lui semble, de penser ce quâil veut, de prendre les dĂ©cisions quâil veut ?!!! »Un tressaillement la saisit, peut-ĂȘtre lâalcool qui coulait dans ses veines en Ă©tait coupable mais aprĂšs quâun long frissonnement lâeut saisie, elle laissa Ă©chapper une sorte de rĂąle mais au contraire de ce quâun Ă©tranger aurait pu penser en la voyant ainsi, elle ne tomba pas, Ă©croulĂ©e sur le sol⊠Dans sa main, ses doigts se refermĂšrent sur lâaffiche, la froissant puis la laissant retomber par terre, en une boule de papier informe. Elle nây faisait plus garde Ă prĂ©sent, prit dans ses dĂ©lires amplifiĂ©s Ă la fois par son dĂ©sespoir et Ă©galement pas les vapeurs de lâalcool circulant dans ses veines qui lui donnait la force cependant de ne pas sâ contraire elle continua dâavancer, telle une somnambule, vacillant de temps Ă autre sur ses pieds, se retenant quelquefois au mur dâune maison dĂ©crĂ©pite. Dâun seul mĂȘme Ă©lan, toutes les injustices et mĂ©saventures dont sa vie avait pu ĂȘtre parsemĂ©e se diluĂšrent dans son esprit, amplifiant cette impression de se sentir comme ⊠vidĂ©e. Pourquoi ne pourrait-on pas ĂȘtre maĂźtre de son destin, et de SES pensĂ©es ! Tout simplement car elle voulait ĂȘtre elle-mĂȘme, car elle ne voulait pas se plier Ă ce que la plupart des gens penserait quâelle ferait⊠A ce quâils pensaient qui Ă©tait normal de faire ⊠Pourquoi ne pourrait-elle soutenir les gens quâelle voulait ? Si son statut de directrice lâobligeait ainsi Ă soutenir forcĂ©ment ceux avec lesquels elle travaillait, alors elle rejetait son insigne, et en mĂȘme temps ses responsabilitĂ©s ! Elle nâen voulait plus, voilĂ ! Si elle avait un insigne, elle la jetterait au sol et marcherait dessus, lâĂ©craserait jusquâĂ ce quâelle ne soit plus ... Si du moins cela lui impliquait dâeffectuer des actes dont elle ne pensait pas un mot ! Vous pouvez me prendre tout ce que jâai, mais certainement pas ma libertĂ© ». Cette fois, il sâagissait dâun murmure. Un murmure prononcĂ© face au mur contre lequel elle se trouvait. La norme ?!! Pourquoi la norme existait-elle dans la sociĂ©tĂ© ? Il nây avait pas de normes. Sans crier garde et criant Ă qui pouvait lâentendre, elle sâĂ©cria⊠Je soutiendrai ce qui me semblera bon et ce que JE voudrai ! Jamais vous ne mâobligerez Ă penser comme vous le souhaitez ! JAMAIS !! »Seul le silence lui rĂ©pondit. Dans la nuit, ses paroles lui semblĂšrent vide de sens, tout comme elle avait lâimpression que son corps nâĂ©tait plus empli que dâun vide saisissant ⊠A tel point quâelle en ressentit un vertige atroce..Sâaidant dâavec sa main, elle se recula du mur et reprit sa marche ⊠Les rues toujours autant silencieuses⊠Elle dĂ©chiffra au passage plusieurs affiches pour les Ă©lections ministĂ©rielles dans lesquelles elle donna des coups de pieds dedans⊠Marre de ces Ă©lectionsâŠMarre de tout ce quâelle pensait Ă©tait toujours remis en question⊠Marre de tout, elle souhaitait oublier tout ! Elle ne sut pas pendant combien de temps elle dĂ©ambula Ă travers les rues⊠Elle ne savait jusquâoĂč elle marchait ainsi mais elle marchait. Ce qui Ă©tait certain câĂ©tait quâelle montait en altitude ; Ă plusieurs reprises, elle grimpa des collines qui paraissaient immenses ou alors câĂ©tait sa vision troublĂ©e qui les faisait paraĂźtre si immense⊠Le dĂ©cor bougeait, aussi⊠Beaucoup ⊠Dâailleurs, avant dâarriver au sommet, elle trĂ©bucha Ă maintes reprisesâŠJusquâĂ parvenir Ă la grotte qui dominait tout le village de PrĂ©-au-Lard devant lequel, en maĂźtresse des lieux, elle se planta telle une statut la reine dâun empire sur lequel elle nâavait plus nulle emprise. JE SUIS LIBRE ? vous mâentendez ?!! LIBRE dâapporter mon soutien Ă qui JE veux !... soyez VOUS AUSSI AUSSI LIBRE QUE MOI ! »⊠Elle sâeffondra ensuite, Ă bout de souffle et de forces, Ă mĂȘme lâherbe. La nuit Ă©tait bien avancĂ©e⊠Câest alors que lâamoncellement de tout ce qui occupait son ĂȘtre soumis Ă diverses forces et tortures extĂ©rieures la fit sâĂ©branler et laisser les larmes envahir ses yeux et ses jouesâŠElle avait lâhorrible impression dâĂȘtre invisible⊠La sensation de nâĂȘtre quâun jouet du destin dont celui-ci sâamusait Ă jouer de ses Ă©motions, de ses sentiments, de tout dâelle⊠Dans lâĂ©tat dans lequel elle se trouvait, elle ne sentit mĂȘme pas une main lui saisir le bras, la relever puis lâentraĂźner dans le Pop » distinctif du transplanage⊠Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Ven 30 Juil - 1547 Une lĂ©gĂšre implosion de la grotte... Une gerbe de flamme rouge teintĂ©e or... Une plume... Un phĂ©nix et un jeune homme... Perceval venait de se faire tĂ©lĂ©porter par son PhĂ©nix en ce lieu de recueil fort bien reculĂ©; assez pour satisfaire l'envie de solitude de le style de construction de sa maison qui permettait de l'isoler du brouhaha extĂ©rieur, Perceval se retrouvait atteint par les cris de ses voisins... Les seuls qui montaient assez haut dans les aigus pour que leurs voix puissent ĂȘtre entendu par l'hĂ©ritier dĂ©chu des nobles Bright. Actarius Ă©tait Ă©puisĂ©... extĂ©nuĂ©... Lasse de devoir subir, quasiment tout les soirs, l'audition de ses satanĂ©s de voisins moldus qui, jamais, Ă grand jamais, n'Ă©tait fatiguĂ© de se disputer. LĂ , c'Ă©tait monsieur qui disputait sa femme pour une paire de chaussette non lavĂ© -comme s'il n'en possĂ©dait qu'une seule-... AprĂšs, c'Ă©tait madame qui rĂ©primandait monsieur parce qu'il avait omit de ranger sa chaussure dans le placard. C'Ă©tait tout simplement absurde, barbant et purement insupportable!Le sorcier Ă©tait vĂȘtu d'une longue robe noire Ă l'ancienne -les hommes portaient des robes par le passĂ©, au Moyen-Age-, qui lui tombait tout juste au dessus des chevilles et Ă laquelle Ă©tait accrochĂ©e une cape tout aussi noire maintenue par une broche d'argent frappĂ©e des armoiries de la famille du jeune homme. Ses longs cheveux noirs de jais, proprement coiffĂ©s et regroupĂ©s dans sa nuque en une fine queue de cheval les cents pas, tournant et encore tournant en rond, Fafnir son phĂ©nix sur ses Ă©paules, Actarius ne faisait pas trĂšs attention, ne surveillait pas ses arriĂšres... Il ne s'attendait de toute façon pas Ă ce que la grotte dans laquelle il Ă©tait venu se rĂ©fugiĂ© soit le refuge d'on ne sait quel crĂ©ature magique ou d'un quelconque sorcier Ă l'esprit plus tordu que le sien. Qui aurait la brillante idĂ©e, Ă part lui, de venir dans un tel lieu par une nuit aussi noire, le ciel Ă©tant dĂ©nudĂ© de la dĂ©esse lune? Certainement une personne dĂ©nuĂ© de bon sens... Ou une personne... comme lui. Enfin, ce n'Ă©tait que des suppositions sans fondements! Il Ă©tait seul dans cette grotte et il Ă©tait pratiquement sĂ»r qu'il ne serait pas dĂ©rangĂ©! Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Ven 30 Juil - 1807 ASA la maison, tout semblait beaucoup trop calme pour la jeune Amy qui depuis cinq ans Ă prĂ©sent avait toujours eu l'habitude d'entendre quelqu'un respirer chez elle. Son fils et sa fille Ă©tait partie pour plusieurs jours grĂące Ă un camp de vacances qui les avaient emmenĂ©s Ă la montagne au delĂ des frontiĂšres. C'Ă©tait avec une grande tristesse qu'elle les avaient laissĂ© sur le quai de la gare le matin mĂȘme et elle s'Ă©tait enfermĂ© dans une morositĂ© qui ne lui ressemblait pas. ParticuliĂšrement nerveuse, elle avait Ă plusieurs reprise dans la journĂ©e laissĂ© Ă©chappĂ© de magnifiques jurons qu'elle avait enfoui au plus profond d'elle depuis la naissance de ses enfants. Elle s'Ă©tait totalement laissĂ© emportĂ©e, se rendant compte qu'elle touchait Ă nouveau du bout des doigts la perfection de la libertĂ© bien que, pour rien au monde, elle n'aurait changĂ© quelque chose de sa vie actuelle. C'Ă©tait ce qu'elle dĂ©sirait au plus profond d'elle mĂȘme, elle le savait. En faisant le bilan, malgrĂ© de nombreuses erreurs et de remises en questions, l'ancienne Auror semblait plutĂŽt satisfaite du rĂ©sultat final. Lucas, Lola c'Ă©tait tout ce dont elle avait son lit, les yeux ouverts comme jamais, le sommeil n'arrivait pas Ă venir. Depuis plusieurs heures dĂ©jĂ la jeune demoiselle tournait et tournait encore dans son lit dans l'espoir que ses yeux se ferment et que, sans s'en rendre compte, elle s'endorme aussi simplement que cela. Mais rien n'y faisait... A croire que les dĂ©mons de la nuit avaient choisis de se liguer contre elle. Se rĂ©signant, Amy se leva, enfila une tenu bateau et sortit de sa chambre. Elle passa devant les chambres de ses enfants et fut parcouru d'un frisson qu'elle dĂ©testait, tout Ă©tait trop calme et le silence monotone la dĂ©rangeait. Elle sortit de chez elle et fut surprise par la douceur de la nuit. Elle ignorait encore oĂč elle se rendait, presque automatiquement, la jeune mĂšre marchait tout droit. ASAu creux de sa main droite, elle tenait sa baguette toujours prĂȘte Ă ce qu'il lui arrive quelque chose. En tant qu'ancienne Auror elle savait que le danger pouvait ĂȘtre partout. Tout l'avait marquĂ©, tout l'avait plus ou moins blessĂ©, elle Ă©tait Ă©corchĂ©e vive devant la dur rĂ©alitĂ© que pouvait donnĂ© la vie. Les combats, la haine, la violence, tout Ă©tait terminĂ© Ă prĂ©sent, c'Ă©tait beaucoup trop d'Ă©motion et beaucoup trop dangereux pour ses enfants. MĂȘme si elle avait protĂ©gĂ© sa maison de tout les sorts possible et inimaginable, il Ă©tait hors de question que des reprĂ©sailles quel conque soit fait, voilĂ pourquoi il Ă©tait prĂ©fĂ©rable de quitter se monde de brute et faire comme ci l'insouciance Ă©tait de retour. Un monde parfait, sans ombre au la jeune femme, une petite grotte. Amy se sentit d'un seul coup submergĂ© par son esprit aventureux. MalgrĂ© tout ce qu'elle essayait de se faire croire, une vie sans dangers n'Ă©tait pas sa vie. D'un "lumos" bien formulĂ©, sa baguette s'Ă©claira et la demoiselle s'engouffra sans hĂ©siter dans les profondeurs rocailleuse qui s'offrait Ă elle. Son coeur se mit Ă battre un peu plus fort, un peu plus vite et l'ancienne Auror retrouvait ses vieilles habitudes de femme combattante. Elle avait appris Ă maitriser son souffle, Ă maitriser l'adrĂ©naline et Ă foncer droit devant la tĂȘte baissĂ©. Tellement vite qu'elle ne se rendit pas compte que quelqu'un d'autre Ă©tait dans la grotte. Visiblement le jeune garçon ne l'avait pas vue mais beaucoup trop surprise de croiser quelqu'un dans cette endroit prĂ©sumĂ© dĂ©sert elle ne put s'empecher de lui aboyer dessus "Bordel ! Qu'est-ce que vous foutez ici !" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Sam 31 Juil - 321 Depuis un bon moment maintenant qu'Actarius faisait les dix mille pas dans la sombre et froide grotte. De quoi faire pĂąlir le hĂ©ros le plus courageux qui est jamais existĂ© lui mĂȘme. Fafnir, silencieux comme jamais, somnolait tranquillement ses les Ă©paules de son ami et maĂźtre. Enfin, tranquillement est un bien grand mot!Seulement une demie-heure maintenant que Perceval Ă©tait lĂ avec son PhĂ©nix lorsqu'il fut obligĂ© de sursauter pour on ne sait qu'elle raison. Une voix fĂ©minine, venu de derriĂšre lui voletait au dessus de la tĂȘte. Cette damoiselle devait ĂȘtre fort en colĂšre ou beaucoup trop mĂ©fiante. Quoiqu'il en soit, la main droite sous sa cape, Actarius libĂ©ra l'une de ses baguettes et tendit la main lentement face Ă la blonde ?, la menaçant de la sienne tout en lui montrant, Ă travers ce mĂȘme geste, qu'elle n'a pas grand chose Ă craindre de lui; pas grand chose du pourrai vous retourner la question chĂšre madame. Que faites-vous en un endroit si reculĂ©?!Ce n'est qu'aprĂšs cette phrase qu'Actarius posa rĂ©ellement les yeux sur l'invitĂ©e de derniĂšre minute. Tout en elle exultait la beautĂ©, provoquait le dĂ©sir en Perceval. Il avait connu cela avec une autre... Une jeune fille sortie de chez Serpentard... Ătait-elle vĂ©lane? Certainement, oui! Elle Ă©tait beaucoup trop magnifique pour ĂȘtre une pure dĂ©esse naturelle; c'est Ă dire, les autres espĂšces...Qui ĂȘtes vous, trĂšs chĂšre?Si ce n'Ă©tait une VĂ©lane, que pouvait-elle d'autre pour provoquer un si grand trouble dans l'esprit et le cĆur de l'aristocrate? A moins... A moins que ce ne soit, tout simplement lĂ , que la manifestation de la beautĂ© de la gente fĂ©minine. Quel homme pouvait se vanter d'ĂȘtre plus sĂ©duisant et plus agrĂ©able Ă regarder qu'une femme... comme celle face Ă Perceval? Sans doute, aucun! Toutefois, c'Ă©tait, mĂȘme si au sens thĂ©orique, de mĂȘmes ĂȘtres, deux espĂšces de vie totalement diffĂ©rentes. Un homme ne pouvait se comparer Ă une femme et l'inverse non plus ne pouvait ĂȘtre possible. Ainsi allait la pensĂ©e du jeune sorcier...______________Rp tout simplement merdique! J'avais j'ai sommeil P Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Lun 2 AoĂ» - 1135 ASRĂ©pondre Ă une question par une autre question. Amy Ă©tait l'une de ces nombreuses personnes qui utilisaient cette tactique afin de ne pas rĂ©pondre Ă quelqu'un ou a quelque chose de gĂȘnant. Mais lĂ visiblement, c'Ă©tait son mystĂ©rieux interlocuteur qui s'en servait. De nature trĂšs entreprenante, la jeune femme n'avait pas l'habitude qu'on lui rĂ©siste et qu'on est le dessus sur elle, son statut de VĂ©lane en Ă©tait la preuve vivante, user de ses charmes pour dĂ©stabiliser son adversaire lorsque celui ci Ă©tait un homme lui plaisait particuliĂšrement. Elle ne bougeait pas et le fixait d'un regard Ă en faire frissonner plus d'un. Ce n'Ă©tait pas un endroit reculĂ©. C'Ă©tait une grotte. Une grotte. Un endroit oĂč normalement personne ne vient y passer du bon temps, et encore moins un endroit ou deux personnes ne viennent y passer du bon temps. Enfin, jusqu'Ă maintenant la ballade Ă©tait plaisante mais depuis qu'elle avait sa baguette pointĂ© devant le jeune homme, le cĂŽtĂ© touristique de la ballade semblait assez lointain. ASIl semblait dĂ©stabiliser, lĂ©gĂšrement obnubiler par le visage d'Amy qui prenait un malin plaisir Ă lĂ©gĂšrement se cambrer pour accentuer l'effet produit. Il Ă©tait jeune Ă premiĂšre vue, il devait avoir une vingtaine d'annĂ©es Ă tout casser. C'Ă©tait presque mignon de le voir aussi troublĂ©. Il lui demanda Ă nouveau, plus directement cette fois qui elle Ă©tait rĂ©ellement. Il lui tendit sa main, lentement, comme pour montrer qu'elle n'avait strictement rien Ă craindre et qu'elle pouvait en faire de mĂȘme Ă son tour. Il se fourrait le doigt dans l'oeil et bien profond tout de mĂȘme s'il pensait rĂ©ellement qu'elle avait la trouille. Elle avait vue bien pire malheureusement et ce garçon Ă©tait loin du faire peur. Mais malgrĂ© tout, sens de la diplomatie oblige, elle baissa sa baguette tout aussi lentement mais la gardant fermement entre ses doigts. "Amy Swan"ASLança t-elle comme ça. C'Ă©tait pas grand chose, elle aurait trĂšs bien pu mentir et sortir un tout autre nom que le sien comme elle aurait fait d'habitude par prĂ©caution. Pourtant lĂ , c'est tout naturellement qu'elle avait balancĂ© ça comme ça. Dans sa main droite, elle tenait toujours sa baguette et maladroitement elle serra la main de son interlocuteur toujours inconnu jusqu'Ă maintenant. Elle le regarda droit dans les yeux comme pour appuyer le fait qu'elle savait trĂšs bien qu'elle lui plaisait. Physiquement du moins car pour l'instant les dialogues n'Ă©taient pas trĂšs constructif."Et vous ?" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Mer 4 AoĂ» - 246 Perceval se perdait dans un dĂ©dale de pensĂ©e toute plus contradictoire les unes que les autres. Il lui faudrait sĂ©rieusement se revoir... tomber sous le charme d'une dame, qu'en plus il n'avait jamais croisĂ© n'Ă©tait pas concevable. Il ne pouvait se permettre d'Ă©prouver une faiblesse pour les femmes qu'il rencontrait. Surtout pas lorsqu'il rencontrait ladite femme dans une grotte quelque part dans le grand Ouest. Oui, les moldus diraient qu'il avait l'avantage puisqu'il Ă©tait un homme mais en magie, la puissance ne comptait pas sur la force. Elle comptait sur l'expĂ©rience et l'esprit. L'expĂ©rience? Certes, Perceval Ă©tait plus ou moins connaisseur en magie -noire, blanche, grise, mĂ©tisse et tout ce que vous voudrez- mais, le seul fait d'observer l'invitĂ©e surprise lui faisait savoir qu'elle Ă©tait bien plus expĂ©rimentĂ©e que lui. Ne manquerait plus qu'elle soit susceptible! Un mot mal placĂ©, un phrase mal exprimĂ©e et peut-ĂȘtre bien qu'un Avada Kedavra serait pas trĂšs loin...Le jeune garçon, revenant Ă la rĂ©alitĂ©, rangea sa baguette dans ce qui devait ĂȘtre un Ă©tui, lĂ oĂč "Ă©tui" devait se trouver. Il loucha rapidement vers la poitrine de la dame en face de lui. Rapidement? Plus vite que "The Flash" ou Speedy Gonzalez! Il prenait soin de se retenir de dĂ©tailler ses formes et ses atouts tout en sachant, pertinemment bien, que la pression qu'elle exerçait sur lui Ă©tait visible Ă des kilomĂštres Ă la ronde et qu'elle en Ă©tait parfaitement consciente. D'ailleurs, il, pendant un trĂšs court laps de temps, juste ce qu'il faut pour battre un cil, se maudit en silence. Il se maudit d'avoir un corps beaucoup trop sensible Ă la beautĂ© fĂ©minine! Si seulement le corps humain pouvait fonctionner sans cĆur... Ca me rappelle un conte ça, pas vous? Soit, Swan? Jolie nom pour une jolie crĂ©ature; Tout se tient! Swan, comme, littĂ©ralement traduit, "Cygne". Eh bien, oui, cette fille Ă©tait un cygne. Un cygne blanc avec tout ce qu'il a de plus gracieux. Sa ou plutĂŽt, ses courbes. Ses longs cheveux blonds ?, chĂątains ?, entre les deux ?, comparables aux longues et fines plumes d'un cygne adulte... Cette femme n'avait rien de comparable. Elle devait ĂȘtre vĂ©lane... Perceval en Ă©tait plus que sĂ»r! Si la vie le lui permettait, il lui poserait la question dans le seul but d'assouvir sa maladroitement qu'elle, il lui serra la main, la relĂącha, puis plongea son regard dans le sien. Le regard qu'elle lui portait le troublait en son ĂȘtre mais il n'allait quand mĂȘme pas se laisser faire. Surtout pas par quelqu'un qui rencontrait Ă peine! Il se serait peut-ĂȘtre laissĂ© faire s'il la connaissait plus et qui sait...? Soutenant donc son regard sans ciller, l'Ex-Serpentard avala ses deux derniers mots avant de rĂ©pliquer sur ton totalement Bright. EnchantĂ© de faire votre connaissance... Miss ou Mrs Swan?Perceval se força Ă remettre ses idĂ©es en place, reprit contenance, se fermant -dans la mesure du possible- Ă toute contemplation de la belle. Fafnir, dĂ©cidant de lĂącher son maĂźtre dans moment pareil, prit son envol, quittant donc son Ă©paule, et s'en alla par l'ouverture de la grotte. Perceval savait que le PhĂ©nix ne serait pas loin et qu'il serait prĂšs Ă intervenir en cas d'altercation, toujours est-il qu'il Ă©tait un peu inquiet -pour la premiĂšre fois- en se retrouvant face Ă une femme avec un tel charisme...Dites moi, si je ne me trompes point, vous devez avoir du sang de vĂ©lane. Est-ce faux?Pourquoi lui poser cette question?! C'Ă©tait une maniĂšre de lui avouer l'attirance physique qu'il ressentait pour elle en l'observant! Qu'est-ce qu'il pouvait ĂȘtre idiot parfois... InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Sam 11 Sep - 1132 Les deux loups qui leur faisaient face Ă©taient immense, ils paraissaient affamĂ©s, chose qui ravit Will, surement Nymphadora. Ils pouvaient ĂȘtre sur d'une chose, il y allait avoir du sport. Les grognements Ă©taient de plus en plus sonores, aussi bien du cĂŽtĂ© des chiens galleux que du cĂŽtĂ© du vampire, les crĂ©atures Ă©taient prĂȘte Ă se battre, la seule sorciĂšre prĂ©sente l'Ă©tait Je prends celui de droite, ok ?- Tes dĂ©sires sont des ordres ma la bataille fut lancĂ©, par Nymphadora qui se jeta sur le loup de droite en lançant divers sorts plus destructeurs les uns que les autres, elle faisait preuve d'une habiletĂ©, d'une rage et d'un talent extraordinaire, mieux valait avoir une femme comme ça dans ses rangs que chez ses ennemies, chaque coups, chaque sorts faisaient mouche. Cependant le loup faisait preuve d'une vitesse et d'une agilitĂ© incroyable, le combat serait de son cĂŽtĂ© avait laissĂ© le loup attaquer, ce dernier avait lancĂ© les hostilitĂ©s dĂšs l'instant ou Nymphadora Ă©tait partit se battre. Il Ă©tait monstrueux, affamĂ© et fou de rage, mais cela restait un chien stupide, un ennemi des vampires, Will ne lui ferait aucun cadeau. Lorsque le chien voulu le mordre au visage Will esquiva in-extremis le coup puis lui arracha l'oreille gauche d'un vif coup de canine. Le sang du loup commençait Ă couler au fond de sa gorge, contrairement au sang humain celui-ci n'Ă©tait pas des plus dĂ©sagrĂ©able gout dĂ©concentra Will l'espace de quelques secondes, se qui suffit au loup pour le mordre profondĂ©ment Ă l'Ă©paule. La douleur Ă©tait supportable mais cela suffit Ă rappeler au vampire qu'il n'Ă©tait pas Ă l'abri d'une fin souvent, lorsque Will Ă©tait touchĂ©, aussi bien son corps que son Ă©go, le vampire perdu son sang froid. En poussant un grognement sauvage il sauta sur le loup la main tendu vers le coup de la bĂȘte qu'il rĂ©ussit Ă attraper. Ne souhaitant pas abattre la bĂȘte si rapidement Will planta ses canines dans le cou de la bĂȘte puis d'un geste vif arrache tout se qui se trouvait dans sa bouche, le rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă petit geste de la main il essuya le sang qui coulait le long de ses lĂšvres puis se tourna vers Nymphadora pour assister Ă la victoire de son compĂšre qui ne devrait plus tarder. Le loup qui arriverait Ă mettre Nymphadora Lupin au tapis ne devait surement pas fouler le sol de cette planĂšte.[Pas terrible mais ces temps-ci l'inspiration n'est pas super ] Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Desmots et des choses : Rien quâune larme dans tes yeux. Par Mohamed MOUMEN En les circonstances funestes, Ă lâinstant noir de la fin, au moment de la mort, dans les moments de deuil, que dire sinon « condolĂ©ances ». CondolĂ©ances, point. Roland Barthes dit quâil nâest pas de meilleurs discours pour exprimer la compassion, les sentiments attristĂ©s et endeuillĂ©s. «
Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule rĂ©ponseQuand je te dis qu'il vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deuxJ'Ă©tais certain cette foisQue rien ne me retiendrait La suite des paroles ci-dessous On se trompe quelquefoisUne larme a tout changĂ©Rien qu'une larme dans tes yeuxEt soudain je rĂ©aliseJe rĂ©alise que de nous deuxC'est moi le plus malheureuxPar ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleurĂ© La suite des paroles ci-dessous J'ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restĂ©Rien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aimeJe t'aime et je veux te le direJe veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule rĂ©ponseRien qu'une larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourireRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aime Explication de ĂąâŹĆ Rien qu'une larme ĂąâŹÂ ĂąâŹĆIl Ă©tait chanteur Ă minettes, mais sans plonger dans la gaĂtĂ© et les chansons banales. Une mĂ©lancolie frappante se dĂ©gageait de ses chansons. Ă Qui saura Ă», Ă rien qu'une larme Ă» ou alors Ă Dis-lui Ă», ce sont tous de grands tubes du chanteur, et tous les trois des chansons de rupture dĂ© Rien qu'une larmeĂ» est une chanson parue en 1973. En plein essor, le chanteur confirmait sa place bien mĂ©ritĂ©e parmi les stars des annĂ©es 70. Il rĂ©alisait plus de ventes que Claude François ou alors Johnny de Mike Brant est teintĂ© d'une tristesse, qui est souvent liĂ©e au sentiment amoureux. Il Ă©tait beau comme un dieu grec, et il avait tout pour lui, pourtant, il n'a pas Ă©tĂ© heureux. En effet, durant toute sa vie, il a Ă©tĂ© hantĂ© par l'histoire de ses parents, qui ont survĂ©cu par miracle Ă la juive, l'artiste est devenu paranoĂÂŻaque au fil du temps. Il ressentait une menace constante qui le poursuivait peu importe ses dĂ©placements. Il a mĂÂȘme Ă©vitĂ© des concerts par peur d'attentats antisĂ©mites. Vivre avec cette peur au vente ne peut que se rĂ©percuter mal sur l'artiste. Il a fait une premiĂšre tentative de suicide, Ă la deuxiĂšme, il ne s'est pas sorti vivant. "Rien qu'une larme" est un titre qui parle d'un chagrin d'amour partagĂ© entre les deux amoureux. Mike Brant rassure son amoureuse, lui dit qu'il aimera la voir sourire et non pas pleurer. Il est lui-mĂÂȘme malheureux dans cette relation, et la sĂ©paration doucereuse semble ĂÂȘtre le seul choix qu'il leur chanson s'est vendue Ă plus de disques vendus. Le succĂšs de la chanson s'est Ă©talĂ© partout dans le monde, il est arrivĂ© jusqu'au Canada. En 1975, le chanteur tire sa rĂ©vĂ©rence, il a laissĂ© ses fans choquĂ©s et terrifiĂ©s. NĂ©anmoins, ses chansons resteront Ă jamais gravĂ©es dans le trĂ©sor de la chanson française. Les internautes qui ont aimĂ© "Rien qu'une larme" aiment aussi
Lescouloirs ~€~ Académie de Poudlard ~€~ Harry Potter 2005
alpha M artiste Mike Brant titre Rien qu'une larme Les paroles de la chanson Rien qu'une larme »Mike Brant Rien quâune larme dans tes yeux,Câest toujours ta seule rĂ©ponse,Quand je te dis quâil vaudrait mieux,Ne plus se revoir nous deuxJâĂ©tais certain cette foisQue tu me retiendraitOn se trompe quelques foisUne larme a tout changĂ©Rien quâune larme dans tes yeux,Et soudain je rĂ©aliseJe rĂ©alise que de nous deuxCâest moi le plus malheureuxPar ma faute trop de foisMon amour tu as pleurĂ©Jâai voulu partir cent foisEt cent fois je suis quâune larme dans tes yeux,Je comprends combien je tâaimeJe tâaime et je veux te le direJe veux te revoir sourireRien quâune larme dans tes yeux,Câest toujours ta seule rĂ©ponse,Rien quâune larme dans tes yeux,Je veux te revoir sourireRien quâune larme dans tes yeux,Je comprends combien je tâaime
LPGH. 71 325 168 232 136 29 230 287 147
rien qu une larme dans tes yeux paroles